



Laurie Dezainde-Dubuc – Conseils automobile au féminin
Laurie Dezainde-Dubuc, experte en mécanique auto et bachelière marketing-entrepreneuriat de l’UQAR, lance Conseils automobile au féminin, une entreprise offrant des services de formation et de consultation dans le secteur automobile.Bachelière en marketing et en entrepreneuriat de l’UQAR par certificats cumulés (administration de services et marketing à l’UQAM puis entrepreneuriat au campus de Lévis de l’UQAR), Laurie Dezainde-Dubuc est bien outillée et fin prête pour faire le grand saut au printemps 2018 : faire rouler à pleine vitesse Conseils automobile au féminin.
De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’une entreprise de services spécialisée dans la formation et la consultation dans le secteur automobile. Bien que destiné en première ligne à un public féminin désireux de parfaire ses connaissances en mécanique automobile par des formations, Conseils automobile au féminin a aussi été mis sur pied pour ceux et celles à la recherche d’un avis indépendant et professionnel, que ce soit pour l’achat de pièces auto, en réparation ou pour l’achat d’un véhicule neuf ou usagé. Le but recherché ? En échange de quelques dollars, Laurie veut faire sauver à sa clientèle des centaines, voire des milliers de dollars. En prenant connaissance leurs besoins et de leur condition financière, elle est à même de les guider vers les choix les plus judicieux… et si on parlait plutôt d’un sage investissement ?
Cette jeune entrepreneure déboulonne ainsi le mythe voulant que la mécanique, c’est « une affaire de gars ». En effet, Laurie ne fait pas que « tripper sur les chars », elle est aussi une mécano aguerrie : elle détient une formation dans le domaine et cumule plus de dix ans d’expérience en mécanique générale et en service à la clientèle, ayant été à l’emploi de plusieurs concessionnaires automobiles et compagnies d’assurances automobiles.
Notons que Laurie a remporté plusieurs concours en entrepreneuriat avec sa startup Conseils automobile au féminin, étant lauréate de Face aux Dragons Lévis 2018 et lauréate du Défi OSEntreprendre 2018 volet Entrepreneuriat étudiant dans la catégorie projet individuel UQAR, échelle locale (Lévis) et régionale (Chaudière-Appalaches).
Et si Laurie se chargeait de la vente de votre ancien véhicule et magasinait votre prochain bolide, sur mesure pour les besoins de la famille et les limites de votre portefeuille ? C’est sans nul doute un fardeau dont voudrait se débarrasser bien des conducteurs ! Désormais basée en Outaouais, Laurie propose différents forfaits et offre ses services en ligne, donc à la portée de tous.
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Anthony Bisson et Alexandre Boucher-Doddridge - HerbiaEra
De gauche à droite : Alexandre Boucher-Doddridge et Anthony Bisson, le duo derrière HerbiaEra.À l’automne 2017, ces deux étudiants en 4e année au baccalauréat en génie des systèmes électromécaniques de l’UQAR ont une idée de génie : leur projet de fin d’étude portera sur la conception d’un nouvel appareil technologique, flairant une tendance mondiale vers l’agriculture urbaine. Cette idée a germé jusqu’à devenir un projet d’affaires viable : HerbiaEra.
De quoi s’agit-il? HerbiaEra est une startup développant un système de culture autonome et intelligente à domicile, qui permet de faire pousser des fines herbes, des pousses et des petits légumes. Son usage est ultra simple : il suffit de mettre de l'eau dans le réservoir, brancher l'appareil à une source d'alimentation électrique et suivre la pousse sur un téléphone intelligent. Les plantes auront tout ce dont elles ont besoin pour une saine croissance, les réglages de la lumière et des nutriments essentiels étant optimisés! Pouce vert ou pas, il s’agit de la solution idéale pour avoir des aliments frais sous la main à l’année, tout en faisant fi des contraintes d’espace!
