Les décharges d’eau souterraine sont connues comme une importante voie « invisible » d’échange de matière et d’eau douce entre le continent et l’océan. Dans le cadre de son doctorat en océanographie, Laísa Peixoto Ramos s’intéresse à leur impact qui est fondamental dans le cycle biogéochimique côtier.
L’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR) accueille annuellement près d’une quarantaine de nouvelles étudiantes et de nouveaux étudiants. Qu’ils poursuivent leurs études au diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS), à la maîtrise ou au doctorat en océanographie, leurs parcours témoignent de la diversité de la relève en recherche dans ce domaine phare pour le Québec.
Unique au Québec, le baccalauréat en chimie de l’environnement et des bioressources vise la formation de chimistes pouvant apporter des solutions concrètes sur le plan de la gestion durable et de la qualité de vie de la population. Pas moins de 70 % des cours comportent du travail en laboratoire et des sorties sur le terrain.
La Chaire UNESCO en analyse intégrée des systèmes marins et le comité EDI de l’ISMER soulignent la Journée internationale des femmes et des filles en science. Une exposition mettant en valeur le parcours de dix chercheuses en océanographie est présentée dans le hall d’entrée de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR).
Le professeur Dominique Robert, de l’ISMER-UQAR, est lauréat du Prix Publication en français Gisèle-Lamoureux des Fonds de recherche du Québec (FRQ) pour un article portant sur le rétablissement du flétan atlantique dans le golfe du Saint-Laurent. Une belle reconnaissance pour le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en écologie halieutique.
Une équipe de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR (ISMER-UQAR) est impliquée dans une exposition multidisciplinaire présentée en France. « ARTIC BLUES » offre un regard intime de la recherche en océanographie dans des milieux nordiques.
L’équipe du projet de recherche O’Salis vient de mettre en ligne une plateforme de communication portant sur le risque de salinisation des puits dans les régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. Elle est accessible sur le site osalis.ca.
De nouvelles professeures et de nouveaux professeurs réguliers se sont joints à l’Université du Québec à Rimouski au cours de la dernière année universitaire. L’UQAR-Info profite de leur arrivée pour vous les présenter.
L’Université du Québec à Rimouski a remis son Prix reconnaissance 2021 à Alain Caron. Une distinction qui souligne la contribution et l’engagement de cet auxiliaire d’enseignement et de recherche au Département de biologie, chimie et géographie.
Nommée parmi les 50 personnes les plus innovantes au monde par la Société royale de Londres, Maya Al-Sid-Cheikh est une chercheuse qui attire de plus en plus l’attention. Diplômée à la maîtrise en océanographie, cette spécialiste en chimie analytique environnementale est aujourd’hui professeure à l’Université de Surrey, en Angleterre. Portrait d’une scientifique qui se démarque avec ses travaux sur les contaminants des océans.
Les concentrations en oxygène dissout sous 250 mètres de profondeur dans l’estuaire du Saint-Laurent sont en chute depuis près de 100 ans. Les plus récentes données recueillies lors de missions à bord du navire océanographique Coriolis II montrent qu’elles se situent sous le seuil d’une hypoxie sévère.
Étudiante au baccalauréat en biologie, Carole Govin est assistante de recherche au Laboratoire Avancé en Bioénergie (LAB) dirigé par le professeur David Deslauriers, de l’ISMER-UQAR. Un emploi qui lui permet de mettre en application ses connaissances et de s’initier à la recherche.
Diplômée à la maîtrise en océanographie, Fatma Dhifallah a une fois de plus remporté le Prix du jury dans le cadre du concours « La preuve par l’image » de l’Acfas avec sa photo « Attention, plancton mortel! » Une première à l’UQAR.
Une station de recherche visant à mieux comprendre la signature acoustique des navires a récemment été déployée au centre du chenal Laurentien, au large de Rimouski. Unique au monde, ce projet de près de 6 M$ favorisera une meilleure cohabitation entre les activités des armateurs et la faune marine.
La Fondation canadienne pour l’innovation vient d’accorder à l’Université du Québec à Rimouski une somme de plus de 210 000 $ pour l’acquisition d’équipements de pointe permettant de mieux comprendre la source, la répartition et les impacts des contaminants émergents de l’écosystème de l’estuaire et du fleuve Saint-Laurent et de l’Arctique.
Étudiante à la maîtrise en océanographie, Aude Flamand effectue cet été des travaux de recherche à Tuktoyaktuk, dans les Territoires du Nord-Ouest. Une expérience que la chercheuse du laboratoire de géochimie de la professeure Gwénaëlle Chaillou, de l’ISMER-UQAR, partage avec les internautes sur le blogue https://unechimisteenarctique.wordpress.com/.
La professeure en microbiologie marine Karine Lemarchand vient d’être nommée doyenne des études de l’Université du Québec à Rimouski. Elle succède à Dominique Marquis, qui assume maintenant la fonction de vice-rectrice à la formation et à la recherche.
Le Réseau Québec maritime et son programme de recherche Odyssée Saint-Laurent sont heureux de confirmer le financement de six projets de recherche intersectoriels. En tout, 1 375 694 $ ont été octroyés pour la réalisation de ces initiatives qui prendront place de 2021 à 2022. Les projets auront lieu à bord de trois navires, soit le Coriolis II, le Macoma et le Louis-Edmond Hamelin.
Le gouvernement du Québec vient de confirmer l’octroi de plus de 925 000 $ à l’Université du Québec à Rimouski pour réaliser trois projets de recherche portant sur l’érosion côtière et les inondations.
Le Journal of Experimental Marine Biology and Ecology rend hommage aux travaux du professeur Gaston Desrosiers décédé en 2006. Spécialiste en écologie benthique, ce chercheur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski a laissé sa marque en recherche en océanographie.
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