Biologie

  • Les eiders à duvet, ces canards marins présents durant l’hiver sur les rives du Saint-Laurent, migrent l’été vers de petites îles de l’Arctique pour se reproduire loin des prédateurs. Dans un contexte où le Nord se réchauffe, l’étudiante au doctorat en biologie Loreleï Guery étudie la survie et le succès reproducteur de cette espèce connue pour être sensible aux fluctuations climatiques.

  • L’Université du Québec à Rimouski est heureuse de s’associer cette année encore au 24 heures de science. Plusieurs activités de vulgarisation scientifique ont été préparées par la communauté universitaire pour cette 8e édition qui se déroule les 10 et 11 mai.

  • L’Université du Québec à Rimouski vient d’obtenir une Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique. Référence mondiale dans le domaine de la nordicité, le professeur Dominique Berteaux en est le titulaire.

  • Jean-François Ouellet travaille dans le domaine de l’ornithologie depuis 20 ans. Après avoir obtenu une maîtrise en gestion de la faune et de ses habitats, en 2004, il a récemment soutenu sa thèse de doctorat en biologie sur la sélection des ressources hivernales chez le garrot d’Islande de la population de l’Est de l’Amérique du Nord et les implications pour sa conservation.

  • Pratiquement 10 ans jour pour jour après avoir complété un baccalauréat en biologie à l'UQAR en sciences marines, Josiane Cabana a donné le 7 mai dernier une conférence à son alma mater pour présenter le Réseau québécois d’urgences pour les mammifères marins. « C’est émouvant de me retrouver de nouveau dans cette université. J'ai dû travailler très fort pour traverser ces trois années intenses et je suis fière de revenir aujourd'hui avec un projet qui touche les mammifères marins », souligne-t-elle.

  • L’étudiant au doctorat en biologie à l’UQAR Vincent L’Hérault présente l’exposition « Inuit tautunga iyimut — Regard inuit sur un territoire en bouleversement », du 20 mars au 25 août 2013, à la Maison des Jésuites de Sillery, à Québec.

  • Étudiant au doctorat en biologie, Daniel Munro vient de mériter de titre de lauréat du concours Étudiants-chercheurs étoiles du Fonds de recherche du Québec dans la catégorie Nature et technologies pour sa publication sur la longévité des palourdes multi-centenaires dans la revue Aging Cell.

  • L’UQAR offrira deux universités d’été en Gaspésie au cours des prochains mois : l’une en environnement, géomorphologie et risques naturels, en mai, et l’autre sur la biogéographie côtière, montagnarde et alpine, en août. Se déroulant sur le terrain, ces stages intensifs proposent plusieurs excursions mariant la pratique à la théorie.

  • Avec les changements importants survenant en forêt boréale, l’étudiant au doctorat en biologie Rémi Lesmerises s’intéresse aux comportements alimentaires de l’ours noir, une espèce qui s’adapte particulièrement bien aux coupes forestières intensives.

  • Le programme de formation FONCER du CRSNG en sciences environnementales nordiques (EnviroNord) a vu le jour en avril 2010. Ce programme pan-canadien et multi-institutionnel forme des experts ayant une vision globale et interdisciplinaire des enjeux qui touchent les environnements nordiques. Depuis sa création, 173 étudiants et stagiaires post-doctoraux ont bénéficié des bourses EnviroNord en se partageant plus de 590 000$.

  • Dans le cadre de sa thèse de doctorat en biologie, Kaven Dionne s'intéresse à la coexistence des espèces semblables. Pour ce faire, il a ratissé plus d’une centaine de lacs au Bas-Saint-Laurent pour récolter des amphipodes, des petits crustacés aussi appelés crevettes d’eau douce.

  • Avec les froids polaires que le sud du Québec a connu au cours des dernières semaines, on peut se demander comment les oiseaux réussissent à survivre dehors. Magali Petit, étudiante au doctorat en biologie, travaille justement sur l’ajustement des mésanges à tête noire aux variations météorologiques.

  • Certaines espèces animales vivent des centaines d’années. Une palourde de l’espèce Arctica islandica de 507 ans a d’ailleurs été découverte l’année dernière en Islande. Comment expliquer une telle longévité ? Le doctorant Daniel Munro et le professeur de biologie Pierre Blier ont réussi à en percer l’un des secrets. Une découverte majeure dans le domaine de la physiologie animale.

  • Les poissons s’adaptent à leur milieu au fil des générations. C’est ce qu’on appelle l’évolution. Ces derniers s’adaptent aussi au cours de leur développement, au sein d’une même génération. Laurence Fisher-Rousseau en fait la preuve en reproduisant en aquaculture le courant des rivières.

  • Un été avec les Fous de Bassan

    Étudiant au baccalauréat en biologie, Yannick Seyer a passé l’été sur l’Île Bonaventure à étudier la colonie des Fous de Bassan. Une expérience passionnante effectuée sous la supervision du professeur Magella Guillemette.

  • Les coupes forestières, la villégiature et le développement routier altèrent non seulement l’habitat préférentiel du caribou, mais ces interventions feraient augmenter la présence de ses prédateurs et leur taux de rencontre avec le caribou selon Martin Leclerc, étudiant à l’UQAR à la maîtrise en gestion de la faune et de ses habitats.

  • Étudiant au doctorat en biologie, Vincent Gauthray-Guyénet participe à un important projet de recherche visant à comprendre les effets des transformations des forêts du Bas-Saint-Laurent depuis les débuts de l’exploitation industrielle.