École d’été en éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD)

Volet maritime du Collectif MÉDUSE (Maritime, EDUcation, Société et Environnement)

École d’été en éducation au maritime

Du 12 au 16 août 2024
Parc national du Bic

La première édition de l’école d’été du Collectif MÉDUSE (Maritime, ÉDUcation, Société et Environnement), intitulée L’éducation au maritime au cœur de la transformation sociale et environnementale, est soutenue par le ministère de l’Enseignement supérieur (MES) et par le Fonds de recherche du Québec – Nature et technologie (FRQNT).

Pendant les 5 journées de formation vécues en milieu naturel maritime, l’école d’été s’offre dans un environnement exceptionnel, soit le Parc national du Bic, et propose quatre (4) ateliers constituant le cœur de l’école d’été et intégrant les compétences en matière de durabilité de l’UNESCO :

 Atelier 1  Explorer la complexité de l’estuaire du Saint-Laurent
 Atelier 2  Vivre le long du Saint-Laurent : enjeux et adaptation
 Atelier 3  Connexion à la nature maritime : création in situ
 Atelier 4  Éducation à l’environnement, aux changements climatiques et à la biodiversité en contexte éducatif

Cette formation vous permet de vous familiariser avec une éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) en contexte maritime et à ses fondements pédagogiques. Les ateliers sont élaborés en vue de développer votre propre culture maritime de façon interdisciplinaire et à stimuler les réflexions éducatives et collaboratives pour une prise en charge graduelle de vos propres interventions pédagogiques en contexte scolaire. La dernière journée de l’école d’été est une occasion d’initier la conception de situations d’enseignement et d’apprentissage variées en EEDD au maritime.

Partenaires

Cette première édition de l’école d’été est offerte à la fois aux personnes enseignantes en exercice (primaire, secondaire, adaptation scolaire et collégial, de toutes les disciplines) et aux personnes étudiantes en enseignement qui désirent s’initier à l’éducation à l’environnement (EEDD) dans un contexte maritime.

Début des inscriptions : 25 février 2024

Date limite abandon : Voir les politiques d’abandon/annulation ci-dessous

Nombre de places disponibles pour cette édition :

  • Formation crédité (3 crédits) : 12 étudiant·es pour le cours crédité SCE20524
  • Formation continue : 10 enseignant·es des niveaux primaire et secondaire (y compris le secteur de l’adaptation scolaire et sociale) et collégial, toutes disciplines d’enseignement confondues

Les places étant limitées, inscrivez-vous rapidement. Une liste d’attente sera prévue.

Les conditions d’hébergement sur place : la gestion de l’hébergement est à la charge des participant·es, voir les options sur Rimouski.
L’accès au site : la gestion du déplacement entre le logement et le parc du Bic est à la charge des participant·es.
Les repas : sont à la charge des participant·es (Déjeuner, Dîner et Souper). 



Type de formationParticipant·esSigle du coursFaçon de s’inscrire
Formation créditéeÉtudiant·e en enseignement au 1ᵉʳ cycle à l’UQAR (ayant complété 60 crédits)SCE20524Inscription auprès de la commis à la gestion module en ES et en EASS : 
Formation créditéeÉtudiant·e au 2ᵉ ou 3ᵉ cycle en éducation à l’UQAR
SCE20524Inscription auprès de la commis à la gestion module en ES et en EASS : 
Formation créditéeÉtudiant·e dans un programme d’enseignement d’une autre université qui a la permission de sa direction de programme de s’inscrire via le Bureau de coopération interuniversitaire (BCI)SCE20524
Formation continueTout autre participant·e (enseignante ou enseignants en exercice) ne désirant pas de crédits universitaires mais souhaitant plutôt recevoir une attestation de formationSondage d’intérêt pour de futures éditions [https://fr.surveymonkey.com/r/S5X2N63]

Atelier 1

Explorer la complexité de l’estuaire maritime du fleuve Saint-Laurent

L’atelier #1 vise à amener les intervenant.e.s en milieu scolaire vers une compréhension des liens multiples qui existent entre les différentes composantes et échelles d’observation du système océanographique du Saint-Laurent. La complexité de cette étendue d’eau qui traverse le territoire québecois et de son comportement gagne à être explorée à travers différentes perspectives et outils. Pour ce faire, nous vous proposons de développer une vue d’ensemble de ce système par le biais de sous-ateliers et de discussions de groupes dans lesquels vous serez amené.e.s à démystifier des mécanismes en océanographie, décortiquer des processus écologiques et apprivoiser l’exploration de données existantes sur le St Laurent.

