Originaire de Montréal et diplômée en sciences, lettres et arts du Collège Bois-de-Boulogne, Maude Sirois a jeté son dévolu sur l'UQAR, campus de Rimouski, afin de poursuivre ses études universitaires.

Ce qui l'a attirée dans le baccalauréat en chimie de l'environnement et des bioressources est l’accent qui est mis sur l'environnement tout au long du programme. Le fait d'avoir deux trimestres en stage rémunéré et crédité l'a également conquise. « Même si j'avais le choix entre quatre universités à Montréal, je préférais quand même l'UQAR », confie Maude.

Lors d'une journée universitaire au Collège Bois-de-Boulogne, Maude a rencontré Catherine Côté, conseillère en communications et en recrutement à l'UQAR, qui lui a organisé une visite privée et personnalisée, en collaboration avec Marilyne Gauthier du département de chimie, puisqu'elle ne pouvait être présente à la journée portes ouvertes du mois de janvier. La visite des laboratoires, les rencontres avec des professeurs et la découverte du paysage ont entériné son choix. Maude a eu la chance de recevoir, en plus de la bourse d’accueil du programme de chimie, une bourse d'accueil offerte en reconnaissance de son engagement socioculturel lors de ses études collégiales.

Ce qu'elle trouve intéressant dans le programme en chimie de l'environnement et des bioressources à l'UQAR est la proximité avec les professeurs très disponibles ainsi que la proximité avec ses collègues de classes, qui forment un groupe proche puisqu'ils sont peu nombreux. Elle apprécie également la proximité du terrain permettant de faire des recherches à seulement 10 minutes de l'université. Les activités d'intégration du programme ont permis aux 17 étudiants de la deuxième cohorte de tisser rapidement des liens entre eux. Dans le cadre d’un cours, ils ont effectué de l’échantillonnage d’eau sur le fleuve pour analyse dans les laboratoires.

En tant qu'étudiante en provenance de Montréal, son intégration à la communauté universitaire rimouskoise n'aurait pas pu mieux se passer. Se logeant aux résidences universitaires, elle s'est retrouvée avec trois colocataires qu'elle ne connaissait pas et, très rapidement, une bonne chimie s'est installée entre eux. « Je n'ai ni voiture, ni permis de conduire, mais en étant aux résidences, tout se fait à pied et le Club plein air permet de découvrir l'environnement dans lequel on vit pour vraiment pas cher », affirme Maude qui compte bien continuer ses études parmi nous.