Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations rurales

La Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations rurales propose une vision contemporaine de la ruralité pour accompagner les populations, les acteurs du réseau de la santé et leurs partenaires pour développer des solutions innovantes, adaptées et ancrées visant à favoriser la santé et le mieux-être des personnes, des familles, des groupes et des communautés rurales des régions du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches.

Les territoires des régions de Chaudière-Appalaches et du Bas-Saint-Laurent sont majoritairement ruraux et près de 40% de leur population y habite. La ruralité est toutefois encore difficile à définir, celle-ci étant souvent reléguée à une réalité unique, statique voir même folklorique ou simplement ce qui n’est pas urbain. Pourtant, le portrait de la ruralité au Québec doit être considéré comme une mosaïque complexe, riche et évolutive. Cette méconnaissance des forces et des nouveaux défis rencontrés par les populations rurales peut être à l’origine d’inégalités sociales et de santé vis-à-vis les milieux plus densément peuplés. « Les inégalités sociales de santé sont ces écarts, pourtant évitables, entre hommes et femmes, entre groupes socio-économiques et entre territoires, qui ont un impact sur de nombreux aspects de la santé des populations. » (Centre Léa-Roback, 2007)

Financement

La Chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations rurales est un partenariat entre l’UQAR, les CISSS du Bas-St-Laurent et de Chaudière-Appalaches et TELUS par l’entremise de la Fondation de l’UQAR.

Durée du financement : 5 ans (2020-2024)

Principes directeurs

Innovation, Système et organisations apprenants, Interdisciplinarité, Promotion des forces et des compétences, Appropriation du pouvoir d’agir – Mobilisation des acteurs et des communautés, Responsabilité sociale et collective, Méthodes de recherche participatives et collaboratives, approches intégrées.

Objectifs de la chaire

  1. Apporter des réponses adaptées et pertinentes aux enjeux sociaux et de santé rencontrés par les populations des communautés rurales du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches ;
  2. Promouvoir le développement des compétences des acteurs des communautés rurales, incluant les personnes et les familles ;
  3. Améliorer les pratiques professionnelles dans le domaine de la santé et des services sociaux ;
  4. Identifier et développer des modèles de prestations de soins et de services adaptés et novateurs.
  5. Doter le Québec d’un cadre de référence permettant de mieux tenir compte des forces et défis liées à la santé des populations et communautés rurales.
  6. Former la relève en recherche s’intéressant à la santé et les services sociaux en milieu rural et contribuer à accroître les capacités et la culture de recherche au sein des CISSS de Chaudière-Appalaches et du CISSS du Bas-St-Laurent

Mission

La Chaire a pour mission de devenir une référence en matière de recherches portant sur la santé et les services sociaux en milieu rural. Dans une perspective de proximité avec les acteurs des milieux ruraux et les partenaires des CISSS du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches, la Chaire vise à apporter des réponses innovantes et adaptées aux enjeux sociaux et de santé rencontrés par les personnes, les familles, les groupes et les communautés rurales.

Vision

La vision de la Chaire repose sur une représentation contemporaine de la ruralité au Québec.  Celle-ci s’appuie sur la conviction que les communautés rurales détiennent les compétences nécessaires pour agir sur les enjeux liés aux services sociaux et à la santé qu’elles rencontrent. Cette vision reconnaît la diversité des communautés rurales et des réalités vécues par les acteurs (personnes, familles, milieux institutionnels, communautaires et municipaux) ainsi que la nécessité de développer, de manière collaborative, des réponses scientifiques adaptées à ces réalités pour améliorer les modèles d’organisation des services et les pratiques professionnelles dans les domaines de la santé et des services sociaux.

Comité de direction

  • François Deschênes, recteur (UQAR)
  • Dominique Marquis, vice-rectrice à la formation et la recherche (UQAR-Rimouski)
  • Mélanie Gagnon, vice-rectrice à la planification et aux partenariats (UQAR-Lévis)
  • Jean-Christophe Carvalho, président-directeur général adjoint (CISSS du Bas-Saint-Laurent)
  • Nelson Charette, coord. clinico-administratif, campus médical décentralisé (CISSS du Bas-Saint-Laurent)
  • Daniel Paré, président-directeur général (CISSS de Chaudière-Appalaches)
  • Véronique Boutier, directrice de la recherche et de l’enseignement universitaire (CISSS de Chaudière-Appalaches)
  • Lily Lessard, cotitulaire de la Chaire CIRUSSS
  • Marie-Hélène Morin, cotitulaire de la Chaire CIRUSSS

Comité de mise en œuvre

  • Luciano Buono, doyen à la recherche (UQAR)
  • Lily Lessard, cotitulaire de la Chaire CIRUSSS
  • Marie-Hélène Morin, cotitulaire de la Chaire CIRUSSS
  • Véronique Boutier, directrice de la recherche et de l’enseignement universitaire (CISSS de Chaudière-Appalaches)
  • Alexandra Dubé-Loubert, adjointe au directeur – volet recherche, DEUR (CISSS du Bas-Saint-Laurent)

Vous, votre direction ou votre organisme désirez échanger avec la Chaire CIRUSSS au sujet d’un besoin qui pourrait impliquer la réalisation d’un projet de recherche ?

Communiquez avec nous en remplissant ce formulaire de demande de partenariat de recherche.

Équipe

Former la relève en recherche s’intéressant à la santé et les services sociaux en milieu rural est au cœur des activités de la Chaire interdisciplinaire de recherche sur la ruralité, la santé et les services sociaux, qui offre des occasions de recherche pour les étudiantes et les étudiants de tous les cycles universitaires.

Titulaires


Professeure en sciences infirmières
Département des sciences de la santé
Chercheure régulière Centre de recherche du CISSS Chaudière-Appalaches
Campus de Lévis

  • Doctorat en santé communautaire, Université Laval 2015
  • Maîtrise  en santé communautaire, Université Laval, 2005
  • Baccalauréat en sciences infirmières, Université Laval, 1996
  • Santé des populations et déterminants de la santé
  • Adéquation et qualité des pratiques de santé de première ligne au contexte des milieux ruraux et éloignés
  • Adaptation des populations rurales et des systèmes de santé et services sociaux aux risques environnementaux et climatiques pour la santé et le bien-être
  • Santé mentale populationnelle
  • Collaboration interprofessionnelle dans les services de santé et sociaux
  • Leadership infirmier et étendue du rôle infirmier en première ligne
  • Gestion du changement organisationnel

Voir l’onglet Axes et projet de recherche

Directeur de recherche principal

  • Gauthier, Anne-Marie (En cours) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2012/8
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2021/4
    Description du projet: Évaluation d’une intervention en ligne à l’attention des infirmières cliniciennes en GMF et visant à accroître l’identité professionnelle.
    Poste actuel: Étude temps partiel

Directeur de recherche principal

  • Bisson-Cauchon, Camille (En cours) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2020/9
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2022/8
    Description du projet: Expérience de soins des hommes vivant en milieu rural et ayant vécu un transfert d’urgence dans un contexte de soins aigus vers un centre hospitalier
    Poste actuel: Études temps complet
  • Tremblay, François (En cours) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2015/9
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2022/12
    Description du projet: Stratégies visant à soutenir le leadership clinico-administratif des cadres intermédiaires en région devant assurer une gestion à distance de leur équipe de soins.
    Poste actuel: Abandon études maîtrise
  • Morin, Mélanie (Terminé) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2015/9
    Date d’obtention du diplôme de l’étudiant: 2020/1
    Description du projet: Étude de l’étendue du rôle des infirmières dans la région de la Côte-Nord
    Poste actuel: Diplômée de la maîtrise en sciences infirmières
  • Maranda, Julie (En cours) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2013/12
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2021/12
    Description du projet: Le leadership clinique chez les infirmières de la relève
    Poste actuel: Étudiante à temps partiel
  • Chouinard, Nathalie (Terminé) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2011/9
    Date d’obtention du diplôme de l’étudiant: 2019/2
    Description du projet: Stratégies infirmières pour améliorer l’adhésion à la prise de multivitamines chez les personnes ayant subi une chirurgie bariatrique de type dérivation biliopancréatique
    Poste actuel: Diplômée de la maîtrise en sciences infirmières

Codirecteur de recherche

  • Joanie Turmel (En cours) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2020/9
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2023/9
    Description du projet: Impacts psychosociaux et stratégies adaptatives des hommes en regard des mesures d’atténuation du risque déployées à la suite des inondations de 2019 survenues en Chaudière-Appalaches
    Poste actuel: Étudiante temps partiel
  • Le Beller, Julien (En cours) , Université du Québec à Rimouski
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2019/1
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2021/5
    Description du projet: Gestion des risques en santé mentale dans le système de soins en regard des changements climatiques
    Poste actuel: Étudiant temps complet

Directeur de recherche principal

  • Typhaine Leclerc (En cours) , Université du Québec à Montréal
    Date de début du diplôme de l’étudiant: 2020/9
    Date prévue pour l’obtention du diplôme de l’étudiant: 2024/8
    Description du projet: L’expression du vécu comme outils de rétablissement et de bien-être pour les sinistrés du climat: récit digital (digital storytelling) et analyse intersectionnelle (titre provisoire)
    Poste actuel: Étudiante à temps complet

2018/10

  • Membre du conseil d’administration, Qualaxia
  • Membre du conseil d’administration où j’agis comme secrétaire. Qualaxia est un organisme de transfert de connaissance en santé mentale.

2016/12

  • Représentante universités, Conseil des infirmières et infirmiers de Chaudière-Appalaches
  • Représentante des institutions universitaires sur le comité élargi du CII du CISSS Chaudière-Appalaches.

2008/11

  • Collectrice campagne annuelle, Centraide
  • Participation à la collecte de fonds annuelle de Centraide UQAR-Campus de Lévis et grand donateur depuis 2008.
  • 2008 – à ce jour -Professeure titulaire, , Département des Sciences de la santé (sciences infirmières), Université du Québec à Rimouski  – (UQAR)
  • 2007 – 2008 Professeure associée, Sciences infirmières, Lévis, Université du Québec à Rimouski – (UQAR)
  • 2005 – 2008 Agente de planification, de programmation et de recherche sociosanitaire, Institut national de santé publique
  • 2000 – 2006 Infirmière clinicienne, Centre de santé Innulitsivik
  • 1998 – 2000 Infirmière clinicienne, Centre de santé d’Opitciwan (Obedjiwan)
  • 1997 – 1998 Infirmière clinicienne, Centre Hospitalier Beauce-Etchemin

Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches

  • Chercheuse régulière Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches
  • Responsable de l’Axe « Besoins des communautés et études des contextes et territoires »
  • 2017- à ce jour

Département communication publique et sociale, UQAM

  • Professeure associée
  • 2018-2023

Réseau de recherche sur les inondations du Québec (RIISQ)

  • Chercheuse régulière
  • 2020- à ce jour

Réseau Qualaxia

  • Conseil d’administration (présidente depuis automne 2021)
  • 2019- à ce jour

Réseau de recherche en santé des populations du Québec (RRSPQ)

  • Chercheuse régulière
  • 2015- à ce jour

Collectif de recherche sur la santé en région (CoRSeR)

  • Chercheuse associée
  • 2009 à ce jour

Professeure en travail social
Département de psychosociologie et travail social
Campus de Rimouski

  • Doctorat en service social (Ph.D), Université Laval, 2015
  • Attestation d’études en pédagogie universitaire, « Le plaisir de faire apprendre », Faculté des sciences de l’éducation, Université Laval, 2010
  • Maîtrise en service social (M.Serv.Soc.), Université Laval, 2008
  • Baccalauréat en service social (B.Serv.Soc), Université Laval, 2003
  • Techniques de travail social, Cégep de Rimouski, Rimouski, 2000
  • Schizophrénie et troubles psychotiques
  • Premiers épisodes psychotiques (PEP)
  • Réadaptation et rétablissement en santé mentale
  • Intervention familiale dans le champ de la santé mentale
  • Approche collaborative entre les familles et les intervenants
  • Expérience des membres de famille et des proches engagés dans un rôle de soutien
  • Proches aidants en santé mentale
  • Trajectoires de soins et de services en santé mentale
  • Organisation des soins de santé et des services sociaux
  • Services spécialisés en santé mentale
  • Services de première ligne en santé mentale
  • Enjeux de confidentialité et partage d’informations en santé mentale
  • Recherche financée par la Chaire CIRUSSS (12 000$) et Fonds institutionnel de recherche (FIR) de l’UQAR (9 998$)
  • Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Marie-Hélène Poulin (UQAT), Christiane Bergeron-Leclerc (UQAC), Lily Lessard (UQAR), Anne-Sophie Bergeron (UQAR) et Maryse Proulx (UQAR).

