Passionnée par la gestion du changement, le développement durable et l’entrepreneuriat, Marilou Pelletier est finissante à la maîtrise en gestion de projet, cheminement coopératif. Une formation qui lui permet de marier ses trois intérêts et d’avoir accès à un vaste choix de domaines pour faire carrière.

Originaire de l’Outaouais, Mme Pelletier est titulaire d’un baccalauréat en psychologie de l’Université du Québec en Outaouais. « La gestion du changement est intimement reliée à mon domaine d’études de premier cycle universitaire tout en étant intrinsèque à la gestion de projet. Par conséquent, ma maîtrise me permet de jumeler deux formations universitaires et de traiter judicieusement les dynamiques humaines influentes dans la réussite d’un projet », explique Mme Pelletier.

Ayant à cœur le développement durable, l’étudiante de l’UQAR a profité de sa maîtrise en gestion de projet pour approfondir ses connaissances sur le sujet. « J’ai compris l’importance d’intégrer ce concept dans les projets de demain et je souhaite participer à ce changement de société », indique-t-elle, ajoutant que ses études à la maîtrise lui ont aussi permis de s’intéresser davantage à l’entrepreneuriat. « Effectivement, j’ai découvert un plaisir à développer des idées et à apprivoiser les risques. Le programme m’a aussi donné l’opportunité de pousser plus loin ma zone de confort et ainsi de développer des projets entrepreneuriaux qui ont grandement suscité ma motivation et mon implication scolaire. »

La nature évolutive de la gestion de projet est une source de stimulation pour l’étudiante. « En gestion de projet, il faut faire preuve de flexibilité afin de constamment s’adapter à notre environnement. De plus, j’adore contribuer à des projets qui, je pense, peuvent améliorer notre société. »

Marilou Pelletier est en train de terminer le dernier stage de sa formation à la Corporation du Parc régional du Poisson Blanc, dans les Laurentides. Elle y est chargée de projet. « Les projets qui me sont attitrés touchent principalement le développement stratégique de l’organisation. Mon mandat est extrêmement stimulant et j’aurai la chance de poursuivre mon travail avec cette organisation après la fin de mon stage universitaire », mentionne l’amatrice de plein air.

C’est en 2019 que Mme Pelletier a entrepris sa maîtrise en gestion de projet, soit un an après l’obtention de son baccalauréat en psychologie. « J’ai choisi l’UQAR pour deux raisons. Tout d’abord, je souhaitais étudier dans un programme universitaire qui m’offrait plusieurs expériences en milieu organisationnel. Ainsi, avec son volet cheminement coopératif, l’UQAR est rapidement devenue mon choix numéro un. De plus, je souhaitais poursuivre mes études dans une autre région au Québec. Cela était un défi que je souhaitais relever tout en me permettant de diversifier mes apprentissages. »

Si on lui demande un mot pour décrire l’UQAR, elle dit spontanément « simplicité ». « La simplicité de l’UQAR m’a charmée. En étant dans une petite université, les étudiantes et les étudiants baignent dans une atmosphère adéquate et favorable à se concentrer sur l’essentiel : l’apprentissage et les relations. Tout au long de mon parcours, les professeures, les professeurs et les personnes chargés de cours ont offert un support de grande qualité. La disponibilité du corps professoral et leur envie de partager leurs connaissances sont des facteurs qui ont grandement influencé mon implication. »

À la fin de ses études, Marilou Pelletier va poursuivre son travail de chargée de projet au Parc régional du Poisson Blanc. « Je souhaite voir les projets sur lesquelles je travaille actuellement se concrétiser et contribuer positivement au développement des régions et des acteurs impliqués. Par ailleurs, je souhaite prendre des risques qui m’aideront à construire mon expérience professionnelle et combler ma soif de l’entrepreneuriat. Sur le plan personnel, j’aimerais beaucoup investir dans l’immobilier et continuer d’accorder autant de temps à mes loisirs dans mon quotidien. En sommes, je me souhaite continuer d’aimer jouer dehors et de m’épanouir dans ma carrière professionnelle », conclut-elle.