Pour Youssef Benchaabane, qui a entamé en 2014 sa maîtrise en ingénierie à l'Université du Québec à Rimouski, il n'y a pas de doute : l'énergie éolienne possède un grand potentiel de développement. Après avoir obtenu son baccalauréat en génie énergétique à l'École polytechnique universitaire de Montpellier (France), il a décidé de poursuivre ses recherches à l'UQAR.