Christel Mathieu
Étudiante à la maîtrise en gestion de projet, campus de Lévis
Après 25 ans de service dans la police de Liège, j’ai décidé de faire une pause dans ma carrière de commissaire pour entreprendre un nouveau défi : réaliser une maîtrise en gestion de projets à l’UQAR ! En fait, j’ai beaucoup voyagé et, lorsque je suis venue visiter le Québec, j’en suis tout de suite tombée amoureuse. L’UQAR est une université qui me correspond totalement, car, ayant déjà étudié dans une grande université à Liège, je savais que je voulais encore une université de renommée internationale, mais à taille humaine cette fois. Je désirais une université qui me permettrait d’avoir un lien privilégié avec les professeurs pour me sentir accompagnée dans ce projet, mais aussi dans ce nouveau pays. L’UQAR est le choix parfait, car je me sens soutenue. On me pousse à dépasser mes limites dans mon projet de recherche axé sur l’aide que peut apporter le citoyen aux personnes qui vivent dans la rue.
— Christel Mathieu
Une commissaire belge choisit l’UQAR pour ses études en gestion de projet
Christel Mathieu, originaire de la Belgique, a décidé de faire le grand pas et de vivre une expérience enrichissante à l’étranger. En effet, elle est arrivée en août dernier au Québec avec sa famille pour entreprendre une maîtrise en gestion de projet, profil recherche, à l’UQAR.
Riche de 25 ans de service dans la police de Liège, Mme Mathieu a choisi de prendre une pause de sa carrière de commissaire pour réaliser un nouveau défi. Son choix pour cette nouvelle vie s’est tout de suite arrêté sur le Québec. « J’ai beaucoup voyagé et, lorsque je suis venue visiter la ville de Québec, j’en suis tout de suite tombée amoureuse. Je m’y sentais comme chez moi. En fait, il s’agit d’un des rares endroits dans le monde où je me disais pouvoir y poser tout de suite mes valises et m’y installer », explique Christel Mathieu.
Certaine de sa décision de s’établir durant cette pause à Québec, elle a ensuite dû choisir une université et c’est vers l’UQAR que son cœur a penché. « L’UQAR est une université qui me correspond totalement, car, ayant déjà étudié dans une grande université à Liège, je savais que je voulais encore une université de renommée internationale mais à taille humaine cette fois. Je désirais une université qui me permettrait d’avoir un lien privilégié avec les professeurs pour me sentir accompagnée dans ce projet, mais aussi dans ce nouveau pays. L’UQAR est le choix parfait, car je me sens soutenue. On me pousse à dépasser mes limites », mentionne l’étudiante.
Christel Mathieu met à profit ses connaissances du terrain en tant que policière et criminologue pour son projet de recherche qui est axé sur l’aide que pourrait apporter le citoyen aux personnes qui vivent dans la rue. « Je trouve vraiment dommage qu’encore aujourd’hui des personnes soient obligées de vivre dehors sans ressource. Je suis donc en train de réfléchir aux différents rôles que pourrait avoir le citoyen pour leur venir en aide », explique-t-elle. Cette expérience lui permettra certainement d’enrichir sa carrière et de jouer un rôle pour améliorer le destin des personnes en situation d’itinérance.