Ingénieux, ambitieux, stratèges, pas étonnant que ces deux gaillards remportent plusieurs bourses et concours avec HerbiaEra au printemps 2018 :
- Lauréats d’une bourse Jinette-Côté 2018 de la Fondation de l’UQAR d’une valeur de 10 000$;
- Coup de cœur du public au Forum Innovation Ingénierie Informatique et Entrepreneuriat (Fi3E) 1ere édition, le 25 avril 2018, accompagné d’une bourse Entrepreneuriat UQAR d’une valeur de 500$;
- Lauréats UQAR du concours Forces & Avenir 2018 – Reconnaitre et promouvoir l’engagement étudiant, catégorie Projet - Entrepreneuriat, affaires et vie économique d’une valeur de 450$;
- Lauréats du 20e Défi OSEntreprendre, volet Création d’entreprise, catégorie Innovations technologique et technique, échelle locale et régionale (finalistes au provincial), totalisant 1500$.
Notons qu’Anthony faisait partie de la délégation de l’UQAR, grande gagnante catégorie Génie conseil à la Compétition canadienne d’ingénierie 2018 à Toronto (Source : Les grands honneurs pour l’UQAR à la Compétition canadienne d’ingénierie). Étant finissant, il est convoité par les firmes d’ici et d’ailleurs; or, l’âme entrepreneure du jeune Beauceron le fait plutôt pencher du côté d’HerbiaEra! Anthony a aussi été sélectionné pour participer au concours Savoir Affaires Beauce 2018, soit une semaine d’immersion entrepreneuriale, toutes dépenses payées, une initiative de l’Université du Québec.
En somme, quand l'ingénierie et la technologie, agrémentés d'une passion pour l'agronomie, font des petits, il en résulte une startup innovante! Suivez la progression d’HerbiaEra, il est à parier que son système se vendra comme des petits pains chauds une fois fin prêt à être lancé sur le marché!
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Shaun Boisclair - Le Garde-Manger d’Obélix
Shaun Boisclair (sur la photo) se lance en affaires avec son père Michel avec Le Garde-Manger d’Obélix INC., soit une ferme d’élevage de sangliers basée à Ste-Angèle-de-Mérici dans la MRC de la Mitis. (Crédit photo : Véronique Verret.)Finissant au certificat en administration au printemps 2018 et admis au baccalauréat en génie mécanique au campus de Rimouski de l’UQAR, Shaun Boisclair est l’un des lauréats des bourses Jinette-Côté 2018 de la Fondation de l’UQAR pour son projet d’affaires : Le Garde-Manger d’Obélix INC. Il s’agit d’une ferme d’élevage de sangliers basée à Ste-Angèle-de-Mérici dans la MRC de la Mitis, dont la viande est destinée aux restaurateurs et aux particuliers de l’Est du Québec.
Le Garde-Manger d’Obélix INC. fait alors largement les manchettes, étant aussi lauréat catégorie « Plan d’affaires » du Défi Dragon 2018 organisé par la Société de promotion économique de Rimouski - SOPER et lauréat du Défi OSEntreprendre 2018 volet Création d’entreprise catégorie Entreprise bioalimentaire à l’échelle locale (MRC Mitis)*.
Il faut savoir que ce projet d’affaires familial, porté par Shaun et son père Michel, est ambitieux : devenir l’un des plus importants producteurs de sangliers au Québec. Shaun a aussi de la suite dans les idées, avec les cinq phases de développement qu’il entrevoit, soit la production, la distribution, la transformation, l’autosuffisance, l’innovation. En effet, à plus long terme, il cible l’autosuffisance par production de grains pour le bétail et l’indépendance énergétique; pour l’étape de l’innovation, il prévoit faire la conception et la production d’équipement et de machinerie spécialisés pour ce type d’élevage. Disons qu’ici l’expression « avoir du génie » prend tout son sens!
