Travail social

  • Pour le travailleur social Henri-Bastien Gendreau Robert, la mer et la navigation à voile représentent bien plus que des loisirs pour s’évader. Ce sont des outils d’intervention sociale uniques. Dans le cadre de sa maîtrise en travail social, il se penche sur l’expérience de séjours en voilier sur le fleuve St-Laurent vécue à la fois par des jeunes adultes ayant différentes difficultés que des personnes intervenantes.

  • Elle s’appelle Shayna Fleury. Elle étudie au baccalauréat en travail social au campus de Lévis. C’est la quête d’une plus grande justice sociale qui l’a menée dans ce domaine et la nécessité du contact humain qui l’a conduite aux portes de l’UQAR.

  • L’Université du Québec à Rimouski offrira son baccalauréat en travail social à Baie-Comeau à compter de l’hiver 2023. Il est possible de déposer une demande d’admission dès maintenant sur le site de l’UQAR.

  • Deux étudiants du campus de Lévis de l’UQAR, Marie-Ève Turcotte et Francis Martineau, ont reçu la médaille du lieutenant-gouverneur du Québec pour la jeunesse le 22 mai dernier. Lors d’une cérémonie de remise tenue au Collège de Lévis, l’honorable J. Michel Doyon a reconnu leur engagement et le rayonnement positif de ces jeunes auprès de leurs pairs et de leur communauté.

  • Brûler les planches avec Anaïs

    On a tous des rêves. Pour Anaïs Béland, étudiante au baccalauréat en travail social au campus de Lévis de l’UQAR, c’est que la scène fasse partie de sa vie pour toujours.  Nommée personnalité artistique de l’année lors de la dix-huitième édition du Mérite étudiant, la présidente du comité TRAC, troupe de théâtre du campus, nous entraîne dans les coulisses d’un projet atypique.

  • L’autre accès aux savoirs

    La lumière du soleil illumine la pile de livres sur le fond du mur de la bibliothèque du bureau de Lucie Gélineau, professeure et chercheuse en travail social au campus de Lévis. Celle-ci se spécialise dans les approches qualitatives et participatives de la recherche sur la pauvreté, l'exclusion sociale, les mouvements sociaux, le travail symbolique et bien d’autres. Entretien avec celle qui deviendra, à compter du 1er juin prochain, la première professeure en travail social à l’antenne de Baie-Comeau de l’Université du Québec à Rimouski.

  • Le gouvernement du Québec vient de confirmer une aide financière de 1,35 million de dollars par année à l’Université du Québec à Rimouski pour développer une antenne universitaire dans la région de la Gaspésie‒Îles-de-la-Madeleine. Des cours seront offerts en présence dans les trois campus du Cégep de la Gaspésie et des Îles, soit à Gaspé, à Carleton-sur-Mer et aux Îles-de-la-Madeleine.

  • Albert Einstein aurait dit un jour : « Dure époque que celle où il est plus simple de désagréger un atome qu’un préjugé. » Cette citation, qui illustre bien la puissance des préjugés, se retrouve dans le plus récent avis du Centre d’étude sur la pauvreté et l’exclusion (CÉPE) auquel le professeur en travail social au campus de Lévis de l’UQAR, Jean-Yves Desgagnés, également membre du comité de direction du Centre, a récemment contribué. On peut y lire que le changement est possible, lorsque les opinions se modifient et que des préjugés tombent.

  • En collaboration avec deux organismes de la région du Bas-Saint-Laurent, le Collectif régional de développement (CRD BSL) et la Communauté ouverte et solidaire pour un monde outillé, scolarisé et en santé (COSMOSS BSL), l’Université du Québec à Rimouski a mis sur pied un programme de formation unique sur la santé mentale et l’intervention psychosociale.

  • De nouvelles professeures et de nouveaux professeurs réguliers se sont joints à l’Université du Québec à Rimouski au cours de la dernière année universitaire. L’UQAR-Info profite de leur arrivée pour vous les présenter.