Des thèmes variés en lien avec le mouvement de l’eau, la dynamique de production primaire côtière, l’analyse de la morphologie du littoral et l’ornithologie marine seront abordés dans les différents sous-ateliers. Durant cette journée, des équipes de 3 à 5 personnes seront formées et celles-ci choisiront un thème spécifique selon leurs intérêts. Il sera donc possible, dans un premier temps, de développer un sentiment de compétence face à divers enjeux en lien avec le Saint-Laurent en groupe restreint pour ensuite partager les apprentissages et la construction de votre vision de la complexité du St-Laurent lors d’une rencontre élargie qui prendra la forme d’une discussion enregistrée sous forme de balado en fin de journée.

Personnes responsables :

Dany Dumont, David Pelletier, Christian Nozais, Fanny Noisette, Catherine Simard, Gwenaelle Chaillou, Ivar Alberto, Elie Dumas-Lefebvre

Atelier 2

Vivre le long du Saint-Laurent : enjeux et adaptation

C’est lors d’une excursion au Parc du Bic que les personnes enseignantes seront d’abord informées des différents enjeux côtiers présents le long de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent (érosion, préservation des paysages, conflits d’usage…). Elles s’initieront ensuite à un jeu sérieux traitant de l’adaptation aux risques côtiers. Pendant ce jeu sérieux, les personnes participantes « seront confrontées à différents points de vue et prendront conscience de la complexité des enjeux en situation de résolution de problème » (Groleau, 2017; Sauvé et coll. 2007). Le jeu mènera à la création d’un nouveau territoire, mieux adapté aux défis côtiers auxquels il sera soumis sur un horizon de 30 ans, tout en tenant compte des préoccupations et des besoins des divers acteurs de la société.

Personnes responsables :

Guillaume Marie, Geneviève Therriault,Audrey Groleau, Nathalie Girard, François-Pierre Renaud

Atelier 3

Connexion à la nature maritime : création in situ

L’atelier #3 propose une plongée dans votre rapport intime au fleuve et, plus largement, aux territoires du maritime, en vous faisant vivre des expériences de création artistique dans un contexte à la fois ludique et sérieux, axé sur la réflexion et le recueillement. Comment parler du fleuve, de la mer, des rivages? Sous quelle forme littéraire (un journal, un abécédaire, un poème, une lettre, une chanson…)? À partir de quelle expérience (in situ, imaginée ou recomposée par les souvenirs)? Avec quels matériaux tirés du littoral puis-je fabriquer du sens, de l’émotion, transposés sur une toile ou tout autre support propre à la conception d’une œuvre, même éphémère? Sous quel angle neuf, inusité, étonnant, puis-je voir autrement, photographier autrement, un paysage fluide? Autant de questions et de gestes créateurs qui ont pour but de vous inciter à vivre une expérience de réciprocité, de connexion au territoire et de vous amener à articuler une posture écocitoyenne autant qu’à amorcer une méditation sur les processus de transmission artistique d’une mémoire collective de notre patrimoine marin. Vous en garderez les traces, pour toujours, sous forme de journal ou d’album de bord!

