Une formation ouverte aux diplômé·es de toutes les disciplines sans propédeutique

Les programmes de cycles supérieurs en éthique sont ouverts aux diplômé·es ayant complété un baccalauréat, quelle que soit la discipline, et ce, sans propédeutique (scolarité de mise à niveau).

Ils s’adressent autant aux finissant·es qui viennent de terminer un baccalauréat qu’aux celles déjà engagées dans la vie professionnelle et qui s’intéressent à la réflexion en éthique.

Le cheminement est offert selon l’une des deux formules suivantes.

En présence

Les cours sont offerts en présence sur les campus de Rimouski ou de Lévis, qui sont branchés en visioconférence. Certains cours peuvent être accessibles à distance selon certaines conditions. Communiquez avec la Direction du comité de programmes pour plus de détails.

À distance

Il est possible de se connecter à distance en mode synchrone [vidéoconférence de type Zoom] aux cours offerts en présence. Cette formule est réservée aux personnes demeurant à l’extérieur des régions immédiates des campus, qui devront d’abord obtenir l’autorisation de la Direction du comité de programmes.

Dans la demande d’admission en ligne, les candidat·es souhaitant suivre la formation à distance doivent sélectionner un campus d’admission à des fins administratives. La formule 100% à distance n’est pas offerte aux candidatures de l’international (sauf celles et ceux liés à une entente entre établissements).

Huit des neuf cours du diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en éthique font partie intégrante de la maîtrise en éthique.

Il est donc possible d’amorcer son cheminement au DESS, puis de poursuivre à la maîtrise. Pour compléter sa maîtrise, l’étudiant·e doit :

• détenir une moyenne cumulative minimale de 3,2 sur 4,3;
• satisfaire aux conditions d’admission du DESS ou de la maîtrise;
• déposer une nouvelle demande d’admission.

Un enseignement personnalisé qui favorise la réussite

Les groupes-cours limités en nombre, jumelés à l’encadrement et à la disponibilité remarquable de la part des professeur·es favorisent la réussite des études. Les étudiant·es apprécient particulièrement la convivialité des petits groupes et la grande ouverture des professeur·es en matière de thèmes de recherche à aborder.

Les étudiant·es en éthique ont aussi la possibilité de prendre part à des activités de recherche, des journées d’étude et des colloques au Québec, au Canada et parfois à l’étranger, qui favorisent les échanges avec les pairs et qui permettent de parfaire leur formation en recherche,

Il leur est aussi possible de travailler comme assistant·es de recherche au sein de l’équipe de recherche Ethos, dans des équipes de recherche subventionnées ou comme auxiliaires d’enseignement.

Voir : Bourses et soutien financier accessibles aux étudiantes et aux étudiants de cycles supérieurs

L’UQAR offre de nombreuses possibilités de séjours à l’international ou dans d’autres provinces canadiennes pour les personnes motivées à élargir leurs connaissances tout en vivant une expérience culturelle enrichissante.

Ces séjours peuvent prendre la forme de trimestres d’études en échange, d’un stage pratique ou d’un séjour de recherche. Les écoles d’été internationales sont également d’excellentes occasions de vivre de courts séjours d’étude!

Plusieurs sources de financement sont accessibles dont le programme de bourses pour la mobilité étudiante de l’UQAR. Une personne peut recevoir jusqu’à 20 000$ en bourse pour la mobilité!

Des compétences professionnelles recherchées par un grand nombre d’employeurs

Certains employeurs dont le mandat est directement centré sur l’éthique recrutent spécifiquement les diplômé·es en éthique. C’est entre autres le cas :

• de la Commission de l’éthique de la science et de la technologie;
• de l’Unité de l’éthique du ministère de la Santé et des Services sociaux;
• du Conseil national d’éthique en recherche chez l’humain;
• du Bureau des valeurs et de l’éthique de la fonction publique fédérale;
• des centres hospitaliers universitaires;
• etc.

L’importance grandissante des enjeux éthiques et la multiplication des comités d’éthique dans les entreprises et dans les organisations favorisent le placement des diplômé·es. Dans plusieurs milieux de travail, ils agiront comme d’agent·es de recherche ou de conseillères ou conseillers. C’est le cas :

• des organismes gouvernementaux et paragouvernementaux;
• des établissements de santé et de services sociaux;
• des établissements d’enseignement secondaires, collégiaux et universitaires;
• des centres d’information juridique;
• des associations et des organisations internationales;
• des associations professionnelles;
• des organismes actifs dans les domaines de l’environnement et de la culture;
• etc.

De manière générale, les habiletés intellectuelles d’analyse et de synthèse approfondies acquises lors de la formation en éthique sont appréciées d’un grand nombre d’employeurs.

Professions occupées

Plusieurs organisations peuvent tirer profit des services des diplômé·es spécialisé·es en éthique. Sur le plan théorique en recherche ou sur le plan pratique, par exemple dans l’animation et la consultation.

En effet, les diplômé·es sont habilité·es à examiner des questions touchant divers secteurs de l’activité humaine et à les traiter selon une méthode rigoureuse d’analyse et de synthèse. De multiples débouchés sont encore insoupçonnés au sein de différents services publics, pour étudier des problèmes liés à la famille, au phénomène de relocalisation, aux manifestations de violence, à l’organisation des loisirs, à la refonte des programmes sociaux, aux législations civiles et criminelles, ou à la promotion des codes de déontologie.

Plusieurs diplômé·es travaillent aussi à leur compte comme consultants. Leur emploi est souvent en lien avec leur formation de 1^er cycle.