Les proches aidants occupent un rôle essentiel auprès des personnes vulnérables. Le contexte de pandémie augmente les besoins des personnes vulnérables, entre autres en raison d’un accès plus limité aux ressources formelles d’aide et de soutien. Ceci est particulièrement vrai en milieu rural où l’accès aux ressources spécialisées est souvent limité. Les proches aidants représentent ainsi un chaînon indispensable du système de santé en assurant une offre de soins et de services qui devraient autrement être pris en charge par le réseau de la santé et des services sociaux (RSSS), déjà fortement sollicité. Si, en temps normal, les proches aidants sont à risque de vivre de l’épuisement et de la détresse, la situation actuelle exige un soutien accru de leur part, qui est susceptible de fragiliser davantage leur propre état de santé physique et mentale, les rendant vulnérables à leur tour. Prendre soin des proches aidants est un projet de recherche qui s’intéresse à la santé physique et mentale des aidants qui prennent soin d’une personne atteinte d’un trouble de santé mental (TSM) ou d’un trouble du spectre de l’autisme (TSA). En effet, si ceux-ci ne sont plus en mesure de soutenir les personnes les plus vulnérables de notre société, qui pourra prendre le relais dans un contexte où les ressources formelles du RSSS sont prioritairement dédiées à gérer la crise sanitaire?

  • Recherche financée par le Centre de recherche intersectoriel en santé durable (CISD) de l’UQAC (15 000$) et la Fédération québécoise des professeures et des professeurs d’Université (FQPPU) (10 000$)
  • Chercheuses principales : Christiane Bergeron-Leclerc et Danielle Maltais (UQAC)
  • Cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Jacques Cherblanc, Eve Pouliot et Jacinthe Dion (UQAC), Josée Grenier (UQO), Oscar Labra (UQAT), Andrée-Anne Marchand et Marie-Pier Vaillancourt-Morel (UQTR), Myriam Dubé (UQAM), Cathy Vaillancourt (INRS), Anne-Renée Gravel (TÉLUQ), Claudiane Ouellet-Plamondon (ÉTS) et Lara Maillet (ÉNAP).

Le Québec vit actuellement un moment historique, en raison de la crainte de la propagation de la COVID-19 au sein de la population. Déclarant l’urgence sanitaire, le Québec et l’ensemble des provinces canadiennes ont mis en place des mesures collectives qui se sont accentuées, puis adoucies et qui ont pris la forme : a) de la fermeture des établissements scolaires et des services non essentiels, b) de la distanciation sociale et c) du confinement. C’est dans l’optique de documenter les conséquences à court, à moyen et à long terme de la pandémie sur la santé globale des communautés universitaires qu’a été entreprise une étude regroupant plus d’une dizaine de chercheurs des différentes constituantes des UQ. Celle-ci vise les étudiants et tous les membres du personnel de l’ensemble du réseau des Universités du Québec. Par le biais d’un sondage en ligne, plus de 2750 personnes ont été questionnées, en avril-mai 2020, à propos de leur état de santé bio-psycho-socio-spirituelle. L’été 2020 sera consacrée à l’analyse et à la diffusion des résultats. Avant toute chose nous souhaitons que cette étude soit utile et éclaire la mise en place de mesures de soutien au sein des communautés universitaires.

  • Chercheurs responsables de l’étude : Annie LeBlanc (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable),Yves de Koninck (UL et CERVO),  Marc Hébert (UL et CERVO),  Jean-Pierre Després (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Catherine Mercier (UL et CIRRIS), François Routhier (UL et CIRRIS) et George Tarabulsy (UL et CIRRIS)
  • Collaborateurs : Marie Baron (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Patrick Blouin (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Nancy Côté (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Émilie Dionne (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Richard Fleet (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Matthew Menear (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Marie-Pier Déry (Vitam, Centre de recherche en santé durable), Marie-Pierre Gagnon, (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Holly Witteman (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Patrick Archambault (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Geneviève Roch (Vitam, Centre de recherche en santé durable et UL), Éric Gagnon ((UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Antoine Groulx, (UL et Vitam, Centre de recherche en santé durable), Delphine Collin-Vézina (CRUJeF et McGill), MarieHélène Gagné (UL et CRUJeF), Marie-Christine Saint-Jacques (UL et CRUJeF), Danielle Nadeau (CRUJeF), Julie Tremblay (CRUJeF), Geneviève Dionne (CRUJeF), Marie-Claude Simard (CRUJeF), Annie Bérubé (CRUJeF et UL), Marc Hébert (UL et CERVO), Caroline Cellard (UL et CERVO),  Maripier Isabelle (UL et CERVO), Chantal Mérette (UL et CERVO), Marc-André Roy (UL et CERVO), Claudia Savard (CERVO et UL), Martin Provencher (UL et CERVO), Annie Vallières (UL et CERVO), Marie-France Demers (UL), Pierre Marquet (UL et CERVO), François Routhier (UL et CIRRIS), Catherine Mercier (UL et CIRRIS), Marie-Christine Ouellet (UL et CIRRIS), Marie-Ève Lamontagne (UL et CIRRIS), Simon Beaulieu-Bonneau (UL et CIRRIS), Normand Boucher (CIRRIS), Michel Gilbert (Centre national d’excellence en santé mentale), Denis Lafortune (UdM),  Lily Lessard (UQAR et SASSS Centre de recherche CA), Marie-Hélène Morin (UQAR), Édith St-Hilaire (CISSS-CA) et Luc Vigneault (patient partenaire)

Le projet de recherche porte sur les impacts psychologiques et sociaux de la pandémie COVID-19 sur la population de la région de la Capitale-Nationale et de ses environs. Le projet vise à donner une voix aux différentes communautés et acteurs de la Capitale-Nationale en documentant leur vécu et les impacts de la pandémie sur leur vie et leur santé. Il verra aussi à soutenir les établissements du réseau de la santé et des services sociaux dans le déploiement et l’organisation des services en temps de crise et, ultimement, à documenter les impacts de la pandémie actuelle et les stratégies d’adaptation auprès de la population, des familles, et de la communauté. De plus, il permettra au système de santé et des services sociaux de répondre adéquatement à d’éventuelles crises de nature équivalente.

  • Recherche subventionnée par le Programme SAVOIR, CRSH (181 210$)
  • Chercheur principal/cochercheurs : Geneviève Piché (UQO), Aude Villate (UQO), Marie-Ève Clément (UQO), collaborateurs : Andrea Reupert, Catherine Cyr-Villeneuve, Darryl Maybery, Line Leblanc, Louise Fournier, René Cloutier, Stéphane Richard-Devantoy.

Au Canada, le soutien à apporter aux Enfants de Parents vivant avec un Trouble Mental (EPTM), de l’enfance à l’entrée dans l’âge adulte, constitue désormais une priorité de santé publique. En effet, la présence d’un diagnostic de trouble mental chez un parent est un facteur de risque biologique et environnemental auquel entre 12 et 23% des enfants sont exposés chaque année à travers le monde.  Ces enfants (EPTM) sont notamment à plus haut risque de vivre des difficultés sociales, scolaires, émotionnelles et de développer un trouble mental. Pour les soutenir, les écrits soulignent l’importance d’adopter une Approche préventive Centrée sur la Famille (ACF). Cette approche référant à l’implication des membres de la famille dans le cadre des suivis et soins usuels d’un parent atteint d’un trouble mental, est associée à d’importants bénéfices pour les utilisateurs de services et leurs familles, en termes de rétablissement, de risque de transmission des troubles mentaux du parent à l’enfant et de réduction du fardeau porté par les enfants. Au Québec, malgré les recommandations ministérielles et les données probantes appuyant une ACF, le peu d’informations disponibles ne nous permet pas de confirmer de quelle manière cette approche est mise en pratique dans les services en santé mentale. Selon une étude qualitative réalisée auprès de 106 participants rattachés aux services offerts aux familles de la région de Québec, l’accès à des pratiques centrées sur la famille semble limité. En effet, les membres des familles dont un parent a un trouble mental rapportent recevoir des services fragmentés ou en silo. Néanmoins, au-delà de ces  informations, le champ de connaissances demeure lacunaire puisque aucune information quantifiable  n’existe: (1) sur l’utilisation de pratiques de soutien envers des EPTM et leurs familles; (2) sur les  facteurs qui y sont associés; (3) quant aux pratiques de soutien des professionnels de différents  champs disciplinaires (ex., travail social, psychoéducation) en contexte québécois; (4) quant aux  pratiques intersectorielles, c’est-à-dire la collaboration entre les professionnels de différentes  disciplines, organismes, établissements et secteurs. Cette demande présente ainsi une programmation de recherche ayant pour but d’approfondir nos connaissances sur les pratiques centrées sur la famille en contexte de santé mentale adulte au Québec et de proposer un cadre destiné à soutenir l’adoption de telles pratiques.

  • Recherche financée par le MEES dans le cadre du comité sur la collaboration interprofessionnelle et la décentralisation du doctorat en médecine de l’Université Laval Régions Chaudière Appalaches, Bas-Saint-Laurent, Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Côte
  • Chercheur principal/Cochercheurs : Lily Lessard et Dave Bergeron (UQAR); Marie-Hélène Morin (UQAR), Dominique Perron, professionnel de recherche (UQAR), Jacynthe Dufour, IPS (CISSS-CA), Louise Bujold (UL), Dr. Olivier (GMF Rimouski), Jean Maziade (UL) et Dominique Perron, coordonnateur

L’objectif de cette étude est de repérer les succès de collaboration interprofessionnelle et les situations impliquant l’intervention de deux ou plusieurs types de professionnels de la santé et de services sociaux dans les milieux de première ligne (GMF) des régions éloignées des centres urbains dans le but de proposer des occasions de formation interprofessionnelle à la fois théorique et pratique aux futurs MD, IPSPL et les autres professionnels de la santé et des services sociaux, dont les infirmières et infirmiers cliniciens ainsi que les travailleuses et travailleurs sociaux et autres professionnels impliqués dans la prestation de soins et services directs.

  • Projet financé par le CIUSSS Capitale Nationale (127 380$) et le MSSS (50 000$)
  • Chercheur principal/cochercheurs : André Savoie, usager partenaire; Diane Harvey (AQRP); Ève Côté, (APUR); Marie-Dominique Rouleau, proche partenaire; Marie-Ève Leblond, (Cercle Polaire); Marie-France Allen (CIUSSS de la Capitale-Nationale); Marie-Hélène Morin (UQAR); Michèle Clément, (CERSSPL-UL, CIUSSS de la Capitale-Nationale); Pascale Lavoie, (CIUSSS de la Capitale-Nationale); René Cloutier, (RAC); Rodrigue Côté (CIUSSS de la Capitale- Nationale); Sandrine Rousseau (AQRP); Suzanne Péloquin, proche partenaire; Annie Levesque (CIUSSS de la Capitale-Nationale).

Le projet consiste à développer un guide clinique de bonnes pratiques pour soutenir l’implication des familles et des proches des personnes vivant un problème de santé mentale dans le processus de rétablissement de ces dernières. Ce guide :

  • S’adressera aux intervenants œuvrant dans le domaine de la santé mentale au Québec;
  • Se basera sur des connaissances issues d’une recension des écrits, des connaissances d’experts cliniciens dans le domaine et de groupes de consultation auprès d’acteurs-clés ;
  • Sera élaboré dans une perspective de rayonnement sur le plan provincial.
  • Projet financé par le FRQS-MEI-MSSS (60 000$)
  • Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Lily Lessard (UQAR), Marie-Hélène Poulin (UQAT), Geneviève Brisson (UQAR) et collaborateurs : Suzie Bond (TELUQ) Jean-Daniel Carrier (USherbrooke); Laurence Lépine  (Croix-Rouge); Philippe Roy (USherbrooke) et Emmanuelle Bédard (UQAR), Anne-Sophie Bergeron (UQAR).

