L’Université du Québec à Rimouski est partenaire d’un projet de 17,5 M$ visant à aménager deux stations de recherche nordique sur l’Île de Baffin, dans le Haut-Arctique. Un projet d’envergure qui permettra aux scientifiques d’y étudier à l’année les enjeux liés aux changements climatiques.
La pandémie de la COVID-19 a amené un lot de défis à plusieurs personnes, notamment les femmes violentées ainsi que les personnes œuvrant dans les maisons d’hébergement pour femmes au Québec. Au cours des prochains mois, la professeure en psychosociologie et travail social du campus de Lévis de l’UQAR, Sastal Castro Zavala mènera avec la chercheuse principale Catherine Flynn de l’Université du Québec à Chicoutimi, une recherche sur l’expérience qu’elles ont vécue. Réalisée en partenariat avec la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, elle a comme objectif de documenter de quelle façon la crise sanitaire de la COVID-19 a transformé leurs pratiques affectant du même coup l’offre de services destinée aux femmes.
La Chaire de recherche sur la persévérance scolaire et la littératie (CPEL) a présenté sa deuxième édition de la Journée étudiante de la recherche en éducation. Une dizaine d’étudiantes et d’étudiants à la maîtrise et au doctorat en éducation y ont présenté leurs travaux sur des enjeux clés dans le domaine.
La revue Nature Communications vient de publier une recherche sur les principales voies évolutives ayant contribuer à définir les limites thermiques de plantes et animaux aquatiques et terrestres. Une découverte effectuée par le professeur en biologie marine Piero Calosi et ses collègues qui lève aussi le voile sur la sensibilité de ces espèces aux changements climatiques.
Le plectrophane des neiges est une espèce d’oiseau qui est étudiée de près par des biologistes de l’Université du Québec à Rimouski. Une recherche publiée dans Ecology and Evolution montre que ce spécialiste du froid a une faible tolérance à la chaleur et potentiellement au réchauffement de l’Arctique.
La Chaire UNESCO en analyse intégrée des systèmes marins de l’Université du Québec à Rimouski a une nouvelle titulaire. Il s’agit de la professeure Fanny Noisette, de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski.
Rimouski est connue comme étant au cœur de la technopole maritime du Québec. Candidate au doctorat en gestion des ressources maritimes, Marie-Michèle Couture s’est intéressée à cette vocation et pose un regard inédit sur ses fondements et ses acteurs.
La nouvelle doctorante en éducation au campus de Lévis de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Marie-Pier Forest, a obtenu une bourse d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH). Cette bourse de 105 000 $ sur trois ans lui permettra d’effectuer son doctorat en éducation. « Il s’agit assurément d’un tremplin qui me permettra de me consacrer entièrement à la recherche dans les prochaines années », raconte madame Forest, également chargée de cours à l’UQAR.
Diplômée au baccalauréat en enseignement secondaire, Marie-Luce Carrier fait partie de ces étudiantes dont les implications sont en symbiose avec le domaine d’études. Ayant entrepris une maîtrise en éducation il y a quelques mois, elle se consacre à un sujet qui fera écho chez plusieurs élèves du secondaire : l’impact de la méditation pleine conscience sur le bien-être d’élèves doués du secondaire.
Les événements météorologiques extrêmes, comme les tempêtes maritimes ou hivernales, les inondations, les feux de forêt, le phénomène d’érosion côtière, les ouragans et tornades font de plus en plus l’actualité. Ils sont associés à une hausse du stress et de la détresse psychologiques dans les populations touchées et celles qui les aident. Une équipe dirigée par la professeure en sciences infirmières de l’UQAR, Lily Lessard, a conçu une boîte à outils pour aider ces personnes confrontées à ces événements.
Une équipe de recherche multidisciplinaire se lance dans la détection du virus de la COVID-19 dans les eaux usées de l’Est-du-Québec. Une méthode non invasive qui permet de détecter le virus deux à cinq jours avant la détection classique.
Le projet-pilote d’Université des patients (UP) lancé à l’UQAR, en 2017, a permis de montrer que le savoir expérientiel des patients vivant avec une maladie chronique peut être intégré dans une formation universitaire afin de mieux les outiller à l’égard de leur santé et, même, de devenir des agents de changements envers d’autres patients. Dans son projet de maîtrise en sciences infirmières, Marie-Ève Caron se penche sur les retombées de l’engagement pour ces patients experts.
C’est au hasard d’un emploi temporaire que Marie-Ève Lajeunesse-Mousseau a découvert la Ville de Rimouski. Aujourd’hui diplômée au baccalauréat en histoire, elle a décidé de poursuivre ses études à la maîtrise afin d’apporter un nouvel éclairage sur l’impact des Sœurs du Saint-Rosaire sur les communautés autochtones de l’Est-du-Québec. Un sujet qui lui permet de faire des liens entre l’histoire autochtone et celles des femmes et des mouvements sociaux.
L’Université du Québec à Rimouski s’est inscrite deux fois parmi les dix découvertes de l’année 2020 du magazine Québec Science. Une reconnaissance de la qualité de la recherche effectuée à l’UQAR.
L’Université du Québec à Rimouski félicite Serge Demers pour sa nomination au sein de l’Ordre du Canada. Une distinction méritée pour le premier directeur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR).
Un recueil de pratiques visant à faciliter la gestion de crise de la COVID-19 par les directions d’établissement scolaire est maintenant disponible au Québec. Conçu à partir des résultats d’une enquête menée au cours de l’été 2020, ce recueil vise à mieux outiller les directrices et les directeurs en matière de gestion de crise sanitaire.
Le professeur en océanographie Réjean Tremblay a reçu la distinction Alcide-C.-Horth 2020. Un prix qui souligne la contribution exceptionnelle à l’avancement des connaissances de ce spécialiste de l’écophysiologie, de l’écologie benthique et de l’aquaculture de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR.
La soutenance d’une thèse de doctorat est un moment marquant dans la vie des étudiantes et des étudiants. Pas moins d’une demi-douzaine d’entre eux se sont livrés à cet exercice au cours des deux derniers mois à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’Université du Québec à Rimouski (ISMER-UQAR). Un nombre remarquable en cette période marquée par la pandémie.
Plusieurs universités québécoises, dont l’UQAR, viennent de lancer un premier Observatoire de la formation professionnelle du Québec. Accessible sur le site ObservatoireFP.org, cette nouvelle vitrine vient positionner ce secteur de formation comme un élément essentiel du développement économique et social.
Jean-Sébastien Deschênes est un spécialiste des bioprocédés. Professeur en génie électrique, il mène des travaux qui marient la recherche fondamentale et la recherche appliquée. Qu’il s’agisse de la capture du CO2 ou de la fabrication de biocarburant, ses recherches ont des applications innovantes qui permettent de réduire l’empreinte environnementale.
Page 12 sur 29