Le programme court de 2e cycle en étude de la pratique artistique tient son cinquième colloque sous le thème « Ce que l’art permet » les 29 et 30 mai. L’événement sera accessible au grand public grâce à la plateforme Zoom.

Le thème de cette année fait écho au pouvoir de l’art, indique la chargée de cours Virginie Chrétien. « L’art offre une fenêtre singulière sur le monde. Que ce soit dans un contexte inspirant ou dans un contexte contraignant comme celui que nous vivons depuis plus d’un an, l’art trouve sa voie et nous fait découvrir des aspects de la condition humaine qui ne sont pas accessibles aux autres domaines de connaissance. »

Les finissantes au programme court de 2e cycle en étude de la pratique artistique vont témoigner de leur processus créatif, de leur point de vue et de leurs recherches dans le cadre de communications. Les participantes sont Claire Aubin, Caroline Barber, Véronique Beaudin, Josée Bourgoin, Mélanie Courcelles, Jocelyne Gaudreau, Karen Golden, Karine LeBlanc, Paule de Margerie, Marie-Pier Morin, Caroline Noël, Joan Sullivan et Rachel Thibault. Soulignons qu’à titre d’invitée l’artiste multidisciplinaire Sylvie Cotton prononcera une conférence intitulée « Du TOUT du RIEN » le dimanche 30 mai à 10 h.

En raison des règles sanitaires, le colloque « Ce que l’art permet » sera présenté virtuellement. « Cette formule a un grand avantage : elle permet aux personnes d’ici et d’ailleurs qui s’intéressent à l’art et à la création d’assister à notre événement et d’en apprendre davantage sur l’étude de la pratique artistique », mentionne Virginie Chrétien. Le lien Zoom est accessible ici.

La programmation détaillée du colloque est disponible ici. Mentionnons que le colloque est présenté avec la collaboration du collectif Les Ateliers de l’œuvrement.

Lancé en 2012, le programme court de 2e cycle en étude de la pratique artistique est une formation qui permet de réfléchir sur le processus créateur, le rôle de l’artiste, le sens et les enjeux de l’engagement créateur pour soi et la société. « Sa singularité réside autant dans la philosophie d’enseignement axé sur la réflexivité et l’ouverture que dans le colloque qui représente le point culminant du cheminement académique des étudiantes », conclut Mme Chrétien.