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Émile Béland-Fournier - L’Octant - Microbrasserie
De gauche à droite : Hughes Turcotte et Émile Béland-Fournier (diplômé de l’UQAR), copropriétaires et fiers brasseurs de L’Octant – Microbrasserie, désirent produire des bières de haute qualité à Rimouski, distribuées au Bas-St-Laurent et en Gaspésie, puis partout au Québec. (Crédit photo : Société Radio-Canada/Simon Turcotte.)Alors à la maitrise en gestion de projets à l’UQAR, Émile Béland-Fournier rêve d’ouvrir sa microbrasserie et de « brasser » de grosses affaires! Bachelier en transformation alimentaire avec une belle feuille de route comme apprenti brasseur, Émile a le moyen de ses ambitions : produire 48 000 litres de bières par an, dans un premier temps! Voici qu’à l’hiver 2017, il soumet son ébauche de plan d’affaires et remporte l’une des bourses Jinette-Côté de la Fondation de l’UQAR, en soutien à sa startup L’Octant - Microbrasserie, cofondée avec son complice Hughes Turcotte.
À l’automne 2017, les deux brasseurs s’installent dans le Parc industriel de Rimouski-Est et reçoivent cuves, céréales, équipement spécialisé; enfin, ils peuvent se mettre à l’ouvrage! Le fruit de leur labeur : la sortie de cinq variétés de bières dès l’hiver suivant.
Depuis, les bières à l’effigie de L’Octant – Microbrasserie sont disponibles en bouteilles dans divers commerces des environs et en fût accompagné de boustifaille au resto Cuisine et Dépendance de Rimouski - et dans des dizaines d’autres restaurants prochainement. À terme, elles étancheront la soif des gosiers desséchés du Bas-St-Laurent et de la Gaspésie, puis de partout au Québec. Les plus curieux surveilleront les nouveaux arrivages, comme des variétés extravagantes de petits brassins et des recettes inusitées issues de la R&D. Pour l’heure, le bouche à oreille est leur meilleur vendeur!
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Claudia Côté-Fortin – La Station – espace collaboratif
Claudia Côté-Fortin, fondatrice et directrice générale de La Station – espace collaboratif, en décembre 2017, alors que se terminent les travaux de rénovation qui ont complètement transformé les locaux d’un ancien gym en un magnifique espace voué au coworking au centre-ville de Rimouski. À l’automne 2016, l’avenir de Claudia Côté-Fortin prend un tournant : son projet d’affaires se mérite une bourse Jinette-Côté de la Fondation de l’UQAR, d’une valeur de 10 000$. C’est le déclic qu’il faut à cette bachelière en administration de l’UQAR pour se lancer à 100% dans l’aventure : ouvrir La Station – espace collaboratif, soit le premier espace de « coworking » à Rimouski. Ce faisant, non seulement Claudia crée-t-elle son propre emploi en devenant directrice générale, mais elle fournit aussi un lieu de travail unique en plein cœur du centre-ville à des dizaines d’utilisateurs. Depuis le 8 janvier 2018, petites entreprises, startups, professionnels de passage ou en télétravail, travailleurs autonomes et organismes en tous genres ont officiellement accès à des espaces de travail temporaires ou occasionnels, louables à l’heure, à la journée, à la semaine, au mois… alouette !
Offrant une vue superbe sur le fleuve St-Laurent avec l’Ile St-Barnabé se profilant derrière, La Station donne accès à 5 bureaux fermés, 2 salles de rencontre, 1 immense salle de conférence, 40 postes de travail ouverts ainsi que toutes les commodités nécessaires à une saine et productive journée de travail : salon, cuisine, salle de sport, toilettes/douches, imprimante multifonction et bien sûr, un accès Wifi gratuit.
L’une des grandes forces du projet – hormis la personnalité dynamique, créative et hyper accueillante de sa fondatrice – est sans contredit le modèle d’affaires : un organisme sans but lucratif (OSBL). En effet, cette forme d’entreprise a favorisé l’affluence de nombreux partenaires d’affaires, désireux de contribuer au succès de cette initiative porteuse pour la région. En misant sur la viabilité et la pérennité plutôt que la profitabilité, ce véhicule s’aligne parfaitement avec les valeurs de collaboration, de partage, de synergie qui imprègnent les lieux. Qui plus est, Claudia peut compter sur un conseil d’administration à toute épreuve, formé de gestionnaires d’influence, d’entrepreneurs aguerris et d’utilisateurs motivés, tous soucieux de la guider savamment dans ses nouvelles fonctions.
