Chacune des constituantes de l’Université du Québec souligne annuellement l’apport exceptionnel d’une ou d’un de leurs membres en les nommant au Cercle d’excellence du réseau de l’UQ. Cette année, face à une situation hors du commun, l’UQAR a tenu à mettre de l’avant non pas une seule personne, mais plutôt l’ensemble de sa communauté pour son engagement pendant la pandémie de la COVID-19.

Si l’Université du Québec à Rimouski a été en mesure de poursuivre sa mission depuis le printemps 2020, c’est grâce à la mobilisation de sa communauté universitaire, souligne le recteur François Deschênes. « La population étudiante, les professeures et les professeurs, les personnes chargées de cours, les membres du personnel administratif et de soutien, les cadres et les partenaires de l’Université ont mis l’épaule à la roue et ont fait preuve d’une solidarité et d’un engagement remarquable envers l’Université. »

La pandémie de la COVID-19 a bouleversé le quotidien de l’ensemble de la société. À l’échelle de l’Université, toute la communauté de l’UQAR a dû faire preuve d’innovation, de conciliation et de mobilisation durant plusieurs mois. « Le confinement imposé afin de protéger la santé et la sécurité des citoyennes et des citoyens a occasionné une réorganisation exceptionnelle et rapide des habitudes de travail, des modalités d’enseignement et d’apprentissage, des pratiques de recherche ou de l’offre de services », ajoute le recteur Deschênes. « Notre communauté a, dans ce contexte, fait preuve d’une résilience et d’une solidarité digne de mention. Il était important pour nous de la remercier et de souligner ses efforts grâce à la remise de cette distinction importante au sein du réseau de l’Université du Québec. »

La nomination de la communauté de l’UQAR au Cercle d’excellence sort de l’ordinaire, poursuit le recteur Deschênes. « Devant une situation inédite, nous avons été témoins d’un soutien exceptionnel de la communauté envers son université et cela méritait une mesure hors du commun pour le reconnaître. Nous sommes très reconnaissants à l’Université du Québec d’avoir accepté une telle dérogation. »