Clarine Brethenoux, une étudiante Française inscrite au baccalauréat en lettres et création littéraire, parle de l’accueil qu’elle a reçu à l’UQAR ainsi que des raisons qui la motivent à poursuivre des études au Québec. Parmi celles-ci, notons qu’elle aura entre autres la possibilité d’étudier à la fois les littératures française et québécoise.
C’est lors d’un rassemblement d’universités canadiennes à Lyon ayant eu lieu au mois d’octobre 2016 que Clarine Brethenoux a rencontré Vicky Jean, conseillère en communications et en recrutement des étudiants étrangers à l’UQAR. Celle-ci lui a alors parlé du baccalauréat en lettres et création littéraire, qui a immédiatement intéressé l’étudiante. En effet, Clarine Brethenoux rêvait depuis un bon moment de vivre quelque temps au Québec. « Je me suis dit que si je pouvais venir habiter ici pour y poursuivre mes études, ce serait encore mieux! », dit-elle.
Jusqu’à présent, elle se dit très satisfaite d’avoir choisi l’UQAR pour sa formation. Elle a reçu un accueil chaleureux, notamment grâce au programme de jumelage pour les étudiants étrangers. « Mon parrain a été très gentil et m’a fourni de précieux conseils, en plus de nous avoir fait visiter l’université à mes parents et moi. J’ai également pu revoir Mme Vicky Jean, qui a été très rassurante et très accueillante ».
L’étudiante affirme également qu’elle a visité la ville de Rimouski et les alentours depuis son arrivée, et qu’elle apprécie beaucoup ce qu’elle y découvre, notamment les paysages. « J’ai eu l’occasion de visiter le Parc du Bic ainsi que Pointe-au-Père à mon arrivée. Contrairement à ma ville natale, Lyon, on peut respirer ici! C’est très agréable », mentionne-t-elle.
À la fin de ses études, Clarine Brethenoux aimerait travailler dans une maison d’édition, et la formation proposée au baccalauréat en lettres et création littéraire correspond tout à fait à ses attentes. « Mais même si j’ai une bonne idée de ce que je souhaite faire dans le futur, il est toujours préférable d’élargir ses connaissances à différents domaines, sans se limiter à un seul champ d’intérêt », conclut l’étudiante.
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