Notons plusieurs autres nominations pour Claudia: finaliste au Défi Dragon SOPER 2018 – catégorie Classe ouverte, lauréate locale au Défi OSEntreprendre – volet Création d’entreprise catégorie Économie sociale et finaliste à la bourse Charles-Albert 2018 de la Jeune Chambre de Rimouski qui récompense un projet innovant à fort impact social.
En bref, visiter La Station, avec son esprit collégial et son décor lumineux, résolument moderne et spacieux (plus de 4000 pieds carrés), c’est courir le risque de finir par y travailler tous les jours ! Bye bye boss, adieu solitude, au revoir bureau sans fenêtre !
Capsule portrait signée Entrepreneuriat UQAR
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Bertrand Genard - Les Laboratoires Iso-BioKem
Le solide trio derrière Les Laboratoires Iso-BioKem (de gauche à droite) : Alexandre Boudreau - directeur de la production, Bertrand Genard - pdg et directeur de la R&D (boursier Jinette-Côté 2016 de la Fondation UQAR) et Jean-Nicolas Béland - directeur du marketing et des finances. (Crédit photo : Iften Redjah - FolioPhoto.) Doctorant en océanographie à l’ISMER-UQAR, Bertrand Genard aspire à faire fructifier ses recherches; poussé par un désir d’indépendance, de fortes convictions et une pulsion créatrice... il choisit l’entrepreneuriat! À l’hiver 2016, il dépose un projet d’affaires dans le cadre des bourses Jinette-Côté… voici qu’il remporte 10 000$ pour le démarrage de sa startup en biotechnologie marine, Les Laboratoires Iso-BioKem. Le plan est ambitieux : produire à partir de cultures de microalgues des molécules enrichies en isotopes stables, i.e. des produits à haute valeur ajoutée et recherchés par les universitaires, en médecine et en pharmaceutique. Et tout ceci, en région? Pourquoi pas! La ville de Rimouski est d’ailleurs un acteur de premier plan dans le secteur des biotechologies marines au Québec!
L’une des forces indéniables d’Iso-BioKem, c’est sans nul doute ce trio solide et complémentaire à la barre de l’entreprise: un scientifique, un ingénieur et un gestionnaire. En effet, alors que Bertrand assure la présidence et la direction générale, en plus des fonctions de directeur de la R&D, Alexandre Boudreau (M.Sc. génie UQAR) dirige la production; quant à Jean-Nicolas Béland (BAA, DEC en sciences), il gère les aspects du marketing et de la finance. Qui plus est, le comité-conseil, composé de chercheurs aguerris dont Samuel Fortin de SCF Pharma, permet à la startup de bien s’enligner, évitant des pièges et sauvant un temps précieux. Notons l’embauche de trois employés, un quatrième sous peu.
Basée au Centre d’aide à l’innovation par la recherche (CAIR), dans l’édifice ISMER-UQAR au campus de Rimouski, la startup bénéficie d’un local, des équipements à la fine pointe de la technologie des laboratoires et de l’expertise technique du personnel hautement qualifié. Étroitement soutenue par l’UQAR, Entrepreneuriat UQAR et de nombreux partenaires, Iso-BioKem est une startup prometteuse, un modèle inspirant démontrant que la recherche universitaire est transférable au monde des affaires et ce faisant, qu’il est possible de contribuer activement à l’économie du savoir.
