Portrait de l’UQAR

Marianne Poirier

Étudiante au baccalauréat en développement des sociétés et territoires à l’UQAR, campus de Rimouski

J’ai un parcours plutôt atypique : je suis venue visiter l’UQAR en 2009 lors de portes ouvertes après mon cégep. J’avais été attirée par le programme, mais aussi par l’ambiance de l’université. J’ai choisi de réaliser dans un premier temps un certificat en sciences sociales dans un autre établissement, mais les amphithéâtres de 200 places ne m’ont pas séduite. Je suis donc retournée à Rimouski où j’étudie au baccalauréat en développement des sociétés et territoires depuis l’automne 2016. Le baccalauréat offre une approche sociologique dans un département pluridisciplinaire. Nous avons la chance d’avoir des professeurs venant de tous les horizons : des juristes, des politologues, des spécialistes en environnement et en sociologie, etc. L’interdisciplinarité est d’une importance majeure, car elle nous permet d’observer la réalité à travers différentes lunettes et d’avoir ainsi une vue d’ensemble pour mieux la comprendre. Pour entrevoir notre futur et notre entrée dans le monde du travail, nous avons de très bons outils à notre disposition comme des cours de méthodologie, essentiels à la structure de la pensée scientifique. Je suis très observatrice dans la vie et le baccalauréat nous donne ces outils pour comprendre comment la société fonctionne et comment dans le milieu communautaire, l’imbrication se réalise. Tout particulièrement, les liens se tissent rapidement à l’UQAR, le Département sociétés, territoires et développement permet de s’inclure immédiatement. Les professeurs et chargés de cours nous motivent à élaborer des projets. Tous les hivers, ce sont donc les étudiants qui organisent des sorties de terrains. Nous acquerrons ainsi une grande expérience professionnelle.

— Marianne Poirier