• Accueil
  • Blogue
  • Nouveau réseau interuniversitaire de recherche sur l’enfance et la littératie : Un premier symposium pour le RIREL

Nouveau réseau interuniversitaire de recherche sur l’enfance et la littératie : Un premier symposium pour le RIREL

Le Réseau Interuniversitaire de Recherche : Enfance et Littératie (RIREL) vient de tenir, au campus de Lévis, un premier symposium portant sur les enjeux liés à la scolarisation précoce au préscolaire en relation avec la littératie.

Le RIREL est un réseau qui regroupe des chercheurs de différentes universités du réseau des Universités du Québec. « Le mandat du RIREL est d’assurer un leadership en recherche autour du débat actuel sur la scolarisation précoce comme dispositif de prévention du décrochage scolaire », indique la professeure Rakia Laroui, qui est l’une des membres du réseau. « Les axes porteurs et novateurs de ce débat sont intimement liés au thème de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture dès le préscolaire. »

Soutenu par le Fonds de développement académique du réseau (FODAR), le RIREL veut se positionner comme un chef de file de la recherche sur la scolarisation précoce au préscolaire et sur l’apprentissage du lire-écrire. « Les activités réalisées dans le cadre du réseau serviront de levier pour la recherche de financement externe consacré à la consolidation de l’équipe et à la mise en œuvre d’une programmation de recherche », précise Mme Laroui.

Les professeures membres du RIREL sont Isabelle BeaudoinMonica Boudreau et Rakia Laroui, de l’UQAR, Johanne April, de l’UQO, Annie Charron, de l’UQAM, Renée Gagnon, de l’UQTR, et Krasimira Marinova, de l’UQAT. Le professeur associé à l’UQAR Jean-Yves Levesque est également l’un des participants à ce projet.

Lors du symposium du 10 mai, les membres du RIREL se sont penchés sur l’état des connaissances actuelles sur la scolarisation précoce au préscolaire en littératie. De plus, ils ont échangé sur les enjeux liés à la prévention des difficultés et du décrochage scolaire chez les enfants d’âge préscolaire. « Les principaux éléments à inscrire à la programmation de recherche du réseau ont été déterminés par les membres », précise M. Levesque.

Les membres  tiennent à remercier l’université du Québec pour son programme Fodar qui leur a permis de se structurer en réseau ainsi que les cinq constituantes pour leur aide et support indéfectibles. Ils désirent également remercier le groupe institutionnel de recherche de l’UQAR sur l’apprentissage et la socialisation (APPSO) pour son soutien dans la réalisation de certaines activités de recherche.

Pour nous soumettre une nouvelle : communications@uqar.ca