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- Iso-Biokem, lauréat au Gala Reconnaissance 2018 de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette (CCIRN), catégorie Entreprise en démarrage
- SCF Pharma et Iso-Biokem s’associent pour créer une plateforme de validation d’actifs marins en nutri-cosméceutique
- 187 000$ à Rimouski pour développer des produits pour ralentir le vieillissement
- Iso-BioKem : de l’idée à la production
- De la science à l’entrepreneuriat
Élisabeth Varennes - Les Transformations d’algues Seabiosis
Élisabeth Varennes, Ph.D. en biologie marine de l’UQAR, s’est réinventée en devenant entrepreneure, aujourd’hui copropriétaire des Transformations d’algues Seabiosis, une entreprise spécialisée dans la culture et la transformation d’algues. Ici, on l’aperçoit sur la berge à Carleton-sur-Mer dans la Baie-des-Chaleurs en Gaspésie, où s’opèrent leurs activités. (Crédit photo : Antoine Proulx)Doctorante en biologie marine à l’UQAR, Élisabeth Varennes fait une étonnante découverte à l’automne 2015: elle a une folle envie de se lancer en affaires! Après une séance de remue-méninge avec son mari Sébastien Brennan-Bergeron, diplômé de l’UQAR en enseignement secondaire, le couple décide de se lancer dans la production et la transformation d’algues pour le secteur alimentaire en Gaspésie. C’est ainsi qu’est née la startup : Transformations d’algues Seabiosis.
Basée à Carleton-sur-Mer et opérant dans la Baie de Maria, Seabiosis récolte ses premières algues laminaires en juin 2017 et fabrique depuis des produits transformés comme du pesto d’algues, des croustilles d’algues, des algues Kombu séchées, du Kombu royal surgelé. Pour le démarrage, notons ces précieux coups de pouce : les services-conseils d’Entrepreneuriat UQAR, une bourse Jinette-Côté 2016 de la Fondation de l’UQAR et un partenariat de recherche avec Merinov.
Excellente vulgarisatrice, passionnée et créative, la doctorante devenue entrepreneure est désormais comme un poisson dans l’eau. Son dada : développer de nouvelles recettes et des produits inédits faits à partir d’algues. Sa vision : démocratiser la consommation d’algues et faire de cet aliment du merroir québécois (produits de la mer issus du terroir) un incontournable des belles tablées, et ce, dans le monde entier. Vendre un jour des algues aux industries pharmaceutiques et cosmétiques? Il s’agit là d’une des innombrables possibilités!
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Revue de presse
- http://chau.teleinterrives.com/nouvelle-Regional_Seabiosis_manger_les_algues_de_Carleton_sur_Mer_-28802
- http://www.pecheimpact.com/seabiosis-recolte-ses-premieres-laminaires/
- Qui sème le savoir récolte les dollars – De jeunes pousses prometteuses (Québec Science, 27 mars 2018)
Jérôme Perron - Les Gâteaux Enchantés
Sophie et Jérôme, copropriétaires de la pâtisserie Les Gâteaux Enchantés, posent fièrement devant leur nouveau commerce au 10 rue St-Pierre au centre-ville de Rimouski, peu avant l’ouverture qui aura lieu en juillet 2016. (Crédit photo TC Media - Adeline Mantyk)Alors étudiant au baccalauréat en génie des systèmes électromécaniques au campus de Rimouski de l’UQAR, Jérôme Perron remporte une bourse Jinette-Côté 2016 de la Fondation de l’UQAR pour Les Gâteaux Enchantés, un projet d’affaires qu’il démarre avec sa conjointe, la pâtissière Sophie Bélanger. Il s’agit d’une pâtisserie spécialisée dans la fabrication sur commande de gâteaux personnalisés en plus d’offrir diverses pâtisseries en format individuel comme les cakepops, soit des bouchées sucrées vendues sur un bâton!
La production débute d’abord dans les cuisines du Club de Golf de l’Empress, dans le secteur de Pointe-au-Père à Rimouski. Un an et demi plus tard, en juillet 2016, les partenaires d’affaires ouvrent enfin leur commerce au centre-ville de Rimouski, au 10 rue St-Pierre, soit un condo commercial dont ils ont fait l’acquisition, entièrement aménagé et adapté à leurs besoins. C’est là que l’entreprise prend réellement son envol.
Cependant, même si les cakepops sont très populaires, ce produit demande beaucoup de temps de préparation, grugeant ainsi leur marge de profit. Avec cette bourse Jinette-Côté, Jérôme veut mettre sur pied un système automatisé capable de les produire à la chaine, à moindre coût. Comme quoi, on peut innover, même en pâtisserie!