Étudiante au baccalauréat en administration, Isabelle Soulard-Hudon a passé un trimestre à l’Institut Universitaire de Technologie (IUT) de Bourges, en France. Une expérience à l’international qui permet à l’étudiante de l’UQAR d’enrichir son parcours universitaire.
C’est au trimestre d’automne que l’étudiante en administration a étudié à l’Institut Universitaire de Technologie. Elle y a découvert un enseignement complètement différent de celui au Québec. La vision et le mode d’enseignement ont permis à l’étudiante d’enrichir son apprentissage et ses connaissances. « En arrivant à l’université, mon accueil a été fabuleux. J’étais la première étudiante « nord-américaine » à venir étudier à Bourges. J’ai reçu le même accueil de la part de mes camarades de classe. Grâce à eux, je me suis très vite intégrée et j’ai eu la chance de rencontrer des personnes incroyables ! », souligne Mme Soulard-Hudon.
La passion d’Isabelle Soulard-Hudon pour le domaine de l’administration s’explique par le fait que celui-ci soit en constant mouvement et stimulant. L’étudiante en administration, concentration finance d’entreprise, est fascinée par l’observation et l’évaluation de diverses décisions d’investissement et les différences sur le bénéfice net de l’entreprise. « On pense que l’administration est un métier de bureau simplement, mais c’est tout le contraire. On est constamment en contact avec les gens et c’est un environnement de travail qui m’intéresse énormément », indique Mme Soulard-Hudon. « C’est également un domaine où on voit l’impact de nos décisions, que ce soit sur le personnel ou sur nos clients. »
Le baccalauréat en administration permet à l’étudiante d’acquérir des connaissances dans différents domaines en plus de celui de l’administration, comme la comptabilité, la finance, le management, le marketing ou encore les ressources humaines. « Cela nous permet à la sortie de notre baccalauréat d’avoir un large éventail d’emplois possibles autant en entreprise privée, qu’en établissement public ou gouvernemental qu’en institution financière », explique Mme Soulard-Hudon, qui apprécie par ailleurs que sa formation amène les étudiants à développer leur esprit critique, mais également à ne pas avoir peur de prendre des initiatives.
Mme Soulard-Hudon apprécie l’UQAR pour la proximité et la complicité qu’on y retrouve entre les étudiants, mais aussi avec les enseignants. « Les classes sont ainsi plus souvent dynamiques en petits groupes que dans un auditorium avec 200 élèves. Je trouve que cela facilite l’apprentissage, car nous pouvons poser nos questions directement en classe et sans gêne », observe Mme Soulard-Hudon. Les nombreuses activités qui sont offertes sur l’heure du dîner ou en soirée rendent la vie étudiante à l’UQAR à la fois plus active et dynamique.
Isabelle Soulard-Hudon termine sa troisième année au baccalauréat. Elle n’oublie pas les nombreuses choses que lui a apportées son expérience à l’international, une nouvelle culture, des habitudes de vie différentes. « Partir seule, pour 4 mois, sur un autre continent a aussi été une grande étape dans ma vie. Je suis sortie de ma zone de confort et j’ai appris à être nettement plus débrouillarde et autonome. »
Pour plus d’information sur les programmes d’échanges, on visite le site de l’UQAR.
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