La pandémie liée à la COVID-19, et les mesures de santé publique qui l’accompagnent, mettent à l’épreuve les capacités d’adaptation des populations et ont des effets importants sur leur santé mentale. Des études récentes rapportent une augmentation inquiétante de la détresse psychologique, des symptômes anxieux et dépressifs et du stress dans la population générale, notamment celle des milieux ruraux ou habitant à l’extérieur des grands centres urbains. De plus, certaines populations cliniques spécifiques – dont les personnes qui ont un trouble de santé mentale (TSM) ou un trouble du spectre de l’autisme (TSA), de même que les proches aidants (PA) qui les soutiennent – sont davantage vulnérables aux effets de la pandémie sur leur santé mentale. Cette situation inédite requiert la mise en place rapide de solutions probantes et contextualisées afin de limiter ces différents impacts. Ce projet repose d’abord sur l’actualisation, à la situation de la Covid-19, de deux outils initialement développés dans le contexte de désastres d’envergure populationnelle au Québec : une grille de caractérisation des vulnérabilités des populations rurales et une boîte à outils d’interventions communautaires et cliniques pour prévenir ou réduire les impacts sur la santé mentale dans la population générale. Ces outils seront ensuite expérimentés en milieu rural, auprès des personnes présentant un TSM, un TSA et des PA qui les soutiennent afin d’apporter des réponses spécifiques aux effets de la pandémie sur ces groupes vulnérables.

  • Chaire financée par le CISSS du Bas-Saint-Laurent, le CISSS de Chaudière-Appalaches et TELUS
  • Financement : 1,2 Millions sur 5 ans
  • Responsables de la Chaire et co-chercheuses principales : Marie-Hélène Morin (UQAR) et Lily Lessard (UQAR)

Les territoires des régions de Chaudière-Appalaches et du Bas-Saint-Laurent sont majoritairement ruraux et près de 40% de leur population y habite. La ruralité est toutefois encore difficile à définir, celle-ci étant souvent reléguée à une réalité unique, statique voir même folklorique ou simplement ce qui n’est pas urbain. Pourtant, le portrait de la ruralité au Québec doit être considéré comme une mosaïque complexe, riche et évolutive. Cette méconnaissance des forces et des nouveaux défis rencontrés par les populations rurales peut être à l’origine d’inégalités sociales et de santé vis-à-vis les milieux plus densément peuplés. « Les inégalités sociales de santé sont ces écarts, pourtant évitables, entre hommes et femmes, entre groupes socio-économiques et entre territoires, qui ont un impact sur de nombreux aspects de la santé des populations. » (Centre Léa-Roback, 2007). La Chaire a pour mission de devenir une référence en matière de recherches portant sur la santé et les services sociaux en milieu rural. Dans une perspective de proximité avec les acteurs des milieux ruraux et les partenaires des CISSS du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches, elle vise à apporter des réponses innovantes et adaptées aux enjeux sociaux et de santé rencontrés par les personnes, les familles, les groupes et les communautés rurales. La vision de la Chaire repose sur une représentation contemporaine de la ruralité au Québec. Celle-ci s’appuie sur la conviction que les communautés rurales détiennent les compétences nécessaires pour agir sur les enjeux liés aux services sociaux et à la santé qu’elles rencontrent. Cette vision reconnaît la diversité des communautés rurales et des réalités vécues par les acteurs (personnes, familles, milieux institutionnels, communautaires et municipaux) ainsi que la nécessité de développer, de manière collaborative, des réponses scientifiques adaptées à ces réalités pour améliorer les modèles d’organisation des services et les pratiques professionnelles dans les domaines de la santé et des services sociaux.

  • Réseau financé par les Grandes initiatives Réseau en santé et services sociaux (GIR-SSS) Financement : 250 000$/année
  • Comité de direction du RISUQ : Cathy Vaillancourt (INRS), Directrice, Marie-Hélène Morin (UQAR), Directrice-adjointe (Sciences sociales), Martin Descarreaux (UQTR), Directeur-adjoint (Sciences cliniques) et Benoit Barbeau (UQAM), Directeur-adjoint (sciences fondamentales/naturelles)
  • Comité Scientifique : Marc Germain (UQTR), Responsable de l’axe biomédical, Nicole Ouellet (UQAR), Responsable de l’axe organisation des soins de santé et des services sociaux (OSSS), Dave Saint-Amour (UQAM), Responsable de l’axe neurosciences cognitives et santé mentale, Louis-David Beaulieu (UQAC), Responsable de l’axe mouvements et saines habitudes de vie, Catherine Laprise (UQAC), co-responsable de l’axe biomédical, France Gagnon (TELUQ), co-responsable de l’Axe OSSS, Daniel Fiset (UQO), co-responsable de l’axe neurosciences cognitives et santé mentale

Le Réseau intersectoriel de recherche en santé de l’Université du Québec (RISUQ) souhaite contribuer au mieux-être des communautés dans une perspective interdisciplinaire et intersectorielle où la recherche, l’innovation et la mobilisation des connaissances sont utilisées pour répondre aux enjeux prioritaires de santé et de services sociaux des différentes collectivités sur tout le territoire du Québec. Les objectifs visés sont de :

  • Déployer nos expertises en santé pour l’obtention de données scientifiques probantes visant à favoriser le mieux-être et la santé pour les différentes populations urbaines et rurales du Québec, avec une sensibilité à l’égard des personnes en situation de vulnérabilité et l’équité de genre;
  • Déployer une programmation scientifique qui catalyse une formation intersectorielle unique, dynamique et attractive, alliant les approches fondamentales, sociales et cliniques dans un souci commun d’amélioration de la santé des populations sur tous les territoires du Québec, tout en portant une attention particulière à la rétention de la relève en santé et en services sociaux formée en région;
  • Développer la recherche interdisciplinaire et intersectorielle, centrée sur les préoccupations et les priorités régionales en matière de santé et de services sociaux, dans un continuum d’éducation, de prévention, de dépistage et d’estimation du risque, lesquels conduisent vers des actions personnalisées, curatives ou de soutien;
  • Développer des outils innovants, centrés sur le principe d’un maintien du mieux-être et de la santé à travers le temps et les générations sur l’ensemble du territoire québécois et ce, en tenant compte d’une utilisation responsable des ressources tant financières, que sociales et environnementales.

http://risuq.uquebec.ca/

  • Recherche subventionnée par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH) – Programme Développement Savoir
  • Financement : 66 109$ sur 2 ans
  • Chercheuse principale : Marie-Hélène Morin (UQAR)
  • Co-chercheurs : Marc-André Roy (IUSMQ), Sophie Éthier (Université Laval)
  • Collaborateurs : Julie Bouchard et Claudia Lévesque (IUSMQ), Michel Gilbert (CNESM), Michel T. Giroux (ICRED), Mary Ann Levasseur, Diane Riendeau et Sylvie Boileau (IUSMM, Douglas), Luc Vigneault (Université Laval), Anne-Sophie Bergeron (UQAR), Annik Moreau (Université Laval).

Le rôle de soutien exercé par les membres de l’entourage, de même que la collaboration entre les proches aidants et les professionnels, jouent un rôle déterminant dans le pronostic et le rétablissement de la personne présentant un trouble mental. Par contre, l’établissement de pratiques collaboratives entre les proches aidants et les équipes d’intervention se heurte à des enjeux de confidentialité, plus particulièrement lorsqu’il est question de partager des informations entre les acteurs concernés. Dans ce contexte, il est important de s’attarder aux éléments concrets qui font obstacles au partage d’informations et d’apporter des recommandations afin d’améliorer les pratiques collaboratives entre les proches aidants et les professionnels en santé mentale. L’objectif de cette recherche est donc d’identifier les enjeux liés au partage d’informations et au respect de la confidentialité à partir de la perspective croisée des proches aidants, des professionnels et des utilisateurs de services en santé mentale. À partir de ces perspectives croisées, les objectifs spécifiques suivants sont visés: (1) Documenter l’expérience des acteurs concernant le partage d’informations dans le contexte de l’utilisation de services en santé mentale; (2) Décrire comment s’obtient le consentement à partager des informations au sujet de la personne atteinte et de son traitement; (3) Effectuer un inventaire des protocoles d’entente encadrant le partage d’informations sur le plan légal et décrire ce qu’ils contiennent; (4) Documenter les facteurs qui favorisent le partage d’informations entre les acteurs et ceux qui font obstacles à la transmission d’informations; (5) Dégager des solutions concrètes pour favoriser le partage d’informations en respectant le contexte légal dans les pratiques en santé mentale. Des entrevues individuelles semi-dirigées seront réalisées dans un premier temps, dans deux régions distinctes, soit Bas-Saint-Laurent et Capitale-Nationale, auprès de proches aidants (n=10)/région et de professionnels de la santé (n=12/région). Dans un deuxième temps, des entrevues de groupe seront menées dans ces deux mêmes régions, auprès des personnes utilisatrices de services en santé mentale (n=8/région). Les résultats de l’étude contribueront à enrichir les connaissances et à approfondir l’analyse des enjeux de confidentialité dans les pratiques du domaine de la santé et des services sociaux. Les recommandations générées au terme de cette étude seront applicables dans différents champs disciplinaires et domaines d’intervention.

  • Recherche subventionnée par le Fonds de recherche du Québec -Société et culture
    (FRQ-SC), Programme Établissement de nouveaux professeurs-chercheurs, (49 929 $).
  • Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Catherine Turbide, auxiliaire de recherche (UQAR) ; Maryse Proulx, auxiliaire de recherche (UQAR).
  • Descriptif du projet :

Malgré une volonté politique et sociale de reconnaître le rôle de soutien exercé par les proches aidants, des lacunes et des insatisfactions demeurent observables quant aux services s’adressant aux familles engagées dans ce rôle de soutien. Cela est d’autant plus vrai lors d’un premier épisode psychotique (PEP) qui survient généralement au passage à la vie adulte en touchant de 4 à 5 % des jeunes. En s’appuyant sur la perspective théorique des parcours de vie, l’objectif principal de cette étude est de documenter la trajectoire de services empruntée lors de l’émergence d’un trouble psychotique. Les quatre objectifs suivants sont visés : (1) mieux connaître comment a été initiée la demande d’aide lors du PEP; (2) identifier les services de proximité et spécialisés utilisés par les jeunes adultes et leurs proches aidants; (3) documenter les principaux obstacles rencontrés sur le plan du partage d’information et de la confidentialité et, (4) dégager l’impact du recours aux services sur la diminution de la détresse et du besoin de soutien des familles. Une démarche de recherche qualitative sera utilisée. Des entrevues semi-dirigées seront menées auprès de jeunes adultes (n =20) et de leurs proches aidants (n= 20) alors que deux entrevues de groupe seront réalisées auprès des intervenants (n = 20) des associations de famille et des cliniques pour premiers épisodes psychotiques. En documentant les trajectoires de soins, cette étude contribuera à optimiser le maillage entre les services de proximité et les services spécialisés, en plus de dégager des pistes de solutions afin d’établir des réelles pratiques collaboratives. Cela aura des retombées concrètes pour l’intervention offerte à la fois par les associations de familles et les cliniques qui dispensent des services lors d’un PEP.

  • Recherche subventionnée par les Fonds de développement académique du réseau (FODAR) de l’Université du Québec, (17 500 $).
  • Chercheur principal/cochercheurs: Marie-Hélène Morin (UQAR) et Christian Guillemette, auxiliaire de recherche (UQAR)
  • Descriptif du projet :

Dans le cadre de la grande initiative réseau en santé et services sociaux (GIR-SSS), en conformité avec le plan de développement stratégique de cette initiative, plus particulièrement en lien avec l’objectif 2.1 Élaborer une programmation scientifique RUQ en santé et services sociaux et le sous-objectif 2.1.1 Offrir un soutien financier aux principaux groupes ou regroupements qui vont s’investir dans l’émergence de la programmation scientifique, contribution à l’élaboration d’une demande de soutien aux infrastructures auprès du Fonds de recherche du Québec – Santé (FRQ-S) pour un centre de recherche intégré en santé de l’Université du Québec (CRISUQ). Je suis particulièrement porteuse de l’axe Organisation des soins et services sociaux sur les territoires dans le cadre de cette démarche visant à définir l’axe de recherche dans la demande d’infrastructure.

