Dans un contexte de mondialisation des marchés, de productivité accrue et de changements technologiques constants, les organisations misent sur des projets pour mettre en application leurs orientations stratégiques. Par son approche axée sur la pratique, la maîtrise en gestion de projet de l’UQAR se démarque en formant des professionnels dotés d’une vision globale et articulée du domaine et aptes à gérer efficacement des projets de nature et de taille diverses depuis leur conception jusqu’à leur achèvement. Regard sur de jeunes professionnels de la gestion de projet qui mènent de brillantes carrières.
baccalauréat en biologie et d’une maîtrise en océanographie à l’UQAR à Rimouski. À son arrivée dans la région de Québec, elle a choisi de reprendre ses études pour réaliser la maîtrise en gestion de projet en cheminement coopératif au campus de Lévis.
Pauline Robert est titulaire d’unChargée de projets affaires à l’Université Laval, Mme Robert reçoit des mandats des diverses unités administratives afin d’améliorer la performance de leurs services et de leurs processus au profit des étudiants et des employés. Par le développement des affaires, l’organisation du travail, l’amélioration et l’optimisation continue, ses activités l’amènent à collaborer avec des gens provenant de différents champs disciplinaires. Sa maîtrise lui donne les compétences nécessaires pour mener à bien des projets d’envergure, les cours axés sur la pratique étant ceux qui lui servent le plus dans le cadre de son travail.
« Je travaille actuellement sur un mandat d’envergure dont l’objectif est de penser la recherche en santé autrement », mentionne Mme Robert. « Nous avons deux ans pour créer un espace où les chercheurs pourront interagir, échanger sur leurs domaines reliés de près ou de loin à la santé, partager des connaissances et des données pour, ultimement, améliorer la santé de la population. »
baccalauréat en histoire et au microprogramme en entrepreneuriat à l’Université Laval, elle a été embauchée comme agente de développement à la Société canadienne du cancer avant même d’avoir terminé sa maîtrise. Son rôle est très varié, passant du développement des affaires à l’accompagnement de groupes dans le démarrage de différentes activités, à l’idéation et à la mise sur pied de projets pilotes.
Cassandre Warren a choisi l’UQAR pour sa maîtrise en gestion de projet en cheminement professionnel en raison de son ouverture à accueillir des étudiants provenant de différents domaines, dont les sciences sociales et le milieu culturel et communautaire. Diplômée au« Je travaille avec des comités organisateurs dans le démarrage des Relais pour la vie de la région de Québec/Chaudière-Appalaches », mentionne Mme Warren. « Ces comités regroupant jusqu’à 25 personnes, il faut une bonne capacité d’adaptation et une aisance dans l’accompagnement et dans les communications interpersonnelles. Nous suivons l’évolution des projets de manière rigoureuse afin d’atteindre nos objectifs financiers, qui sont vitaux pour un OBNL comme la Société canadienne du cancer. »
Sarah-Amélie Aubut détient un baccalauréat en administration des affaires profil gestion des opérations et de la logistique des HEC à Montréal. Elle a opté pour la maîtrise en gestion de projet en cheminent coopératif par désir d’avoir une formation concrète et axée sur la pratique comprenant des stages rémunérés et pour s’installer dans la région de Québec.
Analyste-conseil en gestion de projet pour le bureau de projet des programmes chez Desjardins, Mme Aubut s’assure que les outils en gestion de projet permettant la planification et la reddition de comptes sont conformes aux attentes des utilisateurs des projets. Ses projets sont de nature confidentielle.
« La maîtrise en gestion de projet m’a donné des outils me permettant de bien coordonner et d’optimiser mon travail », mentionne Mme Aubut. « La proximité des professeurs, leur soutien dans la préparation de concours de gestion tels que KGP et Savoir affaires, ainsi que la taille de la classe ont rendu les interactions et la dynamique des cours très intéressantes. Travailler dans un bureau de programmes m’amène à intervenir dans divers dossiers où ces apprentissages sont grandement utilisés. »
Nicolas Boucher a poursuivi toutes ses études à l’UQAR. D’abord diplômé au baccalauréat en administration des affaires, il a conclu la maîtrise en gestion de projet en cheminement coopératif avant de devenir contrôleur de projet (PCO) pour une firme de consultants dans la région de Québec. Il est actuellement mandaté chez Desjardins afin de réaliser la reddition financière et de contribuer à l’amélioration des processus internes de reddition pour des projets d’envergure en technologie de l’information.
Il travaille actuellement sur le projet StateFarm qui implique l’acquisition d’une compagnie d’assurances de l’Ouest canadien au sein de Desjardins et dont l’objectif est d’arrimer les processus à ceux de Desjardins afin d’offrir des services uniformisés pour les deux entités.
« Les connaissances acquises à la maîtrise contribuent majoritairement à structurer la démarche d’analyse, de planification et de réalisation de mon travail au terme des projets », explique M. Boucher. « J’utilise les outils qui me permettent d’appuyer et de présenter de façon claire et précise à mes gestionnaires et à mon équipe de travail les démarches que j’entreprends afin d’optimiser l’atteinte des résultats. »
Marie-Christine Bédard travaille en gestion d’événements, ainsi qu’en gestion de projet de marketing et de communications. Elle effectue de la coordination avec les fournisseurs, veille à la gestion de risques, au respect des coûts et des échéanciers.
« La maîtrise n’était pas obligatoire ou primordiale pour faire mon travail », précise Mme Bédard. « Par contre, là où j’y vois une valeur ajoutée pour mon employeur, c’est dans mon efficacité et mon efficience. La maîtrise m’a donné une panoplie d’outils qui facilitent mon travail au quotidien et qui me rendent plus productive. »
Diplômée du baccalauréat en administration des affaires à l’UQAR et de la maîtrise en gestion de projet en cheminement coopératif, Mme Bédard a particulièrement apprécié la proximité avec ses professeurs qui lui ont permis d’obtenir des opportunités de réseautage et un accès à leur propre réseau de contacts professionnels.
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