Céleste Rondeau
Étudiante au baccalauréat en développement des sociétés et territoires au campus de Rimouski
Je suis originaire de Nantes, en France. J’ai entendu parler de l’UQAR grâce à l’entente de double-diplomation avec mon université, l’Université catholique de l’Ouest (UCO). Grâce à cette entente de collaboration, je pourrai obtenir mon baccalauréat en développement des sociétés et territoire de l’UQAR et une licence en sciences humaines et sociales de l’UCO. C’est l’étude des comportements humains et des minorités qui m’a attirée dans ce programme, et les cours proposés y répondent directement. C’est une formation qui nous amène à avoir une compréhension critique des réalités sociales afin de mieux comprendre les enjeux contemporains.
— Céleste Rondeau
Se former à l’étranger, un atout pour sa vie professionnelle
Céleste Rondeau a choisi de vivre une grande expérience de vie en venant étudier à l’Université du Québec à Rimouski. Inscrite au baccalauréat en développement des sociétés et territoires, l’étudiante française a bénéficié de l’entente de double-diplomation de l’Université catholique de l’Ouest (UCO) et l’UQAR. Un atout pour sa future vie professionnelle.
Originaire de Nantes, Céleste Rondeau a amorcé ses études au Québec cet automne. « J’ai entendu parler de l’UQAR grâce à l’entente de double-diplomation avec mon université, l’UCO. Il faut dire que j’avais un grand intérêt personnel et professionnel pour aller étudier à l’étranger, et particulièrement au Québec. Grâce à cette entente de collaboration, je pourrai obtenir mon baccalauréat en développement des sociétés et territoire de l’UQAR et une licence en sciences humaines et sociales de l’Université catholique de l’Ouest », explique-t-elle.
L’intégration à la communauté universitaire de l’UQAR s’est déroulée facilement, poursuit l’étudiante française. « L’accueil chaleureux des étudiantes et des étudiants québécois a été bénéfique pour moi. » Depuis son arrivée, elle a observé une grande différence entre ses études en France et à l’UQAR en ce qui a trait à la dynamique en classe. « Le nombre de personnes en classe y est pour beaucoup. J’aime la motivation que les professeures et les professeurs renvoient tant par leurs connaissances que leur professionnalisme. Le qualificatif que j’attribuerais à l’UQAR est l’adjectif « inspirant ». L’Université m’inspire par son cadre naturel idyllique, propice à l’inspiration. »
Le baccalauréat en développement des sociétés et territoires est une formation en sciences sociales appliquées. Ce programme multidisciplinaire marie les enseignements théoriques en sciences humaines et sociales et des ateliers pratiques. « C’est l’étude des comportements humains et des minorités qui m’a attirée dans ce programme. Et les cours proposés y répondent directement. C’est une formation qui nous amène à avoir une compréhension critique des réalités sociales afin de mieux comprendre les enjeux contemporains », mentionne l’étudiante française.
Dans ses temps libres, Céleste Rondeau profite de l’accessibilité à la nature et la vitalité culturelle de Rimouski. « J’aime beaucoup me balader autour du fleuve et aller au cinéma Paral’oeil, la programmation est top! De plus, j’ai découvert très récemment les matchs d’improvisation. J’ai été bluffée par le talent des comédiens, la maîtrise de la langue. J’adore l’humour québécois. Très belle découverte! »
À la fin de ses études au baccalauréat, l’étudiante en développement régional envisage de poursuivre ses études à la maîtrise. « Je ne sais pas encore dans quel domaine, mais j’ai bien envie de continuer mon parcours universitaire à l’étranger », conclut-elle.