  • Recherche subventionnée par les Fonds institutionnels de recherche (FIR), (9 996 $).
  • Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Amal Abdel-Baki (AQPPEP), Marc-André Roy (AQPPEP), Hélène Fradet (Réseau avant de craquer) et Maryse Proulx (UQAR).
  • Descriptif du projet :

Le plan d’action en santé mentale 2015-2020 du gouvernement du Québec intitulé « Faire ensemble et autrement » réitère l’importance de « reconnaître, favoriser et soutenir l’implication des membres de l’entourage » dont on dit qu’ils constituent bien souvent « la principale source de soutien et d’hébergement des personnes atteintes de maladies mentales » (MSSS, 2015, p.18). Dans cette perspective, un inventaire des pratiques en intervention familiale qui s’exercent actuellement dans les associations de familles et dans les cliniques spécialisées dans le traitement d’un premier épisode psychotique (PEP) a été réalisé en 2017. L’objectif était de décrire de façon quantitative l’offre de service actuelle à laquelle peuvent avoir recours les membres de l’entourage lors de l’émergence d’un trouble psychotique, de documenter les pratiques en intervention familiale sur le plan notamment des activités cliniques et des approches utilisées et d’analyser comment s’inscrit l’offre de services actuelle dans le modèle de soins familiaux proposé par Mottaghipour et Bickerton (2005). La présente recherche s’inscrit en continuité avec cette première étude puisqu’elle vise dans un premier temps à : 1) valider les résultats obtenus en phase I via une étude qualitative (groupes de discussion), puis dans un deuxième temps à 2) procéder au transfert des connaissances vers les principaux utilisateurs, soit les associations de familles et les cliniques spécialisées lors d’un PEP (conférences et tables rondes). Ces étapes de validation et de transfert de connaissance constituent des étapes essentielles afin de maximiser les retombées de l’étude et favoriser une réelle application des connaissances par les associations de familles membres du Réseau avant de craquer et par les cliniques PEP membres de l’AQPPEP.

  • Recherche subventionnée par les Fonds institutionnel de recherche (FIR), (9 982 $).
  • Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR), Amal Abdel-Baki (AQPPEP), Marc-André Roy (AQPPEP), Hélène Fradet (Réseau avant de craquer) et Maryse Proulx (UQAR).
  • Descriptif du projet :

L’intervention familiale est désormais reconnue comme étant essentielle lors de l’émergence d’un trouble psychotique. Ce type d’intervention a un effet favorable sur l’état de la personne atteinte de même que sur le fonctionnement des familles. Au Québec, on tarde toutefois à disséminer ces bonnes pratiques autant dans les services de proximité que dans les services spécialisés s’adressant aux familles. En s’appuyant sur la pyramide des soins familiaux (Mottaghipour et Bickerton, 2005), l’objectif principal de cette étude est de dresser un inventaire des pratiques en intervention familiale qui s’exercent actuellement dans les associations de familles et dans les cliniques spécialisées dans le traitement d’un premier épisode psychotique (PEP). Les objectifs spécifiques suivants sont visés par cette étude : (1) Décrire l’offre de services actuelle à laquelle peuvent avoir recours les membres de la famille et les personnes atteintes d’un trouble psychotique en début d’évolution ; (2) Documenter les pratiques en intervention familiale sur le plan notamment des activités cliniques et des approches utilisées ; (3) Analyser comment s’inscrit l’offre de services actuelle dans le modèle de soins familiaux proposé par Mottaghipour et Bickerton (2005). Une démarche de recherche quantitative sera utilisée. Un questionnaire électronique sera acheminé aux associations de familles (n= 20) et aux cliniques spécialisées (n= 10) qui auront manifesté le souhait de participer. En dressant un inventaire des pratiques actuelles, cette étude contribuera à optimiser l’offre de services offerte aux familles, tout en ayant des retombées concrètes pour l’intervention familiale dispensée à la fois par les associations de familles et les cliniques spécialisées lors d’un PEP.

  • Recherche subventionnée par :
    • Bourse annuelle d’aide à la publication de l’OTSTCFQ (5 000 $);
    • Politique de diffusion des travaux de recherche, volet aide à la publication C2-D16 (UQAR) (2 300$);
    • Réseau de l’Université du Québec (Fonds de développement académique du Réseau de l’Université du Québec (FODAR), (1 343, 80$).
  • Chercheur principal/cochercheurs : Christiane Bergeron-Leclerc (UQAC); Marie-Hélène Morin (UQAR), Bernadette Dallaire (UL); Cécile Cormier (UQAR) et Annie Lévesque.
  • Descriptif du projet :

Production d’un ouvrage collectif pouvant servir de manuel pédagogique pour le cours Santé mentale, fonctionnement social et problèmes sociaux. Projet d’édition a été accepté par les Presses des Universités du Québec (PUQ), parution prévue en 2018. Mise en contexte du livre : De la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours, la pratique du travail social dans le champ de la santé mentale s’est transformée. D’une pratique individuelle, quasi-exclusivement intra-hospitalière, nous sommes passés à des modalités des plus diversifiées, alliant différentes méthodes, approches et contextes d’intervention. De surcroît, le travail social dans le champ de la santé mentale dépasse maintenant les frontières des organisations formellement identifiées à ce domaine. C’est ainsi que des travailleurs sociaux œuvrant dans tous types de contextes (ex. : protection de la jeunesse, violence conjugale) sont quotidiennement en situation d’intervention auprès de personnes ayant des troubles mentaux, diagnostiqués ou non et dont la gravité varie. La complexité de l’intervention auprès de ces personnes découle non seulement du trouble lui-même, mais également de ses répercussions (ex. autostigmatisation, itinérance, isolement social, pauvreté) ou de la présence d’autres problèmes associés (ex. toxicomanie). Ce cumul de difficultés et leurs interactions ont des impacts sur le recouvrement du fonctionnement social et le rétablissement des personnes. Devant cette réalité, les travailleurs sociaux doivent disposer d’un large éventail de connaissances et de compétences pour intervenir. Cet ouvrage, qui s’adresse tant aux étudiants qu’aux professionnels en exercice, vise donc à fournir des outils conceptuels et pratiques adaptés aux particularités de l’exercice du travail social dans le champ, désormais multiforme, de la santé mentale.

  • Recherche subventionnée par les fonds de recherche de la chercheure principale.
  • Chercheur principal/cochercheurs : Marie-Hélène Morin (UQAR) chercheure principale, Anne-Catherine Darveau (IUSMQ), Annabelle Leclerc (IUSMQ), Isabelle Fillion (IUSMQ), Karine Gaudreault (IUSMQ), Karl Turcotte (IUSMQ), Nadia Veilleux (IUSMQ) et Audrey Bernard (UL).
  • Descriptif du projet :

Recherche collaborative réalisée à partir de l’initiative d’un sous-comité de recherche composé d’une dizaine de travailleurs sociaux de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ). L’objectif de cette étude est de définir l’identité professionnelle et les pratiques professionnelles des travailleurs sociaux de 3ᵉ ligne psychiatrique selon la vision des intervenants en santé mentale œuvrant en CSSS et en milieu communautaire. Plus spécifiquement, cette recherche vise à : (1) Décrire les pratiques (types d’interventions, activités cliniques, rôles, tâches) spécifiques aux travailleurs sociaux de 3ᵉ ligne psychiatrique; (2) Dégager les attentes des intervenants en santé mentale par rapport aux pratiques des travailleurs sociaux en 3ᵉ ligne psychiatrique et, (3) Identifier les facteurs qui facilitent et entravent la collaboration entre les intervenants sociaux de la première ligne en santé mentale et les travailleurs sociaux de la 3ᵉ ligne psychiatrique.

  • Recherche subventionnée par :
    • Bourse de doctorat du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC) (60 000 $)
    • Boursière de l’UQAR, Politique d’aide financière à des candidates et candidats éventuels à des potes de professeure ou de professeure (C3-D60) (27 000$)
    • Bourse d’excellence au doctorat, fonds facultaire d’enseignement et de recherche (FFER), Faculté des sciences sociales, Université Laval (12 000$)
    • Bourse d’appui aux études graduées, Fonds Simone-Paré, Faculté des sciences sociales, Université Laval (2 000$)
    • Bourse de doctorat de l’OPTSQ, ordre professionnel des travailleurs sociaux du Québec (1 000$)
    • Bourse de doctorat La Personnelle, Assurances générales La Personnelle (500 $)
    • Bourse d’excellence aux études supérieures, Fonds Georgette Béliveau, Faculté des sciences sociales, Université Laval (2 000 $)
  • Chercheur principal/cochercheurs: Marie-Hélène Morin (UQAR), Myreille St-Onge (U.Laval).
  • Étude doctorale réalisée auprès de 58 parents qui ont reçu des services à la Clinique Notre-Dame des Victoires (CNDV) de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ), une clinique spécialisée dans le traitement des premières psychoses. Cette recherche est basée sur une méthodologie mixte (quantitative et qualitative). L’objectif principal est de dégager les facteurs qui prédisent d’adaptation des parents et des beaux-parents qui exercent un rôle de soutien pour leur enfant d’âge adulte atteint d’un premier épisode psychotique (PEP). Un objectif complémentaire est de documenter la relation de collaboration entre les familles et les travailleuses sociales.
  • Brouillette, Christel, maîtrise en sciences de la santé, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (2019-2021)
    Stéphane Grenier, UQAT, directeur de recherche
    Marie-Hélène Morin, UQAR, codirection
  • Moreau, Annik, doctorat en service social, École de travail social et de criminologie, Université Laval
    Bernadette Dallaire, Université Laval, directrice de recherche
    Sophie Éthier, Université Laval, membre du comité de thèse
    Marie-Hélène Morin, UQAR, membre du comité de thèse
  • La Rue, Ève, maîtrise en science de l’éducation, département des fondements et pratiques en éducation (2017-2018).
    Marianne Olivier-D’Avignon, Université Laval, directrice de recherche.
    Marie-Hélène Morin, UQAR, codirection de recherche.
  • Leclerc Annabelle, maîtrise en service social, Université Laval (2017). Bernadette Dallaire, Université Laval, directrice de recherche.
  • Moreau, Anik, doctorat en service social, Université Laval. (2017). Bernadette Dallaire, Université Laval, directrice de recherche
  • Poirier Hélène, maîtrise en travail social, (UQAC). Christiane Bergeron-Leclerc, UQAC, directrice de recherche.
  • Vaillancourt, Madeleine, maîtrise en travail social, UQAC (2011). Christiane Bergeron-Leclerc, UQAC, directrice de recherche.

2019-2020 – Codirection d’un numéro thématique de la Revue Intervention « Regards sur la diversité des visages de la proche aidance en 2020 ». Ordre des Travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux du Québec (OTSTCFQ)

  • 2018 Évaluation d’un article pour la revue Qualitative Health Research (facteur impact 2.036)
  • 2014 Santé mentale au Québec
  • 2011 Évaluatrice du cadre de référence sur l’évaluation psychosociale pour Ordre de travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec (OTSTCFQ)
  • 2011 Évaluation du chapitre sur l’évaluation psychosociale qui fera partie de l’ouvrage « Méthodologie de l’intervention individuelle ».
  • 2010 Évaluatrice de deux textes pour les Actes officiels du 32ᵉ Symposium international sur le travail social de groupe.
  • 2009 Évaluatrice externe, Revue canadienne de santé mentale communautaire
  • Membre du comité d’experts pour l’élaboration de la première politique nationale pour les personnes proches aidantes au Québec (MSSS) (2018- à ce jour)
  • Consultante pour l’Association québécoise des programmes pour premiers épisodes psychotiques (AQPPEP) (2010 à ce jour)
  • Administratrice au sein du conseil d’administration du Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement du Bas-St-Laurent (CRDITED) (2013-2015)
  • Comité d’éthique de la recherche de l’UQAR, CÉRUQAR (2017 à 2020 et 2013 à 2015). Participation aux séances régulières du comité ; Membre du sous-comité d’évaluation délégué (SCED).
  • Comité de travail sur le développement de la maîtrise en travail social à l’UQAR
  • Comité institutionnel d’évaluation par les pairs et au Comité d’éthique de la recherche de l’UQAR (CÉRUQAR) (2013-2015)
  • Représentante des professeurs (2012-2013)
  • Codirection et direction du module (2017-2019)
  • Responsable de colloque, Congrès de l’ACFAS 2020 – Colloque 646 « Les enjeux liés au développement de la recherche intersectorielle en santé et services sociaux sur le territoire Québécois : le cas du Réseau intersectoriel de recherche en santé de l’Université du Québec (RISUQ) »
  • Responsable de colloque, Congrès de l’ACFAS 2015 – Colloque 426 « Sortir du cadre : pour une vision inclusive des acteurs et des services de la première ligne en santé mentale », Conférences, 2014 – 2015
  • Formatrice en intervention familiale dans le contexte des premières psychoses- Réseau avant de craquer (RAC) (2007 à ce jour)
  • Conférencière et formatrice en intervention familiale pour l’AQPPEP, soutien aux intervenants du Bas-St-Laurent (2006 à ce jour)
  • Professeure, Colloque des finissants et des finissantes en travail social de l’UQAR, Conférences, 2011, 2013, 2014
  • Membre du comité organisateur et animatrice, Semaine de sensibilisation aux maladies mentales, Conférences, 2009 – 2010
  • Responsable de colloque – Colloque étudiant du Centre de recherche sur l’adaptation des jeunes et des familles à risque (JEFAR), « La complémentarité de la recherche et de l’intervention : L’union fait la force ! », Université Laval, 2006
  • Codirection et direction du module en Travail social (2017-2019)
  • Responsable de la formation pratique (2012-2017)
  • Représentante des professeurs au conseil de module (2012-2013)

Professeure en travail social

  • 2010 – à ce jour – Département de travail social, Université du Québec à Rimouski  – (UQAR)

Formatrice

  • 2010 – Centre de santé et de service sociaux Rimouski-Neigette (CSSS-R), Programme RAP
  • 2009 – Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), Clinique Jeunes Adultes – Psychotiques (Clinique JAP)
  • 2008 – Institut universitaire en santé mentale de Québec, Centre hospitalier Robert – Griffard
  • 2008 – Fédéretion des familles et des amis de la personne atteinte de la maladie mentale (FFAPAMM)

Travailleuse sociale

  • 2006-2009 – Institut universitaire en santé mentale de Québec, Clinique Notre-Dame des Victoires (CNDV), programme des troubles psychotiques
  • 2003-2007 – Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de la Vieille-Capitale, Québec. CLSC Haute-Ville des Rivières, services courants, AÉO social.

