Paul Raynaud
Étudiant au baccalauréat en biologie
Je suis originaire de Méry sur Marne, en France, et j’ai découvert l’UQAR par l’intermédiaire de recherches sur Internet. Comme l’étude des premiers êtres vivants qui ont peuplé la terre ainsi que ceux qui sont présents aujourd’hui m’intéresse particulièrement, je me suis inscrit au baccalauréat en biologie. Il s’agit d’une formation qui me permet d’étudier autant les organismes aquatiques que terrestres et même les micro-organismes. Depuis mon arrivée il y a un peu plus de 2 ans, j’ai pu apprécier la proximité qu’il y a avec les professeurs. Les cours ne se déroulent pas dans des amphithéâtres d’une centaine de personnes ou plus, mais dans des salles de classe pour une trentaine de personnes. La vie étudiante est bien remplie et il y a une volonté d’intégrer les étudiantes et les étudiants dans la vie universitaire.
— Paul Raynaud
Traverser l’Atlantique pour étudier en biologie à l’UQAR
Paul Raynaud fait partie de ces étudiants pour lesquels étudier et voir du pays se conjuguent à l’indicatif présent! Originaire de la France, il a traversé l’Atlantique afin de poursuivre son parcours universitaire à l’UQAR au baccalauréat en biologie. Alors qu’il entamera bientôt la dernière année de sa formation, il lorgne déjà vers l’Angleterre pour la poursuite de ses études.
C’est en janvier 2022 que Paul Raynaud a posé ses valises à Rimouski. « J’ai découvert l’UQAR par l’intermédiaire de recherches sur Internet. Comme l’étude des premiers êtres vivants qui ont peuplé la terre ainsi que ceux qui sont présents aujourd’hui m’intéresse particulièrement, je me suis inscrit au baccalauréat en biologie. Il s’agit d’une formation qui me permet d’étudier autant les organismes aquatiques que terrestres et même les micro-organismes. »
L’étudiant de Méry sur Marne a trouvé à l’UQAR une université à dimension humaine. « Les professeurs ainsi que la proximité qu’on peut avoir avec eux est un point fort. Les cours ne se déroulent pas dans des amphithéâtres d’une centaine de personnes ou plus, mais dans des salles de classe pour une trentaine de personnes. La vie étudiante est bien remplie, avec les équipes sportives du Nordet, le bar universitaire, les programmes de bourses, les associations étudiantes… Il y a beaucoup de choses mises en place pour les étudiantes et les étudiants. » Faisant partie de l’équipe de soccer du Nordet, Paul Raynaud entend intégrer celle de l’ultimate frisbee en septembre prochain.
Que dirait-il à une personne qui songe à venir étudier à l’UQAR, mais qui hésite encore. « Je dirais que si cette personne est ouverte, il y a de fortes chances que l’UQAR lui offre de belles expériences en termes de rencontre. Elle y trouvera un endroit paisible où les rencontres sont souvent marquantes », indique M. Raynaud. « Il y a ici une volonté d’intégrer les étudiantes et les étudiants dans la vie universitaire. Au cours de mon parcours, j’ai souvent pu voir différentes nationalités représentées lors des shows ou d’expositions à l’atrium par exemple. Différentes communautés représentées également lors des mêmes événements. De plus, l’Université offre des postes étudiants comme au café l’Auriculaire ou même auprès des professeures et des professeurs dans leur laboratoire, du moins en biologie. »
C’est au printemps 2025 que Paul Raynaud terminera son baccalauréat en biologie. Il a déjà une idée précise pour la suite de son parcours. « J’aimerais partir habiter un temps en Angleterre afin de parfaire mon anglais. Dans l’avenir, j’aimerais travailler dans la biologie évolutive et si des années plus tard j’en ai l’occasion, j’aimerais revenir comme professeur ou directeur de projet à l’UQAR. »