Personnes responsables :

Martin Robitaille, Anne Marie Michaud, Alexandra Bernier, Émilie Morin, Pascale Bergeron

Atelier 4

Éducation à l’environnement, aux changements climatiques et à la biodiversité en contexte éducatif

Lors de l’atelier #4, vous serez initié aux différents types d’éducation à l’environnement à visée transformatrice et sociocritique ainsi qu’aux principes pédagogiques sous-jacents, incluant des aspects affectifs, une approche par compétences en éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) et l’appropriation d’outils pour soutenir vos réflexions sur vos pratiques d’enseignement. En fin de formation, les nouveaux apprentissages réalisés seront repris de façon à favoriser leur transposition en salle de classe, dans votre établissement d’enseignement et visant l’action. Ainsi, vous serez invité à vous projeter dans la mise en œuvre de situations d’enseignement et d’apprentissage s’inspirant d’une EEDD liée au maritime tout en partageant vos réflexions avec les autres personnes participantes de même qu’avec l’équipe de chercheuses et chercheurs présente. Enfin, de manière transversale, cet atelier favorisera votre développement des compétences en EEDD.

Personnes responsables :

Émilie Morin, Geneviève Therriault, Catherine Simard, David Pelletier, Pascale Bergeron, Laura Sims.

Catherine Simard, Ph.D.

Catherine Simard, Ph.D., s’intéresse aux questions relatives à la conceptualisation du vivant, à l’épistémologie de la biologie, au développement du rapport au vivant de l’élève, aux pratiques enseignantes en S&T tout en considérant les enjeux liés à un enseignement interdisciplinaire et aux éducations à la biodiversité et à l’environnement. Elle s’intéresse également aux pratiques éducatives collaboratives entre les milieux de l’éducation formelle et non formelle dans le développement d’une culture scientifique dans le cadre, notamment, d’une éducation à l’environnement.

Christian Nozais

Océanographe biologiste de formation, Christian Nozais s’intéresse aux relations entre la biodiversité marine (végétale et animale) et le fonctionnement des écosystèmes dans un monde en changement. Ses travaux impliquent des approches expérimentales en laboratoire et sur le terrain dans le Saint-Laurent et l’Arctique canadien.

Dany Dumont, Ph.D.

Dany Dumont, Ph.D., est professeur d’océanographie physique à l’Institut des sciences de la mer (ISMER) de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Ses recherches portent sur la la banquise ou la glace de mer et ses interactions avec l’océan, l’atmosphère, le climat et les écosystèmes. Ses recherches sont teintées par un vif intérêt envers le patrimoine, l’histoire et les relations qu’entretient l’humain avec l’océan.

Gwénaelle Chaillou, Ph.D.

Gwénaelle Chaillou, Ph.D., est professeure en océanographie chimique à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR). Elle s’intéresse aux processus et mécanismes de transferts biogéochimiques dans le continuum continent – océan qui touchent le carbone, les nutriments et les métaux en trace. Depuis juin 2023, elle est directrice générale du Réseau Québec maritime (RQM).

Fanny Noisette, Ph.D.

Fanny Noisette, Ph.D., est spécialiste en écologie côtière. Elle travaille avec son équipe sur la compréhension et la gestion des écosystèmes marins côtiers et de leur fonctionnement dans un contexte de changements océaniques globaux en se concentrant sur les milieux marins avec des macrophytes et des algues.

David Pelletier, Ph.D.

David Pelletier, Ph.D., est professeur-chercheur au Cégep de Rimouski depuis 2007. Il est passionné de sciences, du milieu marin, de l’environnement, des oiseaux, des nouvelles technologies et de l’interdisciplinarité. Ses travaux visent à comprendre et à expliquer les réponses physiologiques et comportementales des prédateurs aviaires marins aux changements environnementaux. Au Cégep de Rimouski, il est également porte-parole du Comité d’action et de concertation en environnement et il a développé de nombreux projets d’initiation à la recherche avec des étudiant·e·s en sciences de la nature, autant au Québec qu’en Amérique centrale.

Ivar Alberto

Ivar Alberto, technicien en bioécologie et bachelier en biologie. Depuis le début de ses études, il explore les milieux naturels du Québec en se laissant émerveiller par sa grande diversité. Son implication dans le loisir ornithologique l’a amené à s’intéresser à la conservation des milieux naturels, l’animation et la vulgarisation scientifique. Au travers de son passage chez Technosciences Est-du-Québec, il a développé plusieurs outils pédagogiques pour démystifier la science pour les jeunes du primaire et du secondaire. Son nouveau défi à l’UQAR consiste à développer des façons d’intéresser les jeunes dans la conservation des milieux côtiers du fleuve Saint-Laurent en leur faisant découvrir la complexité de ces milieux.