Intervenante sociale

  • 2003-2006 – Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de la Vieille-Capitale, Québec. – Centre d’hébergement et de soins de longue durée, CHSLD St-Antoine
  • 2000-2003 – CLSC Rimouski-Neigette, service courant (AÉO) social, équipe 24/7 (urgence sociale et soutien à domicile (SAD)

Chargée d’enseignement

  • 2007- Unité de formation en travail social, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) – Titre du cours : L’intervention auprès des familles en travail social, 4SVS109, groupe 02.

Chargée de sessions cliniques

  • 2007-2009 Faculté de médecine, Département de psychiatrie, Université Laval

Communication aux étudiants

  • 2005-2007 Unité de formation en travail social, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)

Collectif de recherche sur la santé en région (CoRSeR)

  • Chercheur associé
  • 2017- à ce jour

La lueur de l’espoir du Bas-Saint-Laurent Inc

  • Consultante dans le développement des pratiques en intervention familiale, notamment en apportant ma contribution au développement du programme    ALLIANCE.
  • 2011 – à ce jour

Association québécoise pour la réadaptation psychosociale (AQRP)

  • Membre du Comité d’édition de la revue Le Partenaire, la seule revue de langue française spécialisée en réadaptation psychosociale et rétablissement en santé mentale. Participation à la planification des numéros de la revue (déterminer les thèmes et les orientations des numéros, proposer des contenus) et effectuer le suivi des numéros (réviser le contenu des textes, évaluer les propositions d’articles, valider le contenu et participer ponctuellement à la rédaction de textes).
  • 2008 – à ce jour

Fédération des familles et amis de personnes atteintes de maladie mentale (FFAPAMM)  / Réseau avant de craquer

  • Formatrice en intervention familiale dans le contexte des premières psychoses
    conférencière-invitée dans le cadre du colloque annuel de la Fédération ou de la Semaine nationale de sensibilisation aux maladies mentales.
  • Membre des comités de certification.
  • 2007 – à ce jour

International early psychosis association (IEPA)

  • Membre
  • 2006 – à ce jour

Association québécoise des programmes pour premiers épisodes psychotiques (AQPPEP)

  • Membre de l’AQPPEP, consultante et formatrice en intervention familiale pour les programmes-cliniques membres de cette association, soutien aux intervenantes du Bas-St-Laurent.
  • Représentante des milieux de formation
  • Conférencière
  • Membre du sous-comité de formation continue
  • 2006 – à ce jour

Ordre professionnel des travailleurs sociaux du Québec (OPTSQ)

  • Membre
  • 2003- à ce jour

Groupe de recherche sur l’inclusion sociale, l’organisation des services et l’évaluation en santé mentale GRIOSE-SM)

  • Membre-chercheure associée, participation aux assemblées de chercheurs et aux séminaires organisés par le Groupe. Élaboration de collaboration de recherche.
  • Diffusion des invitations aux séminaires aux étudiants du module de travail social en donnant accès à ces séminaires par visioconférence à l’UQAR.
  • 2014 -2016

Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement du Bas-Saint-Laurent (CRDITED)

  • Administratrice au sein du conseil d’administration
  • Comités d’évaluation annuelle de la Directrice générale (DG) et du Commissaire local aux plaintes et à la qualité des services (CLPQS)
  • Comité de sélection du Directeur des services professionnels et de la recherche (DSPR).
  • 2011-2015          

Réseau Qualaxia

  • Bloggeuse et responsable du dossier « Le rôle de soutien des membres de la famille», participation ponctuelle à la rédaction de d’éditorial-blogues et d’articles. 
  • Veille régulière afin d’alimenter les publications et les actualités du dossier, recrutement d’auteurs et de contributeurs, activités de concertation avec les coordonnatrices du Réseau Qualaxia. 
  • 2012-2013  

Étudiants aux cycles supérieurs

Nom et programme

2020-2023
Nicole Héon,
Maîtrise en travail social, UQAR

Thème de la recherche

L’approche de la bientraitance auprès des personnes ainées dans la pratique des travailleurs sociaux qui œuvrent au soutien à domicile du Bas-Saint-Laurent.


2020-2022
Jade Talbot,
Maîtrise en sciences géographiques,
Université LAVAL
Direction : Marie-Hélène Vandersmissen
Codirection : Yves Brousseau

Analyse géographique de la vulnérabilité et des inégalités sociales en lien avec la santé mentale et le bien-être psychosocial de la population québécoise exposée à des événements météorologiques extrêmes.


2020-2023
Joanie Turmel (TP)
Joanie_Turmel@uqar.ca
Maîtrise en travail social,
UQAR

Impacts psychosociaux et stratégies adaptatives des hommes en regard des mesures d’atténuation du risque déployées en contexte de changement climatique en Chaudière-Appalaches


2020-2022
Camille Bisson-Cauchon
Camille_Bisson_Cauchon@uqar.ca
Maitrise sciences infirmières (TC), UQAR

Expériences de soins des hommes vivant en milieu rural lors des transferts d’urgence vers CH pour une condition urgente pouvant menacer la vie et du retour vers sa communauté


2020-2021
Julien Le Beller
Maîtrise en gestion de projet (TC), UQAR

La gestion des risques induits par les changements climatiques dans le secteur de la santé mentale : une revue systématique de la littérature


2020-2024
Typhaine Leclerc
Typhaine_Leclerc@uqar.ca
Doctorat santé et société (TC), UQAM 

Expression du vécu comme moyen pour favoriser la santé mentale, le rétablissement et les bien-être des personnes exposées aux EME dans un contexte de changements climatiques


2019-2023
Simon Turcoette
Simon_Turcotte@uqar.ca
Doctorat en sciences urbaines de L’INRS
Direction : Marie-Soleil Cloutier (INRS)
Codirection : Éric Guibert (ULAVAL)

Thématique de la spatialisation des inégalités sociales. Le projet de thèse porte plus spécifiquement sur l’étude des stratégies d’adaptation et d’atténuation des effets des vagues de chaleur extrême.


2020-2023
Sophie Gagnon
Maîtrise en travail social, UQAR

L’accessibilité aux services spécialisés en troubles des conduites alimentaires dans la région du Bas-Saint-Laurent


2020-2024
Stéphanie Villeneuve
Maîtrise en travail social,
UQAR

Les déterminants de la résilience familiale des familles des militaires canadiens: comprendre pour agir de façon préventive et améliorer les pratiques.


2021-2024
Lise-Anne Lévesque
Maîtrise en travail social,
UQAR

Le sens accordé à l’expérience vécue par les familles vivant en contexte de vulnérabilité et les intervenant(e)s dans le cadre d’un suivi psychosocial en Chaudière-Appalaches


2021-2024
Marie-Hélène Feruson
Maîtrise en travail social,
UQAR

Les barrières à l’accès aux services en santé mentale jeunesse au Nouveau-Brunswick.

Stagiaires postdoctoral

Ariane_Plaisance@uqar.ca
Formée en anthropologie et titulaire d’un doctorat en santé communautaire, Ariane Plaisance est stagiaire postdoctorale à la Chaire depuis janvier 2023. Elle s’intéresse à la participation optimale des personnes aînées dans le laboratoire vivant MOSAIC pour, avec et par les personnes aînées de Chaudière-Appalaches. Elle participe également activement à la réalisation des travaux entourant l’une des thématiques, soit la préparation de la fin de vie en milieu rural. En parallèle, elle développe son propre programme de recherche. Grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada, elle tient des cafés scientifiques en lien avec la planification préalable des soins de fin de vie. Ces évènements ont lieu en milieu rural et s’adressent aux citoyen.nes. Pour promouvoir ces cafés, elle s’associe avec des organismes actifs dans le milieu et dont la mission touche la promotion des droits (ex : Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et pré-retraites) ou le développement de communautés inclusives (comité Municipalité amies des aînées). Grâce à un financement du Centre intégré de santé et de services sociaux de Chaudière-Appalaches, elle mène un projet explorant l’effet du milieu rural sur les expériences des personnes proches aidantes ayant accompagné une personne en fin de vie et sur les trajectoires de fin de vie. Elle mène ce projet en collaboration avec des organismes locaux actifs dans le comté de Lotbinière, soit Présence Lotbinière et le Regroupement des personnes aidantes de Lotbinière. Finalement, elle est co-chercheure sur un projet pancanadien financé par Excellence en santé Canada qui vise l’accès équitable aux soins palliatifs pour les personnes itinérantes ou à logements précaires. 

Maryse Proulx
Étudiante à la maîtrise en éducation (UQAR) et titulaire d’un baccalauréat en travail social de l’Université Laval (2005), Maryse Proulx est professionnelle de recherche dans l’équipe de Marie-Hélène Morin depuis 2017. Elle possède une expérience clinique, à titre de travailleuse sociale, acquise principalement dans le milieu hospitalier du réseau de la santé et des services sociaux.


Claudia Lafond
Claudia est travailleuse sociale dans le réseau de la santé et des services sociaux depuis 2018. Elle détient une expérience clinique auprès des jeunes et des familles en situation de vulnérabilité. Dans le cadre de sa maîtrise en travail social obtenu à l’Université Laval en 2018, elle a mis sur pied une intervention de groupe visant à soutenir les hommes dont la conjointe était atteinte d’un cancer du sein localisé. Elle est actuellement impliquée dans le projet  » Réadaptation et cancer du sein : mieux comprendre les besoins, les attentes et les expériences des femmes ayant subi une mastectomie » en collaboration avec l’UQTR.


Tamari Langlais
Tamari_Langlais@uqar.ca
Titulaire d’une maîtrise en sciences humaines appliquées de l’Université Concordia et d’un baccalauréat en bio-agronomie de l’Université Laval, Tamari Langlais s’est jointe à la Chaire CIRUSSS et au Centre de recherche du CISSS de Chaudière-Appalaches en 2022 en tant que professionnelle de recherche. Ses intérêts actuels portent sur l’impact des changements climatiques et d’autres problématiques environnementales sur le bien-être des populations rurales, ainsi que sur tout ce qui peut favoriser leur résilience. Cet intérêt s’inscrit dans la continuité de ses années d’expérience en lien avec le développement des capacités des organisations agricoles en Afrique et en Amérique latine.


