• 1998-2000 Postdoctorat sur Robertson Davies, Université d’Ottawa
• 1992-1998 Doctorat en littérature française, Université de Montréal. Summa cum laude
  Entre mère et transferts. La correspondance de Marcel Proust
• 1996 Stage au Kolb-Proust Archive for Research University of Illinois
• 1993-1994 Deuxième année de doctorat au Centre de recherches proustiennes, Institut des textes et manuscrits modernes, École normale supérieure et Université de Paris-III
• 1990-1992 Propédeutique et maîtrise en littérature française, Université de Montréal. Summa cum laude
  Les lettres dans la Recherche de Proust
• 1987-1990 Baccalauréat en littérature française Université d’Ottawa. Magna cum laude

Curriculum vitae

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En chemin je t’ai perdu, Éditions Druide, «Écarts», 2012, 209 p.

• « Un roman qui vous fera rire, réfléchir, pleurer et surtout qui déposera dans les dernières pages un brouillard dans votre coeur dont vous vous souviendrez longtemps même lorsque vous soulèverez les yeux pour constater avec soulagement que ce n’est pas votre histoire. » Rachel Graveline, blogue Le Globe
• « […] le parcours poignant d’un homme ayant quitté un Québec qui ne lui convenait plus. […] L’écriture est juste, sentie, et met bien en évidence le caractère de chaque personnage. […] Plusieurs pages nous décrochent un sourire. Les dernières, quant à elles, nous surprennent et nous frappent droit au coeur. » Guillaume Simard, Le Mouton noir
• « La grande force du roman est certainement la justesse de l’écriture qui disparaît derrière les personnages. On croirait lire le journal de l’auteur plutôt qu’une histoire de fiction. Le texte est composé en grande partie de dialogues, ce qui rend la lecture facile et plus que réaliste. » Camille Masbourian, blogue Bible urbaine.

Les déliaisons, Québec Amérique, «Littérature d’Amérique», 2008, 240 p. Prix Ringuet 2009 de l’Académie des lettres du Québec

• « Martin Robitaille signe avec Les déliaisons un premier roman enlevant […]. Il est rare de lire un ouvrage aussi complet que bien ficelé. Robitaille jette ici, je l’espère, les balises d’une oeuvre en devenir. Son regard sur le monde et ses contemporains vaut la peine d’être lu. Il suscite de nombreuses réflexions. À lire. » Jean-Sébastien Ménard, Magazine Terra Nova
• « J’ai rarement vu pour un premier roman, une oeuvre aussi parfaite et parfaitement maîtrisée, digne des auteurs qui ont des kilomètres d’écriture au compteur. » Jean-Luc Doumont, Made in Québec

Proust épistolier, Presses de l’Université de Montréal, «Espace littéraire», 2003, 228 p.

• «Robitaille excelle à faire sens de la masse des petits faits.»
• «Une des grandes qualités de l’étude est de dominer son sujet et de presque constamment ramener les points adventices à la vision d’ensemble de son travail sans se noyer dans la masse des détails innombrables que la correspondance, c’est une propriété du genre, accumule.»
• «L’aspect le plus original et le plus intéressant pour les proustiens est de centrer leur attention sur la valeur de la pratique d’écriture épistolaire, tant comme besoin jouissif de transmission que comme pratique rhétorique qui met à l’écart et met aussi à distance.» Pascal Michelucci, University of Toronto Quarterly

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