Benjamin Simard-Jean vient de se joindre à l’UQAR à titre de responsable de l’internationalisation. Il s’agit d’un nouveau poste qui vise à coordonner et à accroître les activités internationales de l’Université.

Titulaire d’une maîtrise en administration publique, concentration administration internationale, de l’ÉNAP et d’un baccalauréat en science politique (relations internationales) de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), M. Simard-Jean est entré en poste le 8 juillet dernier. Avant d’être embauché à l’UQAR, il a occupé divers postes dans le secteur des communications au Cégep de Rimouski, de 2016 à 2019, et réalisé des mandats comme agent de recherche et agent en coopération internationale à l’UQAR.

Relevant du vice-recteur à la formation et à la recherche, le responsable de l’internationalisation a pour mandat de conseiller la direction de l’UQAR quant au déploiement de stratégies liées aux activités internationales et de favoriser le positionnement et le rayonnement de l’Université sur la scène internationale. Il sera également impliqué à l’égard de la mobilité étudiante, du recrutement d’étudiantes et d’étudiants étrangers et de l’établissement de partenariats internationaux en formation et en recherche.

« La création de ce nouveau poste va permettre à l’UQAR d’accroître ses activités et son rayonnement international. Il s’agit d’un poste stratégique qui va favoriser, entre autres, la mobilité entrante et sortante d’étudiantes et d’étudiants, la signature d’ententes permettant la bidiplomation et une participation accrue de nos chercheuses et nos chercheurs à des projets internationaux », indique le vice-recteur à la formation et à la recherche, François Deschênes.

Originaire d’Amqui, Benjamin Simard-Jean entreprend ce nouveau défi professionnel avec beaucoup d’enthousiasme. « Je suis convaincu de la valeur précieuse de l’international dans l’enrichissement de l’enseignement supérieur. L’ouverture sur le monde et les cultures sont des éléments essentiels à la réussite des étudiantes et des étudiants et à l’épanouissement du savoir et des collectivités. L’UQAR est d’ailleurs un acteur clé à cet égard et je suis motivé à travailler avec les acteurs en place afin d’accentuer le positionnement de l’Université. »