Nancie Allaire
Nancie_Allaire@uqar.ca
Titulaire d’une maîtrise en sciences géographiques avec mémoire de recherche obtenue à l’Université Laval, Nancie Allaire a eu le privilège d’être étudiante-chercheure au Centre d’études nordiques. Elle détient une expertise en développement des services de proximité de soins de santé en milieu rural. Elle a d’ailleurs participé à une Mission d’études canadiennes au Japon en 2008 pour étudier leur modèle de coopérative et ainsi bâtir le modèle de la Coopérative de santé en Robert-Cliche. Elle s’est jointe à la Chaire CIRUSSS à titre de professionnelle de recherche en 2022 et coordonne le laboratoire vivant MOSAIC


Alice Morard
Avec en poche une maitrise en sciences de la Terre, profil avec mémoire de recherche, obtenue à l’Université du Québec à Montréal en 2018, Alice est une experte en hydrogéochimie. En 2022, elle rejoint l’équipe du CIRUSSS pour le projet O’SALIS, en collaboration avec l’institut des sciences de la mer basé à Rimouski.


Marylène Dugas
Marylene_Dugas@uqar.ca
Titulaire d’un doctorat en anthropologie médicale de l’Université de Montréal ainsi que de formations postdoctorales en bioéthique et en transfert de connaissance, elle a œuvré en tant que consultante de recherche en santé au Canada ainsi qu’au sein d’ONG et centres de recherche (IFRC/Croix-Rouge, UNICEF, IRD) dans divers pays d’Afrique et d’Asie du Sud-Est.


Maude Lessard
Maude_Lessard@uqar.ca
Étudiante à la maîtrise en gestion des personnes en milieu de travail, concentration santé au travail (UQAR) et titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires (UQAR. 2021), Maude Lessard est coordonnatrice administrative dans l’équipe de Lily Lessard depuis le printemps 2023. Elle possède une expérience en gestion des ressources humaines et en gestion de la santé et de la sécurité au travail. Elle est également co-fondatrice de l’organisme Réso SST et du balado Les risques du métier, en collaboration avec l’UQAR, dont la mission première


Alicia Buyse
Alicia est une finissante au doctorat en sciences de l’administration (management) à l’Université Laval. Elle est titulaire d’une maîtrise scientifique en management avec mémoire aussi à l’Université Laval et elle détient un baccalauréat en tant qu’ingénieure de gestion à l’Université Catholique de Louvain-Mons en Belgique. Elle a enseigné deux cours de MBA à l’Université Laval: un sur le diagnostic et la conduite du changement organisationnel et un autre sur la consultation dans les organisations. Ses expériences et ses intérêts portent sur l’innovation managériale, le changement organisationnel, le secteur public, le réseau de la santé et des services sociaux et les collaborations intersectorielles. Elle s’est jointe à la chaire CIRUSSS en avril 2024 à titre de coordinatrice et agente de recherche du Laboratoire vivant MOSAIC.


Mélanie Martineau
Mélanie possède un baccalauréat multidisciplinaire en sciences composé de 3 disciplines, soit les biotechnologies, la qualité des aliments et la gestion des ressources humaines en plus de sa formation collégiale en technologie de la transformation des aliments. Elle complète également un certificat en gestion de projets. Mélanie a évolué pendant plus de 20 ans à la faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval, où elle fut responsable de l’usine pilote pendant 8 ans. Elle y a acquis des compétences en technologie des procédés, en contrôle de la qualité, en gestion et en pédagogie.  Son expertise en planification de projets et en logistique font de Mélanie la personne idéale pour se joindre à l’équipe du projet Mon eau, mon puits, ma santé.  


Dominique Brière
Dominique Brière est travailleuse sociale. Elle est titulaire d’un baccalauréat en travail social de l’Université Laval et d’une maîtrise en Pratique de recherche et Action publique de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS). Elle cumule différentes expériences de travail dans le réseau de la santé et des services sociaux ainsi que dans la fonction publique québécoise, dont une grande partie en lien avec la clientèle jeunesse/famille. C’est son intérêt pour l’avancement des connaissances et son désir d’allier la pratique et la recherche qui l’ont amené à se joindre à l’équipe de la Chaire CIRUSSS. Elle rejoint la Chaire à titre d’agente de recherche notamment pour un projet de recherche intégrée avec le CISSSCA qui porte sur l’état de la pratique de partenariat avec les personnes proches aidantes à la liaison hospitalière. 

Sara Gosselin
Détentrice d’une technique en travail social du Cégep de Sherbrooke (2017) et d’un baccalauréat en travail social de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) (2019), Sara est actuellement en voie de terminer sa maîtrise en travail social (profil mémoire) à l’UQAR. Elle a travaillé dans les dernières années auprès d’enfants et de familles en situation de vulnérabilité, plus spécifiquement en centre de pédiatrie sociale. Passionnée par la complexité humaine et animée par le désir de collaborer à des processus de recherche, Sara fait maintenant partie de l’équipe de la Chaire, à titre d’auxiliaire de recherche.


Isabelle Harnois
Étudiante au baccalauréat en travail social à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et technicienne en travail social (Cégep du Vieux-Montréal), Isabelle est animée par le changement social et voit dans le processus de recherche une occasion d’impliquer les personnes concernées afin que leurs voix soient entendues. Isabelle a débuté son travail à la Chaire CIRUSSS dans un contexte de stage (été 2021) où elle a effectué des entrevues auprès des personnes proches aidantes pour la recherche « Prendre soin des proches aidant-e-s en temps de COVID-19 : la réalité des proches aidant-e-s qui soutiennent des personnes présentant un trouble de santé mentale (TSM) ou un trouble du spectre de l’autisme (TSA) en milieu rural ». À travers son implication dans divers projets de recherche tel que Virage, elle est responsable de la page Facebook CIRUSSS et produit l’infolettre en collaboration avec l’équipe de la chaire.

Julie Coulombe
Paire aidante famille pour la Société québécoise de la schizophrénie et des psychoses apparentés depuis 2020, Julie possède un savoir expérientiel comme proche aidante et accompagnatrice pour de nombreuses familles qui l’ont amené à expérimenter le réseau du système de soins de santé de la grande région de Montréal, en milieu hospitalier pédopsychiatrique et psychiatrique. Elle est impliquée dans diverses sphères et projets de paire aidance famille, son expérience terrain lui permettant d’avoir une bonne compréhension du contexte dans lequel s’inscrivent les problématiques dans le domaine de la santé et des services sociaux. Julie travaille également pour la Banque Nationale depuis 2005 et s’implique dans le programme de pair aidant en entreprise. Elle est diplômée de l’Université de Montréal du microprogramme de 1er cycle en santé mentale : mentor pour pairs aidants. Elle s’est jointe à l’équipe de la Chaire en 2021 comme citoyenne chercheuse.


Mary Anne Levasseur
Diplômée à la maîtrise aux études théologiques de l’Université Concordia, Mary Anne Levasseur agit comme citoyenne-patiente partenaire dans divers projets de recherche axés sur les aidants familles et les patients partenaires au Canada.  Elle a également coétabli, dirigé et est toujours impliquée au Conseil des Familles et Aidants ACCESS Esprits Ouverts (AFA) au sein d’ACCESS Esprits ouverts (ACCESS EO), un réseau national de recherche et d’évaluation sur les services de santé mentale jeunesse au Canada. Mary Anne possède une vaste expérience de travail de soutien par les pairs auprès des familles et des aidants, notamment comme facilitatrice de groupes de soutien au programme de prévention et d’intervention précoce en psychose à l’institut Universitaire en Santé Mentale Douglas (PEPP Montréal). De plus, elle participe à divers comités consultatifs ainsi qu’à des projets de recherches axés sur la famille. En faisant part de son expérience, en communiquant ses connaissances et en accompagnant des familles dans le labyrinthe des systèmes de santé mentale, Mary Anne souhaite contribuer au soutien des jeunes et à l’engagement des proches dans les services et la recherche en santé mentale. Elle s’est jointe à l’équipe de la Chaire CIRUSSS en 2021 comme citoyenne chercheuse.

Axes et projets de recherche

ARICA : Améliorer la réponse aux besoins psychosociaux des individus et communautés touchés par des aléas climatiques dans les régions de l’Est-du-Québec

Objectif

Ce projet vise à améliorer la réponse du système de soins en prévention et en atténuation des impacts psychosociaux des sinistres causés par des aléas naturels climatiques de type météorologiques ou géographiques pour les individus et les communautés en contextes ruraux. 

*Ce projet a été réalisée antérieurement au CIRUSSS. La chaire soutient toutefois les activités de diffusion.

Cochercheuses principales

Lily Lessard et Geneviève Brisson

Chercheurs et collaborateurs

Mathieu Philibert (UQAM), Nathalie Lewis(UQAR), Pierre-Paul Malenfant (CISSS BSL), Lise Laplante (INSPQ), Emmanuelle Bouchard-Bastien (INSPQ) et Audrey Lafond (UQAR)

Partenaires

Direction santé publique (DSPu) et direction générale

Territoire

Est-du-Québec

Financement

Gouvernement du Québec avec le partenariat scientifique d’Ouranos et de l’INSPQ (2013-2020)

Statut du projet

Terminé (stade de diffusion)

Publications, outils et communications

CASSSIOPEE : Évaluation et soutien de la capacité des systèmes de santé à protéger la santé mentale et le bien-être psychosocial des individus et populations exposés aux événements climatiques extrêmes (ÉCE) en contexte de changement climatique

Objectif

Ce projet vise à évaluer et soutenir la capacité des systèmes de santé des régions des Centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) participants de prévenir les impacts négatifs sur la santé, la santé mentale et le bien-être psychosocial des populations exposées aux ÉCE. Ils font référence, dans ce projet, aux inondations et aux vagues de chaleurs accablantes.

Chercheuse principale

Lily Lessard

Chercheurs et collaborateurs

Nathalie Barrette (UL), Mathieu Philibert (UQAM), Julie Lambert (DSPu CISSS CA), Guylaine Morrier (DSPu CISSS BSL) et autres

Partenaires

Direction santé publique (DSPu)

Territoire

Chaudière-Appalaches / Bas-Saint-Laurent

Financement

Santé Canada (2019-2022)

Statut du projet

En cours (analyse des données)

Publications, outils et communications

Équipe CASSSIOPEE. Faits saillants – Volet 1 :  Études des besoins, défis et forces en Chaudière-Appalaches lors de grandes INONDATIONS. Feuillet synthèse.

Équipe CASSSIOPEE. Fact sheet – PART 1: Documentation – Study of Needs, Challenges and Strengths in the Chaudière–Appalaches Region during Major FLOODS. Fact Sheet.

Équipe CASSSIOPEE. Faits saillants : VAGUES DE CHALEUR : Études des impacts psychosociaux, besoins et mesure d’adaptation en Chaudières Appalaches. Feuillet synthèse.

O-Puits : Mon eau, ma santé, mon puit

Objectif

Ce projet vise à documenter le développement, l’implantation et l’évaluation d’une stratégie durable et intersectorielle encourageant les meilleures pratiques d’entretien à l’attention des propriétaires des puits d’eau potable privés en Chaudière-Appalaches.

Cochercheuses principales

Lily Lessard et Jenny Lessard

Chercheurs et collaborateurs

Julie Lambert (DSPu CISSS CA), Dominique Beaulieu(UQAR), Véronique Brochu et Ghassen Ibrahim(COBARIC) et autres (TREMCA, OBV, organisateurs communautaires CISSS)

Partenaires

Direction santé publique (DSPu)

Territoire

Chaudière-Appalaches

Financement

Ministère de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques + Fondation de l’Hôtel-Dieu de Lévis en 2018-2019 (initiative structurante)

Statut du projet

En cours (analyse des données)

Publications, outils et communications

OSIRISQ: Modélisation Open Source de l’Inondation et des RISques associés à Québec. Cartographie des zones inondables du fleuve Saint- Laurent et gestion cohérente en matière d’aménagement du territoire et de sécurité, santé et bien-être des individus, des populations et des communautés face aux aléas inondations

Objectif

Ce projet vise à cartographier les zones inondables du fleuve Saint-Laurent dans l’optique d’une gestion cohérente en matière d’aménagement du territoire et de sécurité, santé et bien-être des individus, des populations et des communautés face à l’aléa inondation.

Chercheurs et collaborateurs

Damien Pham Van Bang, chercheur principal (INRS)-responsable volet 2 (hydrodynamique et modèle OSIRISQ), Julie Simard (CMQ)-utilisatrice de connaissances principale, Sylvie Daniel (UL)-responsable volet 1 (Aménagement territoire et géomatique), Lily Lessard (UQAR-CIRUSSS) et Bernard Motulsky (UQAM)-coresponsables volet 3 (besoin population et communication du risque), Flore Hébert-Tangauy (UQAM)

Partenaires

Communauté métropolitaine de Québec

Territoire

Chaudière-Appalaches / Capitale-Nationale

Financement

Programme Odyssée Réseau Québec Maritime (2020-2022)

Statut du projet

En cours (collecte de données)

Publications, outils et communications

À venir.