  • La Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations locales (CIRUSSS) prend part au projet de recherche-action « Bien vieillir chez soi » visant à innover pour adapter l’offre de services intersectorielles afin de permettre aux personnes aînées de vivre le plus longtemps possible dans leur communauté.

  • « Ouragans, tornades, vagues de chaleur, inondations. Des événements dont on entend de plus en plus souvent parler, particulièrement avec ce qui se passe en Colombie-Britannique ces jours-ci. Ces catastrophes touchent souvent Haïti, Philippines et de plus en plus… le Québec. Les changements climatiques touchent tout le monde », explique la travailleuse sociale, Joanie Turmel.

  • Le cœur rempli d’émotions, plus de 700 personnes ont participé, dimanche dernier, aux cérémonies de collation des grades du campus de Lévis de l’UQAR. Ces célébrations couronnant les efforts consentis par les étudiantes et les étudiants tout au long de leur parcours universitaire se sont tenues au Centre des congrès de Lévis devant leurs proches et plusieurs membres de la communauté.

  • Le travail de Julie Nadeau, travailleuse sociale et chargée de cours à l’UQAR, a été souligné à l’occasion de l'assemblée générale annuelle de l'Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec (OTSTCFQ) le 23 octobre dernier.

  • Comment résumer 45 ans de pratique en intervention collective en 288 pages? « J’ai systématisé ma pratique sous 10 dimensions que je considère comme fondamentales, pouvant ainsi servir de repères peu importe l’approche ou le modèle d’intervention privilégié sur le terrain », raconte la professeure retraitée en intervention collective de l’UQAR, Lorraine Gaudreau. Récemment, elle lançait son livre Sens, cohérence et perspective critique en intervention collective, publié aux Presses de l’Université du Québec.

  • Le programme de baccalauréat en travail social de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) sera offert dès l’hiver 2022 au Centre universitaire des Appalaches (CUA). Cette formation sera destinée aux personnes diplômées en techniques d'éducation spécialisée.

  • La pandémie de la COVID-19 a amené un lot de défis à plusieurs personnes, notamment les femmes violentées ainsi que les personnes œuvrant dans les maisons d’hébergement pour femmes au Québec. Au cours des prochains mois, la professeure en psychosociologie et travail social du campus de Lévis de l’UQAR, Sastal Castro Zavala mènera avec la chercheuse principale Catherine Flynn de l’Université du Québec à Chicoutimi, une recherche sur l’expérience qu’elles ont vécue. Réalisée en partenariat avec la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, elle a comme objectif de documenter de quelle façon la crise sanitaire de la COVID-19 a transformé leurs pratiques affectant du même coup l’offre de services destinée aux femmes.

  • L’Université du Québec à Rimouski est partenaire d’un exercice de concertation sans précédent visant à documenter et à diffuser les meilleures pratiques favorisant le maintien des personnes ainées dans leur communauté. Un projet de recherche sera mené au cours de la prochaine année dans toutes les MRC du Bas-Saint-Laurent.

  • Donner au suivant

    Originaire de la municipalité de St-Jean-de-Dieu dans les Basques au Bas-Saint-Laurent, le diplômé en travail social, José-Carl St-Jean, travaille aujourd’hui auprès des gens en fin de vie. Rencontre avec un diplômé engagé au grand coeur travaillant à la Maison Desjardins de soins palliatifs du KRTB, un organisme
    à but non lucratif voué à l’accueil, à l’hébergement, aux soins et à l’accompagnement des personnes
    en fin de vie ayant un diagnostic de maladie incurable, et ce, dans un environnement adapté à leurs besoins et à ceux de leurs proches.

  • La pandémie de la COVID-19 n’a pas épargné la santé globale des populations universitaires. Les premiers résultats d’un projet de recherche mené dans les dix constituantes du réseau de l’Université du Québec montrent une détérioration de la santé mentale chez plus de 40 % des personnes sondées.