Étudiante au baccalauréat en biologie, Carole Govin est assistante de recherche au Laboratoire Avancé en Bioénergie (LAB) dirigé par le professeur David Deslauriers, de l’ISMER-UQAR. Un emploi qui lui permet de mettre en application ses connaissances et de s’initier à la recherche.
Une équipe dirigée par le professeur Richard Cloutier vient de faire paraître dans la revue Scientific Reports un article sur la découverte d’un fossile d’une nouvelle espèce de cténophore. Datant de 375 millions d’années, le fossile de cet invertébré provient du parc national de Miguasha, en Gaspésie.
La réputation de l’UQAR en matière de recherche nordique n’est plus à faire. Plus qu’un axe d’excellence, la nordicité est une affaire de tradition à l’Université. Fondé en 2002 au sein du Département de biologie, chimie et géographie, le groupe institutionnel de recherche sur les environnements nordiques BORÉAS explore la nordicité dans toute sa complexité en diversifiant toujours plus ses projets et ses membres.
Le professeur Richard Cloutier vient de recevoir le Prix d’excellence en recherche-création, volet réalisation, de l’Université du Québec. Une reconnaissance qui souligne la contribution exceptionnelle à l’avancée des connaissances de ses travaux sur l’évolution des poissons en vertébrés dotés de quatre membres.
L’Université du Québec à Rimouski a inauguré le tout premier laboratoire de recherche universitaire implanté en territoire protégé. Aménagée au Parc national de la Gaspésie, la Station d’études montagnardes des Chic-Chocs (SEM) favorisera l’avancement des connaissances liées aux effets des changements climatiques en milieu montagnard et alpin.
Une équipe de l’UQAR vient d’obtenir le Prix Publication en français Gisèle-Lamoureux du Fonds de recherche du Québec Nature et technologie (FRQNT) pour un article sur le saumon atlantique publié dans la revue Le Naturaliste canadien. Une distinction qui souligne l’importance de ces travaux de recherche sur la gestion et la conservation du saumon atlantique au Québec.
L’Université du Québec à Rimouski a développé au fil des ans une expertise multidisciplinaire unique en sciences forestières. Qu’il s’agisse de la régénération de la forêt, de la cohabitation entre la faune forestière et les activités humaines ou encore de l’adaptation aux changements climatiques, les chercheuses et les chercheurs de l’UQAR mènent des travaux de pointe dans ce secteur clé de l’économie du Québec.
Le Réseau Québec maritime et son programme de recherche Odyssée Saint-Laurent sont heureux de confirmer le financement de six projets de recherche intersectoriels. En tout, 1 375 694 $ ont été octroyés pour la réalisation de ces initiatives qui prendront place de 2021 à 2022. Les projets auront lieu à bord de trois navires, soit le Coriolis II, le Macoma et le Louis-Edmond Hamelin.
Une équipe de l’UQAR vient de dévoiler les résultats d’une recherche qui montre que les paramètres associés à l’acclimatation des oiseaux au froid hivernal peuvent être maintenus pendant la migration de même que pendant la saison de reproduction. L’étude sur le plectrophane des neiges dirigée par Audrey Le Pogam, candidate au doctorat en biologie, vient d’être publiée dans la revue Functional Ecology.
Le projet « Deux domaines, deux plateformes, un projet unique » s’est démarqué lors du dernier gala du Défi OSEntreprendre du Bas-Saint-Laurent. L’équipe de l’UQAR a été lauréate dans la catégorie universitaire collectif.
Pas moins de cinq photos sur les 20 qui sont finalistes au concours « La preuve par l’image » proviennent de scientifiques de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski et de l’Université du Québec à Rimouski. Un record pour l’Université.
Diplômé au doctorat en biologie, Enrique Rodriguez poursuit sa carrière de chercheur à l’University College de Londres (UCL). Il s’est joint au laboratoire du professeur Nick Lane, l’une des références mondiales sur l’évolution du métabolisme et l’origine de la vie. Portrait d’un biologiste dont les travaux sur le vieillissement et les mécanismes biologiques qui en sont à la base retiennent de plus en plus l’attention dans la communauté scientifique.
L’Université du Québec à Rimouski est partenaire de l’organisation du 18e Atelier nord-américain sur le caribou. Plus de 450 spécialistes provenant de plusieurs pays se réuniront sur la plateforme Connexion.Tv du 3 au 6 mai.
L’Université du Québec à Rimouski est partenaire d’un projet de 17,5 M$ visant à aménager deux stations de recherche nordique sur l’Île de Baffin, dans le Haut-Arctique. Un projet d’envergure qui permettra aux scientifiques d’y étudier à l’année les enjeux liés aux changements climatiques.
La revue Nature Communications vient de publier une recherche sur les principales voies évolutives ayant contribuer à définir les limites thermiques de plantes et animaux aquatiques et terrestres. Une découverte effectuée par le professeur en biologie marine Piero Calosi et ses collègues qui lève aussi le voile sur la sensibilité de ces espèces aux changements climatiques.
Le plectrophane des neiges est une espèce d’oiseau qui est étudiée de près par des biologistes de l’Université du Québec à Rimouski. Une recherche publiée dans Ecology and Evolution montre que ce spécialiste du froid a une faible tolérance à la chaleur et potentiellement au réchauffement de l’Arctique.
L’Université du Québec à Rimouski s’est inscrite deux fois parmi les dix découvertes de l’année 2020 du magazine Québec Science. Une reconnaissance de la qualité de la recherche effectuée à l’UQAR.
Spécialiste de l’adaptation et de l’évolution du métabolisme, le professeur Pierre Blier prend part à une recherche sur l’effet des variations de température sur les poissons. La Société royale de Nouvelle-Zélande finance ce projet de plus de 850 000 $ qui rassemble des chercheurs internationaux.
L’Université du Québec à Rimouski vient d’obtenir le renouvellement de sa Chaire de recherche du Canada en biodiversité nordique. Cette prestigieuse chaire de niveau 1 est dirigée par le professeur Dominique Berteaux.
Une équipe de biologistes de l’UQAR a pris part à une importante recherche sur l’écologie des animaux de l’Arctique publiée dans la prestigieuse revue Science. L’article apporte un nouvel éclairage sur le mouvement de certaines espèces au cours des 30 dernières années.
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