Utilisation des services de santé et des médicaments d’ordonnance (SMACS) : indicateurs des impacts sur la santé mentale des populations touchées par des désastres causés par des aléas climatiques extrêmes (ACE)

Objectif

En collaboration avec une équipe de l’INSPQ , ce projet vise à explorer d’autres types d’indicateurs mesurables à partir des données du SISMACQ, dans le but de mesurer les impacts des désastres associés aux ACE sur l’utilisation globale des services médicaux de première ligne et d’urgence, sur l’utilisation de ces services pour des raisons de santé mentale, sur l’utilisation des médicaments d’ordonnance liés aux TMC ou à leurs symptômes (ex.: anxiolytiques, antidépresseurs) et enfin, d’identifier des variations en fonction des caractéristiques individuelles, géographiques ou du désastre (type, ampleur).

Chercheuse principale

Lily Lessard

Chercheurs et collaborateurs

Magalie Canuel, cochercheuse (INSPQ), Geneviève Brisson, cochercheuse (UQAR), Arnaud Duhoux, cochercheur (UdMtl), Isabelle Doré cochercheuse (UdeMtl) et Stéphane Turcotte cochercheur (CR-CISSSCA)

Partenaires

Direction de la recherche et de l’enseignement

Territoire

Chaudière-Appalaches

Financement

Réseau de recherche en santé des populations du Québec 2018

Statut du projet

En cours (analyse des données)

Publications, outils et communications

À venir.

ICII : Impacts sur la santé mentale des inondations de la rivière Chaudière en Beauce dans un contexte de changement climatique et réponses pour les réduire: une étude exploratoire

Objectif

Ce projet vise à améliorer la réponse du système de soins en prévention et en atténuation des impacts psychosociaux des sinistres causés par des aléas naturels climatiques de type météorologiques ou géographiques pour les individus et les communautés en contextes ruraux. 

Chercheuses principales

Lily Lessard et Geneviève Brisson

Chercheurs et collaborateurs

Typhaine Leclerc-Sobry (coordonnatrice, UQAR), Emmanuelle Bouchard-Bastien (INSPQ), Guillaume Foldes-Busque (ULAVAL) et Richard Fleet (CISSSCA)

Partenaires

CISSS-Chaudière-Appalaches et Fondation de l’Hôtel-Dieu-de-Lévis Projet Pilote

Territoire

Est-du-Québec

Financement

Fondation de l’Hôtel-Dieu de Lévis (2012-2018)

Statut du projet

Terminé (stade de diffusion)

Publications, outils et communications

Rapport de recherche

Objectif

Ce projet vise le développement d’outils d’évaluation et d’intervention et leur application à des groupes vulnérables, dont les personnes ayant des problèmes de santé mentale ou atteintes d’un trouble du spectre de l’autisme et leurs proches aidants. 

Chercheuses principales

Lily Lessard et Marie-Hélène Morin

Cochercheurs et collaborateurs 

Marie-Hélène Poulin (UQAT), Geneviève Brisson (UQAR), Suzie Bond (TELUQ) Jean-Daniel Carrier (USherb), Laurence Lépine (Croix-Rouge), Philippe Roy (USherb) et Emmanuelle Bédard (UQAR)

Partenaires

Direction santé publique (DSPu) et DREU

Territoire

Chaudière-Appalaches / Bas-Saint-Laurent 

Financement

Ministère de l’Économie et de l’Innovation et CIRUSSS (2020-2021)

Statut du projet

En cours (analyse des données)

Publications, outils et communications

Objectif

Ce projet vise notamment à documenter une initiative de la direction de la santé publique (DSPu) de la région de Chaudière-Appalaches (Québec) et ces partenaires visant le développement des résiliences communautaires sur son territoire dans le contexte de la présente pandémie et d’autres crises sanitaires potentielles.

Chercheuses principales

Lily Lessard, (CIRUSSS-UQAR), Odette Laplante (CISSS-CA) et Édith St-Hilaire (CISSS-CA)

Cochercheurs

Marie-Hélène Morin (UQAR), Edith St-Hilaire (CISSS CA), Odette Laplante (CISSS CA), Emmanuelle Bedard (UQAR), Stéphane Turcotte (CISSS CA), Johanne St-Charles (UQAM), Annie Leblanc (ULAVAL), Gregory Moullec (UdM), Dominic Simard (UQAR), Audrey Lafond (UQAR), Joanie Turmel (UQAR) et Typhaine Leclerc (UQAR)

Partenaires

Direction santé publique (DSPu) et DREU

Territoire

Chaudière-Appalaches / Bas-Saint-Laurent

Financement

CIRUSSS

Statut du projet

En démarrage

Publications, outils et communications

À venir.

Objectif

Le projet vise à mieux connaître comment s’actualisent, en contexte de Covid-19, l’aide et le soutien offerts aux proches aidants qui prennent soin d’une personne présentant un TSM ou un TSA en milieu rural.

Chercheuse principale

Marie-Hélène Morin

Cochercheuses

Marie-Hélène Poulin (UQAT), Christiane Bergeron-Leclerc (UQAC), Lily Lessard (UQAR), Anne-Sophie Bergeron, Maryse Proulx et Marie-Soleil Boucher, professionnelles de recherche (UQAR), Isabelle Harnois, étudiante 1ère cycle (UQAR) et Sara Gosselin, étudiante 2e cycle (UQAR)

Territoire

Chaudière-Appalaches / Bas-Saint-Laurent / Abitibi-Témiscamingue / Saguenay Lac-Saint-Jean

Financement

MEI, RISUQ et FIR-UQAR (2020-2021)

Statut du projet

En cours (analyse des données)

Publications, outils et communications

Présentation de résultats préliminaires atelier RISUQ – axe OSSS – 20 mai 2021

CONSULTEZ LES CINQ INFOGRAPHIES TIRÉES DE CETTE RECHERCHE :

Objectif

En collaboration avec une équipe de l’UQO, ce projet vise à développer une programmation de recherche ayant pour but d’approfondir nos connaissances sur les pratiques centrées sur la famille en contexte de santé mentale adulte au Québec et de proposer un cadre destiné à soutenir l’adoption de telles pratiques.

Chercheuses et collaborateurs       

Chercheuse principale

Geneviève Piché (UQO), cochercheuses : Aude Villatte (UQO), Marie-Ève Clément (UQO) et Marie-Hélène Morin (UQAR)

Collaborateurs

Andrea Reupert, Catherine Cyr-Villeneuve, Darryl Maybery, Line Leblanc, Louise Fournier, René Cloutier et Stéphane Richard-Devantoy.

Partenaires

Direction du programme santé mentale et dépendances (DPSMD)

Territoire

Bas-Saint-Laurent / Chaudière-Appalaches / Capitale Nationale

Financement

CRSH (2019-2021)

Statut du projet

En cours (collecte de données)

Publications, outils et communications

À venir

Objectif

Ce projet aspire à développer un guide clinique de bonnes pratiques pour soutenir l’implication des familles et des proches des personnes vivant un problème de santé mentale dans le processus de rétablissement de ces dernières.

Chercheur principal/cochercheurs :

Marie-Hélène Morin, cochercheuse (UQAR); André Savoie, usager partenaire; Diane Harvey (AQRP); Ève Côté, (APUR); Marie-Dominique Rouleau, proche partenaire; Marie-Ève Leblond (Cercle Polaire); Marie-France Allen (CIUSSS de la Capitale-Nationale); Michèle Clément, (CERSSPL-UL, CIUSSS de la Capitale-Nationale); Pascale Lavoie, (CIUSSS de la Capitale-Nationale); René Cloutier, (RAC); Rodrigue Côté (CIUSSS de la Capitale-Nationale); Sandrine Rousseau (AQRP); Suzanne Péloquin, proche partenaire et Annie Levesque (CIUSSS de la Capitale-Nationale) 

Partenaires

Direction du programme santé mentale et dépendances (DPSMD)

Territoire

Bas-Saint-Laurent / Chaudière-Appalaches / Capitale Nationale

Financement

CIUSSS Capitale Nationale, MSSS (2019-2022)

Statut du projet

En cours (rédaction du guide d’entrevue et implantation provinciale à venir)

Publications, outils et communications

À venir.

Objectif

Le projet global de recherche-action partenariale vise à permettre aux personnes aînées de vivre le plus longtemps à domicile et dans leur communauté par le biais de l’innovation et de l’adaptation de l’offre de services intersectorielle au Bas-Saint-Laurent.

Chercheuse principale

Marie-Hélène Morin

Comité directeur

  • Université du Québec à Rimouski (UQAR) : Guillaume Werstink, agent de recherche, d’études et de gestion, Bureau du doyen à la recherche (BDR);
  • Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS BSL), programme de soutien à l’autonomie des personnes âgées (SAPA) : Frédéric Gagnon, directeur et Karen Smith, agente de planification, de programmation et de recherche (APP-R)  ;
  • Bureau Harold LeBel, Harold LeBel, Député indépendant de Rimouski, Annie Saint-Laurent, attachée politique;
  • Table de concertation des personnes aînées du Bas-Saint-Laurent (TCABSL) : Cécile Corbin, présidente et Normand Pelletier, administrateur ;
  • Collectif régional de développement (CRDBSL) : Mélodie Mondor, directrice, Annie Lachance et Hirondelle Varady-Szabo, agentes de recherche innovation sociale.

Comité de recherche

Nicole Ouellet (UQAR), Emmanuelle Jean (Consortium InterS4), Karen Smith (CISSS BSL), Annie Lachance (CRDBSL) et Hirondelle Varady-Szabo (CRDBSL)

Partenaire

Direction du programme SAPA

Territoire

Bas-Saint-Laurent

Financement

Fondation Mirella et Lino Saputo, contribution provenant de l’enveloppe discrétionnaire de plusieurs élus : Mme Marguerite Blais, M. Harold LeBel et M. Pascal Bérubé et CISSS BSL

Statut du projet

En évaluation

Publications, outils et communications

À venir. 

Objectif 

Ce projet s’inscrit dans l’initiative bas-laurentienne « Bien vieillir chez soi » qui aspire à permettre aux personnes aînées de vivre à domicile et dans leur communauté par l’innovation et l’adaptation de l’offre de services intersectorielles au Bas-Saint-Laurent. Le but de la recherche-action est de faciliter la trajectoire de services en réponse aux besoins de répit des personnes âgées et des personnes proches aidantes sur le territoire du Bas-Saint-Laurent. La recherche-action porte une attention particulière au risque d’épuisement et aux besoins des personnes proches aidantes. 

Comité de pilotage 

Marie-Hélène Morin et Nicole Ouellet (UQAR), Cindy Alain (Société d’Alzheimer du Bas-Saint-Laurent), Dany Dionne (Centre d’action bénévole de La Mitis), Julie Dubé et Marie-Josée Fillion (CISSS BSL), Kim Fredricks (L’Appui), Jean-Nicolas Marchand (La Jolie-Maison – Maison Gilles-Carle), Micheline Savoie (experte de vécu et personne proche aidante) et Annie Lachance agente de recherche en innovation sociale CRDBSL.

Territoire 

Bas-Saint-Laurent

Financement 

Fondation Mirella et Lino Saputo 

Statut du projet 

En démarrage (phase diagnostique)

Publications, outils et communications 

À venir

Objectif

L’étude vise à mieux comprendre les expériences positives de CIP dans les GMF de régions éloignées des centres urbains afin de s’en inspirer dans le cadre de la formation théorique et pratique des futurs médecins, IPSPL et infirmières cliniciennes à l’UQAR et à l’Université Laval dans l’Est-du-Québec.  

Chercheur principal

Lily Lessard et Dave Bergeron

Cochercheurs et collaborateurs 

Dominique Perron (coordonnateur de la recherche), Dominic Simard (UQAR), Jean Maziade (UL), Émilie Paul-Savoie (USherb.),  Olivier Groulx (GMF Rimouski),  Deyna L’Heureux (CISSSBSL), Jacinthe Dufour (CISSSCA), Marie-Hélène Morin (CIRUSSS-UQAR)

Partenaires

MSSS, Direction santé publique (DSPu) et DREU

Territoire

Chaudière-Appalaches / Bas-Saint-Laurent / Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine / Côte-Nord / Charlevoix / Portneuf

Financement

MEES (dans le cadre du comité sur la collaboration interprofessionnelle et la décentralisation du doctorat en médecine de l’Université Laval)

Statut du projet

En cours (analyse des données)

Publications, outils et communications

À venir. 

