J’ai commencé à enseigner à l’UQAR en 2016, après avoir obtenu une Chaire de recherche du Canada en écologie halieutique à l’Institut des Sciences de la Mer. Puisque les sciences marines forment l’un des axes d’excellence en recherche de l’UQAR, mes travaux dans le domaine des pêcheries maritimes s’insèrent dans un contexte pour le moins dynamique. À l’UQAR-ISMER, je sens que je suis en mesure de développer des collaborations durables. Depuis mon arrivée, j’ai dirigé la mise sur pied de nombreux projets dans lesquels mon équipe et moi avons obtenu beaucoup de succès. J’attribue une grande partie de ces réussites à l’attitude positive et collaborative de mes collègues de l’ISMER et des autres départements. De plus, puisque l’UQAR est une université de petite taille, il est facile pour les étudiants d’interagir avec les professeurs, et pour ceux-ci d’obtenir le soutien des administrateurs de la recherche. C’est une situation où tout le monde est gagnant.