Candidate à la maîtrise en sciences infirmières, la chargée de cours Marie-Ève Caron a remporté le prix Florence dans la catégorie « relève » lors de la 19e Soirée Florence présentée par l’Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec. Un bel honneur pour cette diplômée au baccalauréat en sciences infirmières.

Les Prix Florence soulignent la contribution exceptionnelle d’infirmières et d’infirmiers à l’amélioration des soins et à l’avancement de la profession de même que le leadership et la pratique exemplaire de leurs lauréates et lauréats. Pour être finaliste, il faut avoir la reconnaissance de ses pairs et de ses collègues et se démarquer par son engagement.

Pendant ses études, Mme Caron a développé une plateforme éducative en ligne à l’attention des familles de personnes vivant avec un problème de santé mentale. Intitulée SantéFamille, cette ressource est offerte gratuitement et mise sur l’échange d’expérience et l’apprentissage. En plus d’en être la fondatrice, Mme Caron en est la directrice générale.

« Ce prix Florence est une belle reconnaissance. Elle me touche particulièrement puisqu’elle vient de mon ordre professionnel et de mes collègues. Cette distinction est une motivation à poursuivre mon engagement et à développer de nouveaux projets », mentionne Mme Caron. Rappelons que la Ville de Rimouski lui a décerné le titre « Espoir » afin de reconnaître son engagement, notamment avec la plateforme SantéFamille. La diplômée en sciences infirmières a aussi été finaliste en 2021 dans le cadre des prix Forces Avenir dans la catégorie « Santé et saines habitudes de vie ».

Dirigée par le professeur Dave Bergeron et codirigée par la professeure Nicole Ouellet, Marie-Ève Caron termine sa maîtrise en sciences infirmières ayant pour but de mieux comprendre l’engagement de patients partenaires dans un contexte de maladies chroniques en milieu clinique.

Mentionnons que Marie-Ève Caron envisage de poursuivre des études doctorales dès l’automne prochain sous la direction de la professeure Jessica Rassy, de l’Université de Sherbrooke, et de la professeure Nathalie Maltais, de l’UQAR.