Originaire de Casablanca, au Maroc, Rachid Fakir a décidé d’immigrer au Québec en 2016 pour étudier à la maîtrise en ingénierie de l’Université du Québec à Rimouski. Les nombreuses expériences pratiques et l’encadrement des professeurs tout au long de son parcours à l’UQAR lui ont permis de réaliser un stage de fin d’études chez Bombardier Transport.

« L’UQAR, c’est comme le pays imaginaire de Peter Pan… Elle s’ajuste à ses étudiants pour satisfaire les ambitions et les rêves de chacun », explique Rachid Fakir en pensant à son parcours. En effet, dès ses premiers jours à l’UQAR, l’étudiant à la maîtrise en ingénierie a été accueilli par les professeurs Noureddine Barka et Jean Brousseau, qui l’ont par la suite encadré dans son projet de recherche sur les procédés laser.

Il a ensuite eu l’occasion d’enrichir ses connaissances scientifiques en échangeant sur le sujet avec les chargés de cours et les auxiliaires de recherche, entre autres. Ces échanges professionnels et humains lui ont permis de bonifier ses connaissances, de valoriser ses travaux de recherche par des publications dans des journaux scientifiques internationaux, de participer à la Compétition québécoise d’ingénierie CQI 2018 et de présenter ses travaux de recherche à la conférence de l’ASME (American Society of Mechanical Engineers).

Grâce à l’ensemble des connaissances et des compétences acquises lors de son programme à l’UQAR et au soutien de ses directeurs de recherche, Rachid Fakir a réussi à obtenir un stage de fin d’études chez Bombardier Transport, la division ferroviaire de Bombardier Inc. « ​Je suis impliqué dans le cadre de mon stage dans le suivi, la coordination et la recherche et développement pour l'optimisation du soudage au laser de composantes structurelles de l'industrie du transport ferroviaire », explique Rachid Fakir.

Ce stage de fin d’études permet à l’étudiant de mettre en pratique les notions apprises tout au long de ses études et de ses recherches à l’UQAR. « Ce stage m’a permis de me familiariser avec les techniques de pointe en termes des procédés laser, d’acquérir une expérience dans le marché du travail québécois, de développer mon réseau professionnel et de m’introduire dans un milieu dans lequel je vais travailler après la fin de mon stage », mentionne-il.

Par son passage à l’UQAR, M. Fakir a pu s’intégrer rapidement dans la communauté universitaire et d’évoluer professionnellement en très peu de temps. « Les études et le travail sont deux clés importantes permettant aux personnes de l’étranger de s’intégrer dans leur communauté d’accueil. Mon parcours à l’UQAR en est un bon exemple », conclut-il.