Kevin Marcoux est finissant au baccalauréat en administration, concentration gestion des technologies d’affaires (GTA).

Il a rapidement intégré le marché du travail grâce à sa formation en GTA. Il a été embauché chez CGI, une entreprise en informatique, avec la condition de terminer ses études. « J’avais envoyé mon CV un peu partout, beaucoup d’entreprises demandent d’avoir le bac, mais CGI m’a dit qu’ils ne voulaient pas perdre ma candidature sur le marché. Mais, ils ont quand même mis la condition que je devais finir mon bac en avril », explique M. Marcoux.

L’entreprise est très accommodante quant à la conciliation travail/études. « Étant donné qu’ils veulent que je termine mes études, ils me laissent beaucoup de liberté par rapport à ça, par exemple dans les semaines d’examen, j’ai été libéré pour me concentrer sur les études », indique M. Marcoux.

« Je suis présentement analyste en technologie chez CGI. Actuellement, je travaille sur un mandat », mentionne M. Marcoux. « Le contrat de consultation est de deux ans, ils m’ont engagé pour aller chercher les besoins finaux du client, mais grâce à notre formation à l’UQAR, j’ai les compétences pour répondre aux besoins », ajoute-t-il.

Kevin Marcoux a différents projets professionnels. « Je continuerai mes études dans le domaine, car je suis inscrit au certificat en cyber sécurité à la Polytechnique de Montréal, à distance, pour me spécialiser plus en sécurité informatique », souligne M. Marcoux.

M. Marcoux apprécie son parcours de formation GTA. « Dans le domaine GTA, c’est intéressant de travailler sur deux volets en même temps. Le volet affaires et le volet technologie, ce n’est pas juste l’un ou l’autre, mais c’est un peu le mélange des deux », explique M. Marcoux.

« La formation à l’UQAR se différencie par la proximité des enseignants. Si on a des questions, ils sont toujours disponibles. L’accessibilité aux professeurs est vraiment bien, comme présentement, même si je suis à mon nouvel emploi, si je ne comprends pas quelque chose que le client me demande, je peux demander des conseils à un professeur et ils vont être heureux de pouvoir m’aider », précise M. Marcoux. « Ils ont beaucoup d’expérience pour pouvoir nous aider et ils sont ouverts à ce qu’on leur en parle, même après mon bac. C’est très apprécié d’avoir de l’accompagnement et du coaching », conclut-il.