Elie Dumas-Lefebvre

Elie Dumas-Lefebvre débute sa troisième année en tant que professionnel de recherche et chargé de cours à l’UQAR. Motivé par une grande curiosité envers le territoire qui l’entoure, il a développé une expertise en océanographie physique dans le cadre de sa maîtrise. Il profite des opportunités pédagogiques qui s’offrent à lui pour approfondir son expertise à la fois en enseignement mais sur divers domaines en océanographie afin de partager, à travers la construction du savoir, le lien qu’il possède avec le Saint-Laurent.

Audrey Groleau, Ph.D.

Audrey Groleau, Ph.D., est professeure de didactique des sciences et de la technologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle est titulaire de la Chaire d’excellence en enseignement UQTR sur l’appropriation de questions technoscientifiques d’actualité. Elle contribue à la formation d’enseignant.es du primaire, du secondaire et en adaptation scolaire, d’une part, et de chercheurs et chercheuses en didactique, d’autre part.

Geneviève Therriault, Ph.D.

Geneviève Therriault, Ph.D., est détentrice d’un doctorat en éducation (UQAR-UQAM, 2008) et d’un postdoctorat en didactique (ULaval, 2009). Depuis son entrée en poste à titre de professeure en formation pratique au secondaire et aujourd’hui en fondements de l’éducation, elle mène des recherches collaboratives dans le champ de l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD), en s’intéressant tout particulièrement à l’enseignement des sciences naturelles (SN) et des sciences humaines et sociales (SHS) citoyennes. La mise en oeuvre de démarches éducatives interdisciplinaires l’interpelle tout particulièrement, en s’attardant aux effets de ces mises à l’essai auprès des élèves et des enseignants du secondaire, tout particulièrement au regard de leur rapport aux savoirs, de leur agentivité écocitoyenne et de leurs pratiques éducatives. Les questions environnementales « socialement vives » traitées dans ces démarches concernent notamment les changements climatiques et les enjeux sociaux et écologiques associés au fleuve Saint-Laurent. Elle est aujourd’hui titulaire de la Chaire de recherche en EEDD UQAR-Desjardins, dont l’objectif est de stimuler le développement du pouvoir agir des jeunes.

Guillaume Marie, Ph.D.

Guillaume Marie, Ph.D., est professeur de géographie des zones côtières à l’Université du Québec à Rimouski. Il s’intéresse à la fois à la géomorphologie des côtes rocheuses, à la caractérisation et à la prévention des risques littoraux et au patrimoine culturel côtier. Ses projets de recherches, menés au Québec, en France et au Cameroun, sont souvent menés en collaboration étroite avec les acteurs du territoire, afin d’améliorer la résilience des communautés côtières, notamment par le biais de différents outils de sensibilisation ou d’aide à la gestion.

Nathalie Girard

Enseignante de géographie au cégep de Matane depuis plus de 20 ans, Nathalie Girard est aussi professionnelle de recherche en collaboration avec Geneviève Therriault et Guillaume Marie afin de mettre en œuvre un jeu sérieux à visée pédagogique sur les enjeux côtiers le long du St-Laurent. Elle est passionnée d’environnement et souhaite favoriser le développement du savoir agir chez les futurs enseignants et leurs élèves dans le but d’améliorer l’implication écocitoyenne face aux défis environnementaux.

Alexandra Bernier

Alexandra Bernier est candidate au doctorat à l’Université Laval et chargée de cours à l’Université du Québec à Rimouski. Elle s’intéresse spécialement à l’activité professionnelle de personnes enseignantes généralistes dans le domaine des arts. Son travail et ses intérêts en recherche portent, entre autres, sur les aspects suivants : arts, créativité, création de sens, résolution de problèmes, activité enseignante et éducation à l’environnement et au développement durable. Pour elle, l’art est un moyen de créer du sens et de s’exprimer sur des enjeux personnels, sociaux et environnementaux, en vue d’enrichir notre rapport au monde et de le transformer.

