La délégation de l’UQAR a remporté pas moins de huit prix lors de la 32e édition des Jeux de Génie présentée à l’Université Laval. Il s’agit d’un nouveau sommet pour l’Université.
Les Jeux de Génie sont la plus grande compétition d’ingénierie au Québec. Une douzaine d’universités québécoises et ontariennes y participent chaque année. Les étudiantes et les étudiants des différents programmes de génie s’y affrontent lors de compétitions qui nécessitent leurs connaissances en ingénierie, en robotique, en entrepreneuriat et dans le cadre d’épreuves sportives et culturelles.
L’Université du Québec à Rimouski était représentée par 26 étudiantes et étudiants en génie lors des Jeux présentés du 4 au 8 janvier. « Il s’agit de la plus grosse délégation de l’histoire de l’UQAR. Notre équipe avait une excellente chimie et nous avons su mettre de l’avant les forces de chacune et de chacun tout au long des Jeux », indique le président de la délégation, Mikaël Belzile, qui étudie au baccalauréat en génie mécanique.
Les porte-couleurs de l’UQAR ont décroché le prix de la délégation coup de cœur des partenaires. Ils ont aussi obtenu la deuxième position dans l’épreuve de génie mécanique et la troisième aux compétitions en génie civil, en génie conseil, en débat oratoire, en halo ball extérieur et aux épreuves en piscine. Les représentantes et les représentants de l’Université ont de plus mérité la troisième position pour la meilleure participation.
« Ce fut quatre jours de compétition vraiment intenses! Nous avons de quoi être très fiers d’avoir remporté huit trophées. Cela montre vraiment que la taille de l’université n’a rien à voir avec l’excellence de la formation offerte. De plus, le nombre de participantes et de participants venant de l’UQAR montre que le génie n’a pas perdu son dynamisme malgré la pandémie », observe M. Belzile.
Les trophées obtenus par la délégation de génie sont exposés dans le présentoir du couloir qui relie l’aile K à la cafétéria. Présentés sous le thème « Les Jeux sans fin », les Jeux de Génie étaient de retour après une pause de deux ans en raison de la pandémie.