Maxime Trudeau, étudiant en première année au baccalauréat en communication (relations humaines), est déménagé de Montréal afin d’étudier à l’UQAR. La richesse des contacts humains ainsi que l’accueil sincère des Rimouskois ont confirmé son choix et son amour pour la région.

Âgé de 26 ans, Maxime a tout d’abord entrepris des études en sciences politiques à l’UQAM avant son arrivée à Rimouski à l’automne 2013. Initialement inscrit au baccalauréat en développement social, l’étudiant a toujours eu un fort intérêt pour tout ce qui a trait aux relations humaines comme son conseiller en orientation l’avait mentionné avant son départ.

Le programme de psychosociologie a attiré son attention par le biais d’une amie et ce sont ses volets pratique et concret qui l’ont convaincu. En effet, pendant son parcours, Maxime a l’opportunité de vivre des rentrées hors du commun au Village des Sources en plus de participer à des colloques chaque fin de trimestre. D’ailleurs, à l’automne dernier, il a présenté un essai sur la volonté.

Dès son arrivée à l’UQAR, il a été touché par l’accueil et le contact chaleureux entre les gens. Il s’est immédiatement senti accepté et valorisé dans l’établissement que ce soit avec le corps professoral ou les divers services offerts. « Ici, à l’UQAR, on n’est pas un numéro, les gens me connaissent par mon prénom et prennent du temps pour moi ». Les diverses activités, comme l’UQARnaval, permettent aussi de créer une vie communautaire dynamique et de tisser des liens avec les autres dans une ambiance bon enfant.

Ce bel accueil a notamment fait naître en Maxime un ardent désir de redonner qui se concrétise, notamment, par son rôle de vice-président aux affaires externes à l’AGECAR. Cette implication lui permet de rencontrer des acteurs influents du Bas-Saint-Laurent, tels que des maires ou des députés, et ainsi de représenter son université. Son poste lui permet également d’échanger avec d’autres universités et de défendre la seule à l’est de Québec.

Maxime s’est bien intégré à la ville en assistant à divers événements de la région comme les parties de l’Océanic ou les soirées de slam, en plus d’encourager et de prendre plaisir à découvrir les entreprises locales. L’année dernière, il a eu la chance d’expérimenter la pêche sur la banquise et il a attrapé son premier poisson : une journée inoubliable. La beauté de la ville l’a profondément marqué et la municipalité de Saint-Fabien lui a d’ailleurs volé son cœur avec ses couchers de soleil à couper le souffle. « J’aspire secrètement à devenir le maire de Saint-Fabien », lance-t-il en riant.

Bref, Maxime Trudeau se compte chanceux de pouvoir grandir à travers la richesse des contacts humains à l’université. « Mon programme en psychosociologie me permet d’être un meilleur être humain et de tisser des liens avec le monde ». Il compte être un acteur de changement pour son nouveau territoire d’adoption et il incite les gens à venir s’établir en région, car c’est une superbe expérience.