Émilie Morin, Ph.D.

Émilie Morin, Ph.D., est professeure régulière en psychopédagogie de la formation pratique au préscolaire et au primaire à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Ses travaux de recherche ou de développement portent sur l’éducation au climat pour le développement du pouvoir agir, sur les enjeux éducatifs liés au Saint-Laurent, sur le pouvoir agir des jeunes face à différentes problématiques environnementales ainsi que sur les pratiques enseignantes. Dans le cadre de son doctorat (2016-2021) financé par le Conseil de recherche en sciences humaines (CRSH), elle s’est intéressée au sentiment de pouvoir agir des jeunes du Québec face à la problématique sociale et environnementale des changements climatiques.

Anne Marie Michaud, Ph.D.

Anne Marie Michaud, Ph.D., est une artiste-pédagogue en arts visuels et professeure en didactique des arts à l’unité départementale des sciences de l’éducation de l’UQAR au Campus Lévis. Elle est détentrice d’un baccalauréat en design de l’environnement (UQAM), en beaux-arts (Concordia U.), d’une maîtrise en arts visuels ainsi que d’un doctorat en création et formation artistiques (U. Laval). Son expérience des milieux communautaires a teinté les approches qu’elle préconise, l’amenant à explorer des projets artistiques socialement engagés, des projets liant art et botanique, ainsi que des initiatives de cocréation auprès de groupes d’enfants et d’adultes dans des projets d’art communautaire.

Martin Robitaille, Ph.D.

Martin Robitaille, Ph.D., est professeur de Lettres à l’UQAR et écrivain. Spécialiste de l’œuvre de Marcel Proust, il s’intéresse également à la psychanalyse et au concept de mélancolie dans les œuvres modernes. Ses cours portent principalement sur le roman français du XIXe et du XXe siècle et sur la création littéraire. Il est l’auteur d’un essai, Proust épistolier, de deux romans, Les déliaisons et En chemin je t’ai perdu, et d’un recueil de poèmes, Bordure nord. La mer et le fleuve occupent une place particulière dans son œuvre, à la fois comme lieu de ressourcement et origine d’un questionnement sur la permanence et la fragilité du vivant. Il a par ailleurs créé, en 2014, une exposition de photographies du fleuve Saint-Laurent à la galerie de l’UQAR

Pascale Bergeron

Pascale Bergeron est professeure en psychosociologie à l’université du Québec à Rimouski (UQAR). Détentrice d’une formation initiale en accompagnement du changement dans les systèmes humains complexes, les approches phénoménologiques, somatiques, réflexives et dialogiques sont au cœur de son travail de formation, de recherche et d’intervention. En tant que chercheure, elle a développé une expertise de recherche en étude des pratiques psychosociales, et ce, dans la perspective de leur renouvellement. Sa thèse porte sur les pratiques de formation à la sensibilité relationnelle en formation initiale d’accompagnateur.ices. Passionnée par la formation et la recherche en sciences humaines, ses champs d’intérêts convergent vers la relationnalité constitutive de l’expérience vécue, au regard de la relation à soi, à l’autre, au monde.

Laura Sims, Ph.D.

Laura Sims, Ph.D., est professeure titulaire à la Faculté de Éducation de l’Université de Saint-Boniface. Elle enseigne, entre autres, les cours liés à la diversité culturelle en éducation, aux perspectives autochtones et à l’éducation relative à l’environnement. Ses recherches portent sur l’éducation relative à l’environnement en contexte d’apprentissage formel et non formel.

Gwenaëlle Gremion Ph.D.

Océanographe de formation, Gwenaëlle Gremion Ph.D., s’intéresse aux environnements marins polaires. Elle est ainsi chargée de la coordination de nombreux groupes et projets de recherche interdisciplinaires et internationaux en lien avec l’Océan. De plus, elle apprécie particulièrement développer et participer à de nombreuses activités de médiation scientifique à l’échelle nationale et internationale. Ainsi, pour toutes questions relatives à cette école d’été, vous pouvez prendre contact avec Gwen qui est la coordonatrice de l’activité.