Étudiant au baccalauréat en travail social, Étienne Boudou-Laforce a dernièrement écrit une lettre d’opinion sur l’UQAR pour souligner les valeurs qu’il partage avec tous les membres de cette institution.
En effet, c’est la dimension humaine de l’UQAR, l’importance qu’elle accorde à former les citoyens de demain, la simplicité à faire naître des projets étudiants et la disponibilité des professeurs qui sont, entre autre, décrites dans sa lettre d’opinion, publiée dans Le Soleil.
Au départ, il avait porté son choix sur l’UQAR, car il avait entendu parler de sa dimension humaine et de ses professeurs passionnés et passionnants. « Qui plus est, venant de Québec, il y a un véritable charme à prendre le traversier le matin : l’air du large, les perspectives offertes à l’œil et l’esprit. C’est un peu ce que représente l’UQAR : une bouffée d’air frais, un océan de possibles tout près, de même qu’une belle « traverse » vers le monde du travail et de la citoyenneté », indique Étienne Boudou-Laforce.
Dès son premier trimestre, M. Boudou-Laforce voulait trouver une façon de remercier l’UQAR de lui offrir une expérience de formation à la hauteur de ses attentes et de ses ambitions. Après sa lecture des portraits de l’UQAR, où les bienfaits et avantages de l’Université apparaissent clairement, il a décidé qu’il fallait porter ce message plus loin et que les gens devraient être au courant que l’UQAR est une grande université et qu’elle pouvait être un choix de premier ordre. C’est ainsi qu’il a eu l’idée d’écrire une lettre ouverte à ce sujet, lui qui a déjà de l’expérience dans la rédaction d’articles.
« Mon but était de donner une idée de ce qu’on vit et ressent à l’UQAR, la philosophie de l’enseignement et l’essence des lieux. Une espèce de lettre-hommage à tous ceux et celles qui œuvrent à faire de l’UQAR ce qu’elle est. C’est également une forme de remerciement à mes professeurs en travail social, ainsi qu’une invitation à joindre la belle aventure que constitue l’UQAR », mentionne Étienne Boudou-Laforce.
Après son passage à l’UQAR, M. Boudou-Laforce a l’intention d’exercer le métier qui le passionne, soit celui de travailleur social. Il compte aussi participer à la rédaction d’un ouvrage en lien avec les changements qui touchent aujourd’hui tous les intervenant(e)s en relation d’aide, dans le cadre de l’Appel pour un collectif mobilisé (ACM), dont il est l’un des investigateurs. De plus, d’autres projets vont certainement venir s’ajouter dans la vie professionnelle de cet homme ambitieux et passionné.
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