Objectif

Ce projet vise l’amélioration des soins offerts aux personnes qui présentent des conditions nécessitant une prise en charge médicale rapide des services d’urgence ou soins spécialisés et qui vivent dans les secteurs éloignés des urgences des centres hospitaliers de la région de Chaudière-Appalaches. Ces améliorations visent principalement les équipes infirmières des services courants des points de services éloignés et leurs partenaires.

Chercheuses principales

Lily Lessard et Liliane Bernier (CISSS-CA)

Cochercheurs et collaborateurs 

François Bégin (CISSS CA), Alain Tanguay (UCCSPU), Suzanne Roy (CISSS CA), Denise Hébert (CISSS CA), Christine Morin (CISSS CA), Mathieu Pelletier (CISSS CA) et Camille Bisson-Cauchon (UQAR)

Partenaires

Direction santé publique (DSPu) et DREU

Territoire

Chaudière-Appalaches

Financement

Fondation de l’Hôtel-Dieu de Lévis

Statut du projet

En démarrage

Publications, outils et communications

Objectif

Ce projet vise à : 1) mieux connaître comment a été initiée la demande d’aide lors du PEP, 2) identifier les services de proximité et spécialisés utilisés par les jeunes adultes et leurs proches aidants, 3) documenter les principaux obstacles rencontrés sur le plan du partage d’information et de la confidentialité et 4) dégager l’impact du recours aux services sur la diminution de la détresse et du besoin de soutien des familles.

Chercheuse principale

Marie-Hélène Morin

Cochercheurs et collaborateurs 

Maryse Proulx et Anne-Sophie Bergeron, professionnelles de recherche (UQAR), Angélina Lacroix, étudiante de 2e cycle (UdeS)

Partenaires

Direction du programme santé mentale et dépendances (DPSMD)

Territoire

Bas-Saint-Laurent / Capitale-Nationale / Mauricie–Centre-du-Québec

Financement

FRQ-SC (2017-2021)

Statut du projet

Diffusion des résultats : préparation d’un article en cours et d’infographies

Publications, outils et communications

À venir.

Objectif

Ce projet vise à identifier les enjeux liés au partage d’informations et au respect de la confidentialité à partir de la perspective croisée des proches aidants, des professionnels et des utilisateurs de services en santé mentale.

Chercheuse principale

Marie-Hélène Morin

Cochercheurs et collaborateurs 

Marc-André Roy (UL), Sophie Éthier (UL), Michel Gilbert (Centre national d’excellence en santé mentale, CNESM), Michel T. Giroux (Institut de consultation et de recherche en éthique et en droit, (ICRED), Mary Anne Levasseur, Diane Riendeau et Sylvie Boileau (IUSMM, Douglas), Luc Vigneault (UL), Julie Bouchard (CIUSSS-CN), Maryse Proulx, Anne-Sophie Bergeron et Audrey Lafond, professionnelles de recherche (UQAR) et Annik Moreau, étudiante de 3e cycle (UL)

Partenaires

Direction du programme santé mentale et dépendances (DPSMD)

Territoire

Bas-Saint-Laurent / Capitale Nationale

Financement

CRSH (2019-2022)

Statut du projet

En cours (phase 1 – analyse des données) et phase 2 – volet personnes utilisatrices de services en santé mentale (entrevues de groupes) (automne 2021);

Publications, outils et communications

  • Morin, M.-H., Bergeron, A.-S., Proulx, M. et Moreau, A. (2021). « Enjeux liés au partage d’informations et au respect de la confidentialité entre des proches aidants, des personnes utilisatrices de services et des professionnels en santé mentale ». 88e congrès annuel de l’ACFAS, Colloque 437- L’expérience à l’épreuve des politiques : regards croisés sur la proche aidance en 2021, 6 mai 2021.

Objectif

Ce projet a pour objectif d’examiner la perception de qualité de vie et la résilience de la population âgée de 18 ans et plus vivant dans différentes régions du Québec pendant et suivant la crise sociosanitaire liée à la pandémie de la COVID-19. Aussi, il vise à déterminer l’association entre des caractéristiques individuelles (sociodémographiques et de santé) et la perception de qualité de vie. Ce projet permettra également de vérifier si la capacité de résilience est associée à la perception de qualité de vie.

Investigatrices principales

  • Véronique Babineau, MD MSc, Codirectrice médicale recherche, CIUSSS MCQ, Trois-Rivières, Québec
  • Julie Houle inf PhD, Directrice scientifique, CIUSSS MCQ et UQTR, Trois-Rivières, Québec
  • Cathy Vaillancourt PhD, Directrice du RISUQ, INRS, Laval, Québec

Co-chercheurs

  • Marie-Hélène Morin, PhD, Directrice adjointe du RISUQ, Sciences sociales, UQAR, Rimouski, Québec et cotitulaire de la chaire interdisciplinaire
  • Marie-Claude Lehoux, M.Sc, Agente de planification, programmation et recherche, CIUSSS MCQ, Trois-Rivières, Québec
  • Martin Descarreaux, PhD, Directeur adjoint du RISUQ, Sciences cliniques, UQTR, Trois-Rivières, Québec sur la santé et les services sociaux pour les populations rurales
  • Benoit Barbeau PhD, Directeur adjoint du RISUQ, Sciences fondamentales/naturelles, UQAM, Montréal, Québe
  • – Jacinthe Leclerc PhD, Professeure en sciences infirmières, UQTR, Trois-Rivières, Québec

Collaboratrices

  • Renée Proulx, PhD, Directrice administrative de l’enseignement universitaire, de la recherche et de l’innovation, CIUSSS MCQ, Trois-Rivières, Québec
  • Martin D’Amour, Directeur qualité, évaluation, performance et éthique, CIUSSS MCQ, Trois-Rivières, Québec
  • Louise Bourassa, Chef de service- Évolution des pratiques en santé publique, CIUSSS MCQ, Trois-Rivières, Québec
  • Lily Lessard, PhD, cotitulaire de la chaire interdisciplinaire sur la santé et les services sociaux pour les populations rurales, professeure en sciences infirmières, UQAR, campus Lévis, Québec
  • (usager-partenaire nommé par la DQEPE à venir)

Territoire

Mauricie et Centre-du-Québec, Gaspésie, Bas-Saint-Laurent, Chaudière-Appalaches et Abitibi-Témiscamingue

Financement

Fonds de développement académique du réseau de l’Université du Québec (FODAR) au volet Communauté réseau-Actions ponctuelles 

Statut du projet

En cours (collecte de données)

Publications, outils et communications

À venir. 

Objectif

Découlant du vécu expérientiel et personnel d’une citoyenne, ce projet basé sur les principes des sciences participative s’intéresse au rôle des pairs aidants familles (PAF) dans les services en santé mentale au Québec et au soutien qu’ils peuvent apporter aux personnes proches aidantes.

Équipe de recherche

Duo composé de Julie Coulombe (citoyenne-chercheuse) et Marie-Hélène Morin (UQAR) et Mary Anne Levasseur, consultante et PAF

Subvention

Fonds de recherche du Québec, Programme Engagement – Phase de démarrage (2022)

Territoire

Des pair.es aidant.es famille, familles et intervenant.es au Québec seront invité.es à participer

Statut du projet

En cours (collecte de données)

Publications, outils et communications

  • Morin, M.-H et Coulombe, J. (2022, 19 avril), Prendre soin des personnes proches aidantes (PPA) : les pairs aidants familles (PAF) comme source de soutien novatrice [communication orale]. Conférences populaires en santé, En virtuel.
  • Coulombe, J. (2022, 9 avril). La pair-aidance famille en santé mentale [communication orale]. TSO6012 : Santé mentale et pratiques sociales, UQAC, En virtuel.
    Morin, M.-H. et Coulombe, J. (2022, 25 mars). La recherche sociale en partenariat avec les patients: du savoir expérientiel à la coconstruction des savoirs scientifiques [communication orale]. TSO6003-MS : Méthodologie de la recherche en travail social, En virtuel.
  • Morin, M.-H. et Coulombe, J. (2022, 20 mars). La recherche sociale en partenariat avec les patients: du savoir expérientiel à la coconstruction des savoirs scientifiques [communication orale]. TSO6003-M1 : Méthodologie de la recherche en travail social, En virtuel.

Objectif

Ce projet vise le développement, l’implantation et l’évaluation d’un modèle de continuum de soutien au bien-être des autistes adultes par les services en santé mentale et de dépendance, ainsi que des services nécessaires pour y répondre. Ce projet s’intéressera autant aux milieux de la réadaptation, de la santé et de services sociaux, du communautaire qu’aux adultes autistes et leurs proches afin d’améliorer la collaboration entre ces acteurs.

Chercheuses principales

Marie-Hélène Poulin (UQAT), chercheure principale et Marie-Hélène Morin (UQAR), cochercheure

Collaborateurs

Lucila Guerrero (Aut’Créatifs), Suzie McKinnon (CIUSSS SLSJ), Germain Couture (CIUSSS MCQ), Nadia L’Espérance (CIUSSS MCQ), Grace Iarocci (Simon Fraser Université), Alena Valderrama (UdeM), Mélanie Couture (U. Sherbrooke), Marjorie Désormeaux-Moreau (U. Sherbrooke), Cécile Bardon (UQAM), Isabelle Courcy (UQAM), Stéphanie Fecteau (UQO), Claude Normand (UQO), Michel Perreault (McGill) et Jonathan Weiss (Université York)

Territoire

Ensemble du Québec

Financement

CRSH Subvention de partenariat

Statut du projet

En démarrage

Publications, outils et communications

À venir

Recrutement en cours

Cette étude vise à documenter les pratiques de soutien des intervenants et des professionnels québécois qui œuvrent en santé mentale adulte (ex., médecins, psychiatres, infirmiers, psychologues,  travailleurs sociaux, psychoéducateurs et éducateurs spécialisés).

Pour plus de détails et pour participer à l’étude, cliquez ici

Étude sur la surveillance de la qualité de vie et de la résilience pour mieux adapter les soins et services en regard des besoins en phase de rétablissement : étude longitudinale (Étude VIRAGE) 

Pour plus de détails et pour participer à l’étude, cliquez ici

Publications et boîte à outils

Cette boîte à outils présente les meilleures approches communautaires et cliniques pour prévenir ou réduire les impacts sur la santé mentale des événements météorologiques extrêmes dans un contexte de changements climatiques. Reposant sur un modèle en étape, elle contient des informations, recommandations et ressources à l’attention des personnes et des familles, des représentants de la population, des répondants, bénévoles et acteurs des milieux communautaires et municipaux, des professionnels qui travaillent en promotion de la santé mentale et en prévention, des intervenants de la santé et des services sociaux en première ligne et dans les services spécialisés en santé mentale.

Cette nouvelle boîte à outils en ligne présente les meilleures approches communautaires et cliniques pour prévenir ou réduire les impacts sur la santé mentale dans le contexte de la pandémie liées à la COVID-19. Reposant sur un modèle en étape qui favorise l’intégration des approches, elle contient « des informations, recommandations et ressources à l’attention des personnes et des familles, des représentants de la population, des répondants, bénévoles et acteurs des milieux communautaires et municipaux, des professionnels qui travaillent en promotion de la santé mentale et en prévention, des intervenants de la santé et des services sociaux en première ligne et dans les services spécialisés en santé mentale. Il s’agit d’une adaptation de la trousse pour réduire les impacts psychosociaux des événements météorologiques extrêmes en contexte de changements climatiques.


Les approches familiales en intervention précoce : repères pour guider les interventions et soutenir les familles dans les programmes d’intervention pour premiers épisodes psychotiques (PPEP)

Marie-Hélène Morin, Anne-Sophie Bergeron, Mary Anne Levasseur, Srividya N. Iyer et Marc-André Roy


Adapter sa pratique à la réalité des changements climatiques

Épisode 4 | C’est dans l’ère

De quoi parle-t-on lorsqu’on fait référence aux changements climatiques? Quels impacts ceux-ci ont-ils sur notre santé? Et pourquoi les infirmières et infirmiers sont-ils concernés?

Rebecca Makonnen reçoit Lily Lessard

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