L’Université du Québec à Rimouski félicite Serge Demers pour sa nomination au sein de l’Ordre du Canada. Une distinction méritée pour le premier directeur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER-UQAR).
Un recueil de pratiques visant à faciliter la gestion de crise de la COVID-19 par les directions d’établissement scolaire est maintenant disponible au Québec. Conçu à partir des résultats d’une enquête menée au cours de l’été 2020, ce recueil vise à mieux outiller les directrices et les directeurs en matière de gestion de crise sanitaire.
Le professeur en océanographie Réjean Tremblay a reçu la distinction Alcide-C.-Horth 2020. Un prix qui souligne la contribution exceptionnelle à l’avancement des connaissances de ce spécialiste de l’écophysiologie, de l’écologie benthique et de l’aquaculture de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’UQAR.
La soutenance d’une thèse de doctorat est un moment marquant dans la vie des étudiantes et des étudiants. Pas moins d’une demi-douzaine d’entre eux se sont livrés à cet exercice au cours des deux derniers mois à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’Université du Québec à Rimouski (ISMER-UQAR). Un nombre remarquable en cette période marquée par la pandémie.
Plusieurs universités québécoises, dont l’UQAR, viennent de lancer un premier Observatoire de la formation professionnelle du Québec. Accessible sur le site ObservatoireFP.org, cette nouvelle vitrine vient positionner ce secteur de formation comme un élément essentiel du développement économique et social.
Jean-Sébastien Deschênes est un spécialiste des bioprocédés. Professeur en génie électrique, il mène des travaux qui marient la recherche fondamentale et la recherche appliquée. Qu’il s’agisse de la capture du CO2 ou de la fabrication de biocarburant, ses recherches ont des applications innovantes qui permettent de réduire l’empreinte environnementale.
Le ministère de l'Environnement et de la lutte contre les changements climatiques (MELCC) octroie 840 000 $ à Mila, IVADO, l’UQAR et Polytechnique pour soutenir un projet d’envergure pour l’adaptation aux impacts des changements climatiques.Ce projet sera dirigé par le directeur scientifique du Mila, Yoshua Bengio, la professeure en science de la gestion au campus de Lévis de l’Université du Québec à Rimouski, Loubna Benabbou, la professeure de Polytechnique Montréal, Hanane Dagdougui, et Zouheir Malki, conseiller aux partenariats chez IVADO.
La professeure Mahée Gilbert-Ouimet de l’Université du Québec à Rimouski devient titulaire d’une toute nouvelle Chaire de recherche du Canada sur le sexe et le genre en santé au travail. Elle propose un programme de recherche novateur visant à intensifier la prévention des maladies chroniques chez les femmes et les hommes par une amélioration des politiques publiques et des lignes directrices médicales encadrant la santé au travail. Première chaire de recherche du Canada pour le campus de Lévis de l’UQAR, il s’agit aussi d’une première chaire financée par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour l’établissement universitaire.
La pandémie de la COVID-19 n’a pas épargné la santé globale des populations universitaires. Les premiers résultats d’un projet de recherche mené dans les dix constituantes du réseau de l’Université du Québec montrent une détérioration de la santé mentale chez plus de 40 % des personnes sondées.
La pandémie liée à la Covid-19 et les mesures sanitaires prescrites pour limiter sa propagation ont des répercussions importantes sur la santé mentale et le bien-être des populations. À l’approche de la période des Fêtes, l’équipe de la Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations rurales (CIRUSSS) de l’UQAR et ses partenaires offre une nouvelle boîte à outils qui propose plusieurs solutions à la population québécoise. Elle prend la forme d’un site Web intitulé « Agir ensemble : Boîte à outils intersectorielle pour réduire les impacts psychosociaux de la pandémie ».
Spécialiste de l’adaptation et de l’évolution du métabolisme, le professeur Pierre Blier prend part à une recherche sur l’effet des variations de température sur les poissons. La Société royale de Nouvelle-Zélande finance ce projet de plus de 850 000 $ qui rassemble des chercheurs internationaux.
Le prestigieux ICES Journal of Marine Science vient de publier un article sur les travaux novateurs d’une équipe pilotée par le professeur Dominique Robert, de l’UQAR-ISMER, sur l’écologie du flétan de l’Atlantique. Fruit de sept années de travail, cette recherche a permis de suivre en continu ce poisson emblématique du golfe du Saint-Laurent.
L’Université du Québec à Rimouski vient d’obtenir le renouvellement de sa Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique. Cette prestigieuse chaire de niveau 1 est dirigée par le professeur Dominique Berteaux.
Malgré une présence en constante croissance dans les écoles québécoises, l’intégration des élèves issus de l’immigration comporte encore plusieurs défis pour les enseignantes et les enseignants. C’est particulièrement le cas pour les allophones. Dans le cadre de sa maîtrise en éducation, Bénédicte Lunion s’est intéressée aux stratégies didactiques mises en place dans les classes d’accueil pour l’apprentissage du français aux élèves réfugiés allophones.
Une équipe de biologistes de l’UQAR a pris part à une importante recherche sur l’écologie des animaux de l’Arctique publiée dans la prestigieuse revue Science. L’article apporte un nouvel éclairage sur le mouvement de certaines espèces au cours des 30 dernières années.
Une station de recherche en acoustique marine sera déployée au printemps prochain au centre du chenal Laurentien, au large de Rimouski. Un projet unique au monde codirigé par l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (ISMER) de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et le centre de recherche appliquée Innovation maritime.
La question des changements climatiques est omniprésente dans l’actualité. Chaque année, les rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) réitèrent l’urgence d’agir rapidement pour limiter leurs impacts sur les générations futures. Dans sa recherche doctorale en éducation, Émilie Morin suggère une avenue novatrice pour répondre à cet appel pressant : développer, à l’école, le pouvoir agir des jeunes face aux changements climatiques.
La quantité d’oxygène dissous a diminué de façon importante au cours des 10 dernières années dans l’estuaire et le golfe du fleuve Saint-Laurent. Une équipe multidisciplinaire dirigée par le professeur Piero Calosi et la professeure Gwénaëlle Chaillou va se pencher au cours des trois prochaines années sur l’impact de l’hypoxie persistante sur cet écosystème et les organismes marins qui y habitent.
Le béluga du Saint-Laurent est une espèce en déclin depuis le début des années 2000. En 2012, Pêches et Océans Canada estimait leur population à 900 dans l’estuaire. S’ils sont certes en péril, ces mammifères marins seraient peut-être en plus grand nombre que le suggèrent les dernières estimations, selon une nouvelle méthode de correction des dénombrements. Dans le cadre de sa maîtrise en gestion de la faune et de ses habitats, Sara Wing a élaboré des facteurs de correction pour raffiner les inventaires aériens.
Le quotidien des enseignantes et des enseignants a été particulièrement perturbé par la COVID-19. Une étude réalisée par les professeurs Catherine Beaudry et Frédéric Deschenaux lève le voile sur les impacts de la pandémie sur leur travail et leur rapport à leur profession.
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