Étudiant au baccalauréat en génie électrique, Léo Roy est le récipiendaire d’une prestigieuse bourse Jean-Jacques Archambault attribuée par Hydro-Québec dans le cadre du programme de l’Institut en génie de l’énergie électrique (IGEE). Une belle distinction pour ce passionné des énergies renouvelables.
Originaire de Québec, Léo Roy a entrepris ses études à l’UQAR à l’hiver 2022 après avoir obtenu un diplôme en Sciences de la nature au Cégep de Sainte-Foy. « C’est un ancien étudiant qui m’a parlé de l’Université. Ce que j’apprécie de l’UQAR, c’est le très bon enseignement et la proximité avec les collègues et les professeurs. C’est une université que je qualifierais d’humaine en raison de sa taille et des interactions avec l’ensemble de la communauté. »
C’est son intérêt pour les énergies renouvelables qui a mené Léo Roy à s’inscrire au baccalauréat en génie électrique. « Ce qui m’attire dans le domaine, c’est le côté très pratique, mais complexe à la fois et l’importance du développement de l’expertise dans cette branche du génie. » En plus de ses études, M. Roy s’implique dans le projet Voltfast – un projet étudiant qui consiste à électrifier un véhicule Spyder de haute performance – en plus de travailler chez Contrôle RK, de Matane, une entreprise au sein de laquelle il avait réalisé un stage d’études.
L’obtention de la bourse Jean-Jacques Archambault est « une très belle reconnaissance » mentionne M. Roy. Lors de son attribution, Tri-Tan Nguyen d’Hydro-Québec a été élogieux envers l’étudiant de l’UQAR. « Son intérêt marqué pour l’énergie éolienne témoigne de sa passion pour les solutions durables et innovantes. Méthodique et rigoureux, il a su faire preuve d’une grande capacité d’adaptation, des qualités indispensables pour relever les défis d’aujourd’hui et de demain. »
Un prix de 3000 $ accompagne la bourse Jean-Jacques Archambault. En outre, grâce à un partenariat entre l’UQAR et l’Institut en génie de l’énergie électrique, M. Roy suit actuellement des cours de spécialisation en génie de l’énergie électrique dans les locaux de Polytechnique Montréal. « C’est une opportunité unique pour bien connaître les besoins de l’industrie et les tendances qui s’en viennent. Les personnes qui sont formées à l’IGEE obtiennent une importante visibilité auprès des partenaires industriels de l’Institut, ce qui leur ouvre des portes intéressantes sur le marché du travail », observe le professeur Maxime Berger.
Après ses études à l’automne prochain, Léo Roy entend s’établir dans la région afin de faire carrière. « Mon souhait est de travailler en m’impliquant dans le développement des énergies renouvelables dans la région, que ce soit en Gaspésie ou au Bas-Saint-Laurent. Les énergies renouvelables sont une voie d’avenir essentielle et c’est très stimulant de pouvoir contribuer à leur avancement. »
Le baccalauréat en génie électrique offert à l’UQAR est une formation qui met l’accent sur la conception technique et l’intégration des systèmes afin de permettre aux diplômées et aux diplômés d’être en mesure de planifier et de mettre en œuvre une panoplie de projets en génie électrique. Ce programme forme des ingénieures et des ingénieurs en mesure de concevoir, de réaliser, d’analyser et d’adapter des éléments et des systèmes électriques.
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