Socialisation
La socialisation, pour sa part, est étudiée sous l’angle des pratiques d’intégration et de la participation. La socialisation est un processus par lequel la personne fait l’apprentissage des normes de la société ou du groupe social auquel elle appartient. Ainsi, elle sera en mesure d’agir de manière adaptée et d’exercer des rôles attendus dans son milieu. La socialisation d’une personne se réalise par son intégration dans différents milieux ordinaires de la vie familiale, sociale, scolaire et professionnelle. L’intégration devrait se traduire par une participation, laquelle désigne l’implication réelle de la personne dans une situation de vie ordinaire. Au regard du volet de la socialisation, les axes de recherche sont les suivants.
La population à risque d’échec
La population à risque d’échec est très variée. La connaissance des caractéristiques individuelles permet d’établir des catégories, telles que les différents types de déficiences, de difficultés d’adaptation ou d’apprentissage. Mais au-delà des catégories, il faut reconnaître la singularité de chaque individu qui présente souvent une juxtaposition de besoins. Quelles sont la prévalence et l’évolution des différents groupes qui constituent la population à risque? Comment mieux comprendre l’interaction entre les facteurs individuels et les facteurs environnementaux jugée déterminante? Comment mieux évaluer la population, mieux la connaître et comprendre les besoins spécifiques des personnes qui la composent? Comment reconnaître la concomitance de problématiques et la considérer dans la pratique? Comment reconnaître l’hétérogénéité occasionnée par la diversité et la considérer dans la pratique?
Les apprentissages sociaux
L’acquisition, le maintien et la généralisation des habiletés nécessaires à l’intégration sociale des individus et à leur responsabilisation sont reconnus comme l’un des défis actuels en éducation. Comment peut-on favoriser ces apprentissages sociaux chez l’enfant et l’adolescent? Quels sont les facteurs cognitifs, socioaffectifs, familiaux et scolaires qui interviennent dans ces apprentissages? Quelles stratégies permettent de prévenir le développement de comportements antisociaux et d’intervenir de façon à soutenir l’apprentissage des habiletés sociales?
La gestion de la diversité
La gestion de la diversité suppose la connaissance et la mise en place des conditions favorables à l’intégration et à la participation d’enfants et d’adolescents présentant une ou des différences. Les conditions favorables peuvent se situer à tous les niveaux de leur écosystème, allant de la cellule familiale aux différentes instances responsables de l’élaboration des politiques. Quelles sont les modalités optimales de préparation à la scolarisation, incluant l’intervention précoce? Comment peut s’effectuer la gestion de classe en contexte d’hétérogénéité des groupes? Quelles sont les pratiques qui favorisent la contribution de différents réseaux de services? Comment soutenir la transformation des pratiques afin d'atteindre les objectifs énoncés dans les orientations en faveur des personnes différentes? Les orientations ont-elles les impacts attendus auprès de l’ensemble des populations concernées?
Socialisation
La socialisation, pour sa part, est étudiée sous l’angle des pratiques d’intégration et de la participation. La socialisation est un processus par lequel la personne fait l’apprentissage des normes de la société ou du groupe social auquel elle appartient. Ainsi, elle sera en mesure d’agir de manière adaptée et d’exercer des rôles attendus dans son milieu. La socialisation d’une personne se réalise par son intégration dans différents milieux ordinaires de la vie familiale, sociale, scolaire et professionnelle. L’intégration devrait se traduire par une participation, laquelle désigne l’implication réelle de la personne dans une situation de vie ordinaire. Au regard du volet de la socialisation, les axes de recherche sont les suivants.
La population à risque d’échec
La population à risque d’échec est très variée. La connaissance des caractéristiques individuelles permet d’établir des catégories, telles que les différents types de déficiences, de difficultés d’adaptation ou d’apprentissage. Mais au-delà des catégories, il faut reconnaître la singularité de chaque individu qui présente souvent une juxtaposition de besoins. Quelles sont la prévalence et l’évolution des différents groupes qui constituent la population à risque? Comment mieux comprendre l’interaction entre les facteurs individuels et les facteurs environnementaux jugée déterminante? Comment mieux évaluer la population, mieux la connaître et comprendre les besoins spécifiques des personnes qui la composent? Comment reconnaître la concomitance de problématiques et la considérer dans la pratique? Comment reconnaître l’hétérogénéité occasionnée par la diversité et la considérer dans la pratique?
Les apprentissages sociaux
L’acquisition, le maintien et la généralisation des habiletés nécessaires à l’intégration sociale des individus et à leur responsabilisation sont reconnus comme l’un des défis actuels en éducation. Comment peut-on favoriser ces apprentissages sociaux chez l’enfant et l’adolescent? Quels sont les facteurs cognitifs, socioaffectifs, familiaux et scolaires qui interviennent dans ces apprentissages? Quelles stratégies permettent de prévenir le développement de comportements antisociaux et d’intervenir de façon à soutenir l’apprentissage des habiletés sociales?
La gestion de la diversité
La gestion de la diversité suppose la connaissance et la mise en place des conditions favorables à l’intégration et à la participation d’enfants et d’adolescents présentant une ou des différences. Les conditions favorables peuvent se situer à tous les niveaux de leur écosystème, allant de la cellule familiale aux différentes instances responsables de l’élaboration des politiques. Quelles sont les modalités optimales de préparation à la scolarisation, incluant l’intervention précoce? Comment peut s’effectuer la gestion de classe en contexte d’hétérogénéité des groupes? Quelles sont les pratiques qui favorisent la contribution de différents réseaux de services? Comment soutenir la transformation des pratiques afin d'atteindre les objectifs énoncés dans les orientations en faveur des personnes différentes? Les orientations ont-elles les impacts attendus auprès de l’ensemble des populations concernées?