Les coupes forestières, la villégiature et le développement routier altèrent non seulement l’habitat préférentiel du caribou, mais ces interventions feraient augmenter la présence de ses prédateurs et leur taux de rencontre avec le caribou selon Martin Leclerc, étudiant à l’UQAR à la maîtrise en gestion de la faune et de ses habitats.